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François Hollande

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Hollande veut-il forcer l’Arménie à choisir entre l’UE et la Russie ? Les sept recommandations de la Commission à François Hollande. La France avait vivement réagi en 2013 aux recommandations de Bruxelles. Le ton de la Commission est moins sévère cette année, même si ses demandes sont toujours fortes. 1 / Renforcer la stratégie budgétaire Bruxelles maintient sa procédure de déficit excessif sans passer à une «nouvelle étape», qui aurait pu déboucher sur des sanctions.

Le niveau de détail des économies est jugé «insuffisant» pour garantir de façon «crédible» de ramener le déficit à 3 % du PIB en 2015. 2 / Veiller à ce que la réduction du coût du travail se poursuive Le crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE), qui peut en théorie disparaître chaque année, doit être maintenu. 3 / Simplifier les règles administratives, fiscales et comptables des entreprises Il faut que le plan de simplification lancé par le gouvernement soit «concrètement» mis en œuvre. 4 / S'attaquer aux professions réglementées et ouvrir les services à la concurrence 5 / Rendre le système fiscal plus efficace.

Hollande Le ridicule. Certains prédisent à la France le titre de «grand malade» de l'Europe (expert) L'Ifop vient de publier les résultats d'un sondage selon lequel seulement 17% des Français approuvent les actions du président Hollande. Les 80% restants désapprouvent "plutôt" ou "complètement" sa politique. "Ces problèmes ne sont pas tant cycliques que structurels. La France ne fait actuellement pas partie des pays traversant les temps les plus difficiles en UE, mais elle est de facto au seuil d'une situation où, en cas de scénario négatif, elle pourrait causer de nouveaux maux de tête à l'UE", a indiqué l'expert. Selon Alexeï Gromyko, compte tenu des niveaux élevés enregistrés par le taux de chômage, la dette publique et le déficit budgétaire, certains prédisent à la France le titre de "grand malade" de l'Europe", comme la Turquie au début du XXe siècle ou la Grande-Bretagne au milieu des années 1970 en raison des problèmes socioéconomiques et économiques très graves.

"La cote de popularité du président français reflète ces problèmes, qui ne pourront être réglés ni en 2014 ni en 2015.