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Censure

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Twitter Censure des Comptes Non Favorables à Nicolas Sarkozy. Censurera ? Censurera pas ? Edit : Finalement, cette attaque en justice concernerait uniquement les sites Allo* (allostreaming, alloshowtv...etc) D'après le site Electron Libre, l'Association des producteurs de cinéma (APC), la Fédération Nationale des Distributeurs de Films (FNDF) et le Syndicat de l'Edition Vidéo Numérique (SEVN) viennent d'assigner en référé : BouyguesDartyFrance TélécomFreeGoogle Inc (US) et Google FranceMicrosoft Corp (US) et Microsoft FranceNuméricableOrangeSFRYahoo Inc (US) et France ...afin que ces derniers bloquent tout simplement un bon paquet de sites accusés de permettre le streaming et le téléchargement direct d’œuvres piratées.

Parmi les sites visés, on y trouve Megaupload, Megavideo, Alloshare, Allomovie, AlloshowTV...etc Tous ces opérateurs doivent donc se présenter le 15 décembre à 9h au Tribunal de Grande Instance. Pour appuyer cette demande, l'APC, la FNDF et le SEVN ont rédigé un document de plus de 100 pages et s'appuient sur l'article de loi suivant. Alors, la justice ? Cour de Justice de l'Union européenne : la censure au nom du copyright viole les droits fondamentaux. Paris, le 24 novembre 2011 — La Cour de Justice de l'Union européenne vient de rendre une décision historique dans l'affaire Scarlet Extended, cruciale pour le futur des droits et libertés sur Internet. Dans son arrêt, la Cour indique que forcer les fournisseurs d'accès Internet à surveiller et à bloquer les communications de leurs abonnés viole le droit communautaire, et notamment la liberté de communication.

À l'heure d'une large offensive contre le partage de la culture en ligne, cette décision montre que les mesures de censure exigées par l'industrie du divertissement sont un moyen disproportionné et illégitime de faire appliquer un droit d'auteur dépassé. Les décideurs publics doivent prendre acte de cette décision en refusant toute fuite en avant répressive, telle qu'encouragée par l'accord anti-contrefaçon ACTA, et en s'engageant dans une véritable réforme du droit d'auteur. Mauvaise pub pour les prisons : un docu censuré. L’administration pénitentiaire veut tuer un film racontant le déménagement d’une vieille prison vers un centre déshumanisé. Depuis le mois de mars, le documentaire « Le Déménagement », de Catherine Rechard, est en attente de diffusion sur France 3 Bretagne. Ce beau film de 54 minutes raconte le déménagement, début 2010, des prisonniers de la vieille maison d’arrêt Jacques-Cartier, à Rennes, vers un centre de détention situé en périphérie de la ville.

Tous les détenus interrogés avaient bien sûr accepté d’être filmés. Et, aussi, d’apparaître à visage découvert dans le documentaire. Conformément à la loi. Seules les projections en salle sont autorisées Depuis six mois, cette affaire choque le petit monde judiciaire, ainsi que le rare public qui a pu voir le film. On a enfin pu comprendre, mercredi 12 octobre, de quoi il en retournait, lors d’un extraordinaire débat organisé par l’Association de la presse judiciaire à la maison du barreau de Paris, après une projection du film.

Plein écran ▣ Toi… Toi… Tu vas avoir de gros ennuis, Reflets… Ils vont te couper en deux, te… La semaine dernière, deux sources de Reflets, qui n’ont aucune relation entre elles nous ont aimablement répercuté des conversations qu’elles avaient entendues : si nous continuions à enquêter sur le Deep Packet Inspection, la Syrie et la Libye, nous et les agents de Telecomix, allions nous « faire buter ». Texto. Reflets a immédiatement contacté son avocat, Maître Olivier iteanu et déposé une main courante. Depuis le mois de février 2011, nous alertons nos lecteurs sur les ventes de Deep Paket Inspection dans des dictatures dures. Nous savons tous, journalistes comme industriels de ce secteur, que le DPI dans ces pays – surtout lorsqu’il s’agit de mettre en place un système d’écoute à l’échelle du pays – est utilisé pour repérer les opposants et leurs réseaux.

Vendre ces technonologies dans de telles conditions est inacceptable. Lorsqu’un pays comme la France, son gouvernement et son président favorisent la vente du centre d’écoute d’Amesys à Tripoli, ils ne se grandissent pas. Censure politique et judiciaire de Copwatch. La Belgique filtre ses pirates. En condamnant Belgacom et Telenet à bloquer l’accès à The Pirate Bay, la cour d’appel d’Anvers a rendu une décision controversée. Inefficace pour certains. Analyse avec André Loconte de la NURPA, association belge de protection des droits des internautes.

Lundi dernier, en Belgique, la cour d’appel d’Anvers rendait une décision controversée dans le cadre de l’affaire opposant la Belgian Anti-Piracy Federation (BAF) qui regroupe de nombreux ayants droit, aux deux principaux fournisseurs d’accès belges, Belgacom et Telenet. Le juge leur a ordonné de bloquer l’accès au célèbre site The Pirate Bay – un portail dédié au partage de la musique et des films. Mettant ainsi en place un filtrage au niveau du nom de domaine. Au total, il s’agit de onze adresses ciblées, avec un délai de deux semaines pour les fournisseurs d’accès pour appliquer la décision de justice. Si les deux fournisseurs d’accès internet belges (FAI) n’obtempèrent pas, des amendes sont prévues. 1. www.thepiratebay.org, Quand une mairie interdit un reportage sur « Casse-toi pov’con » J'espère que vous n'êtes pas trop nombreux à avoir fait le déplacement à Saint-Apollinaire pour la dédicace et la présentation du jeu Casse-toi pov'con, finalement interdit par la mairie.

J'ai essayé de dédicacer clandestinement dans les allées mais, forcément, j'étais un peu plus difficile à trouver. Apprenant cet épisode de censure invraisemblable qui me semble d'un autre temps, les journalistes de France 3 sont repartis caméra sous le bras sans, à ma connaissance, avoir tourné la moindre image de la manifestation.

Ils ont promis de ne pas se laisser faire. J'ai hâte de connaître la suite. Je terminerai par un petit mot sur l'organisation parfaite de ce petit festival. Les organisateurs et notamment David ne s'intéressent pas à la politique et n'espéraient évidemment pas une telle polémique, Ludimania n'en est pas moins une totale réussite. J'espère que cet épisode ne leur laissera pas un trop mauvais souvenir et que j'aurai l'occasion de participer aux prochaines éditions. "Bonjour, [Parti Pirate] (For the English translation of this statement, go here). Ce vendredi 20 mai au matin, la police allemande a fait saisir plusieurs serveurs du Parti Pirate allemand, pour les besoins d'une enquête de police d'origine française.

Le Parti Pirate allemand a annoncé qu'il se conformera, autant que la loi le requiert, aux exigences des autorités françaises dans le cadre de leur enquête. Un accès à l'infrastructure technique leur a déjà été fourni couvrant les besoins de l'enquête. Ainsi, la cible de leur recherche devrait être rapidement trouvée. Jusqu'à présent, leur conseil d'administration n'a eu connaissance d'aucun élément mettant en cause le Parti Pirate allemand : seul l'un des services ouverts au public sur l'un des serveurs virtuels serait concerné.

Le conseil d'administration souligne néanmoins qu'aucune raison n'a été donnée pour mettre hors-ligne l'ensemble des serveurs du Parti Pirate allemand, un seul des serveurs virtuels étant visé par l'enquête. Le Parti Pirate français. La guerre des Internets a commencé. En février dernier, un groupe de députés européens baptisé LEWP (Law Enforcement Working Party) a commencé à travailler en secret sur un projet de loi [PDF] dont l'objectif est de mettre en place un grand firewall européen.

Soutenus par les lobbies américains, ce projet de loi aura pour but d'exclure d'Europe certains sites internet considérés comme illégaux. Tous les FAI devront alors se plier à cette loi et appliquer ce filtrage Européen. Rien n'est encore fait (heureusement), mais en général, comme on l'a vu avec Hadopi et d'autres loi liberticides, ce que les lobbies veulent, les lobbies l'obtiennent... Il suffit de se mettre dans la poche quelques députés, de surveiller le faible niveau de protestation des internautes, de leur organiser un diner ou de leur filer de fausses responsabilités comme avec le CNN, histoire de les occuper, de leur donner un os à ronger et ensuite, d'attendre patiemment que tout se fasse tout naturellement.

Bref, vous l'aurez compris : Ça pue... Un blogueur de l'Elysée réduit au silence (Le Monde) Croule sous les procès, aidez-nous à payer l'avocat ! L’arme judiciaire contre le journalisme d’investigation ; le soutien des lecteurs contre les pressions des plus puissants. Rue89 est confronté de plus en plus fréquemment à la menace de poursuites judiciaires abusives de la part de ceux qui tentent de brider nos enquêtes journalistiques.

Riverains, aidez-nous à payer nos frais de défense et défendez l’indépendance de votre site. Rue89, comme tous les médias, en ligne ou sur papier, est naturellement soumis aux lois sur la diffamation, la protection de la vie privée, etc. Il ne s’agit évidemment pas de se revendiquer au-dessus des lois. Ce dont il s’agit, c’est de ce recours croissant à des poursuites judiciaires pour intimider en poursuivant le média à l’origine de révélations embarrassantes. Cette « arme » a un coût : des frais d’avocat et de justice qui vont croissant. Plusieurs fois poursuivi, Rue89 a, jusqu’ici, gagné tous ses procès. Et encore des procédures judiciaires... Je choisis ma brique J’ajoute ma brique au mur de Rue89. Le gouvernement invite les maisons de disques à censurer leurs artistes.

Ca n'est une surprise pour personne qu'un député UMP interroge le ministère de la Culture sur "la violence des paroles de certains groupes musicaux". Sans être explicitement nommé, le rap est directement visé par la question du député Jean Bardet, qui fustigeait en février dernier le fait que "sous couvert de liberté d'expression, ils transmettent un message de haine et de violence, et encouragent leur auditeurs à se révolter contre toute forme d'autorité publique". Le député demandait au ministère ce qu'il entendait faire pour que soient sanctionnés des propos qui "choquent nombre de nos concitoyens qui ne comprennent pas l'absence de réaction de l'État".

La réponse du ministère de la Culture est plus surprenante. S'il concède qu'il s'agit d'un "sujet très important", il prévient immédiatement que son "traitement par les autorités publiques s'avère cependant particulièrement difficile". Le gouvernement le sait d'expérience. AVIS DE SUSPENSION PROVISOIRE. Censure d'un spectacle parodiant les discours de Sarkozy. En Rhône-Alpes, la Drac (Direction régionale aux affaires culturelles) craint le crime de lèse-Sarkozy. Un de ses agents a fait du chantage aux subventions à une association grenobloise qui organise un festival de théâtre de rue depuis dix ans. Festiv’arts ne dépend pas à l’année des subventions publiques. Mais l’association, qui prépare la dixième édition de son festival pour avril, avait répondu à un appel d’offre du ministère de la Culture dans le but de financer un festival off consacré aux jeux de mots.

Cet événement aurait rejoint la programmation officielle de la Semaine de la francophonie. L’occasion – « alors que c’est de plus en plus rare » – de financer une vingtaine de personnes et de rémunérer tous les artistes et les techniciens avec des cachets de plus de 75 euros, résume Auriane Faure, l’organisatrice. Pour la Drac, « un objet non-identifié » C’est ce spectacle qui devait être le clou du off de la francophonie. N’importe quoi ? Une sacrée victoire pour la France. Coucou ! Aujourd'hui, c'est le 12 mars 2011 et c'est la journée mondiale de la cyber censure organisée par Reporters Sans Frontières (RSF). Pour "fêter" celà, ils ont mis en ligne une liste des ennemis d'Internet.

Les voici : Arabie saouditeBirmanieChineCorée du NordCubaIranOuzbékistanSyrieTurkmenistanViêt-Nam Et en complément, une liste des "Pays sous surveillance", c'est à dire ceux qui en 2010, ont exercés une censure du net, via des arrestations, du harcèlements ou de la surveillance des net-citoyens mais aussi le blocage de sites web ou le vote de lois liberticides. Voici la liste : AustralieBahreïnBélarusCorée du SudEgypteEmirats Arabes UnisErythréeFranceLibyeMalaisieRussieSri LankaThaïlandeTunisieTurquieVenezuela Et oui, parmi tous ces beaux pays, la France figure en bonne place... Comment j'suis trop fier qu'on soit au niveau de l'Egypte, de la Malaisie, de la Libye ou du Vénézuela ! Pour tous les détails je vous invite à consulter le site de la journée mondiale de la cyber censure. Yacy – Le moteur de recherche sans censure. On l'a encore vu récemment, Google n'est pas vraiment neutre et pratique la censure.

Il en va de même pour tous les moteurs de recherche qui fonctionnent de manière centralisée. Alors bien sûr, on joue le jeu de ces sociétés en allant sur leurs moteurs car ils sont efficaces et proposent de bons résultats. Mais en faisant ça, nous sommes obligés d'accepter leurs conditions d'utilisation. (Censure, positionnement des résultats, acquisition d'informations personnelles pour faire des stats ou afficher de la pub ciblée...etc) Si cela ne vous convient pas, j'ai trouvé un truc qui devrait vous intéresser. Yacy est un logiciel libre dispo pour Mac, Windows et Linux, qui propose à chaque internaute d'héberger son propre moteur de recherche sur sa machine.

Mis à part ça, j'ai trouvé l'install hyper simple et parfaitement accessible aux débutants. Pour tester ce système, rendez-vous sur le site de Yacy. Et si ce genre de projet vous intéresse, je vous recommande aussi de jeter un oeil à Seeks. La presse aura-t-elle l'interdiction pénale de publier des fuites ? Mise à jour : Selon les Echos (qui au passage disent avoir "eu accès" à un texte qui est en fait public depuis de nombreux mois), la proposition de Bernard Carayon devrait revenir sur le devant de la scène au printemps, avec la bénédiction du gouvernement. Le journal précise que c'est en fait la Délégation interministérielle à l'intelligence économique qui est à l'origine du texte.

Article du 24 janvier 2011 - Plus de 130 députés UMP ont co-signé une proposition de loi déposée par le néo-godillot Bernard Carayon, qui vise à assurer la "protection des informations économiques" des entreprises. Le texte doit garantir la confidentialité de tout ce qui a une valeur économique pour les entreprises, mais qui ne relève ni du droit d'auteur, ni du droit des brevets, ni du secret de fabrication, ni du secret professionnel. Il pénalise ainsi l'obtention frauduleuse ou la communication au public de toute "information à caractère économique protégée". Presse censurée en Hongrie : le silence suicidaire de l'Europe | Rue89. Air connu : l’efficacité diplomatique et la fidélité à un certain nombre de principes – quels qu’ils soient, au demeurant – font rarement bon ménage. La « Realpolitik », ça s’appelle. Ces contradictions récurrentes sont particulièrement saillantes dans le cas des démocraties occidentales, qui se posent comme l’incarnation de principes politiques peu ou prou hérités de la philosophie des Lumières, ne manquent pas de le faire savoir au reste du monde et qui, nonobstant, s’assoient dessus lorsque des intérêts « supérieurs » sont en jeu.

Le silence coupable de la France à l’égard de la Tunisie C’est la malédiction et la grandeur des gouvernements démocratiques d’avoir à se coltiner, dans les relations internationales, le monde tel qu’il est, tandis que médias et opposants politiques à domicile leur parlent du monde tel qu’il devrait être. En Hongrie, la liberté de la presse est négociable Mais à propos de silence... Cette lamentable affaire constitue, cela va sans dire, un précédent grave.

Liberté d’expression. Le Maroc, ennemi d’Internet ? - Le Matin D.

RSF

Lutter contre la Cyber-Censure | Owni.fr. Blocage total des sites pornographiques, la fausse bonne idée. Journée nationale du souvenir : une mairie censure la lettre d'u. NetNeutrality. Amoureuse d'Apple, la presse française discrète sur sa censure | Radié de la gendarmerie après une tribune publiée sur Rue89 | Ru. Censure en Chine: le PCC liste les sujets interdits. Les entreprises américaines invitées à défier la censure chinois. Google veut que la censure soit reconnue comme entrave au commer. Y aura-t-il une "loi Mediapart" ? - France.