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Toulouse

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L'ISS en vue dans le ciel toulousain dimanche soir - Toulouse. La Station spatiale Internationale ISS sera visible à l'œil nu depuis Toulouse demain soir à 22 h 30 précises et pendant deux minutes ! Un phénomène rare. La Station spatiale internationale ou ISS (International Space Station), le plus grand des objets artificiels placés en orbite terrestre, sera visible depuis le sol toulousain demain à 22 h 30. Pour l'observer, il faudra rester vigilant et garder un œil sur sa montre car la Station disparaîtra de notre visibilité à… 22 h 32. La météo étant favorable, les Toulousains pourront donc observer le passage de la Station ISS pendant deux minutes au-dessus de la Ville rose.

Philippe Droneau, directeur adjoint des programmes à la Cité de l'espace à Toulouse, confirme la rareté du phénomène : « Il est effectivement peu fréquent que les conditions favorables soient réunies pour pouvoir observer à l'œil nu la station depuis la Terre. Observez la Station. C'est qui ce Bastard ? - Toulouse. Mais qui a donc donné son nom au four Bastard ? Cette rue, du centre historique de la ville rose, rappelle-t-elle la mémoire d'un homme ou bien véhicule-t-elle un qualificatif ? En effet, pour certains, ce «bastard» ou plutôt «castard»signifierait «commun». Pour d'autres, en revanche, il s'agirait de Bastard, le nom d'un homme.

Alors four commun ou de Bastard ? La question reste ouverte. Le vieux nom occitan de cette voie publique est «carreria Furni Bastardi». A l'instar, peut-être de Bastard, les fours appartenaient à des particuliers, des communautés religieuses ou par la ville. « J'ai retrouvé vingt sapins Pif Gadget » - Toulouse. Avec le numéro 347 de Pif Gadget, en 1975, Joël Fauré, alors âgé de 13 ans, avait trouvé une brindille qu'il a plantée dans un pot, puis en pleine terre près de la maison familiale à Buzet-sur-Tarn.

Le sapin a grandi, il mesure aujourd'hui près de 12 mètres de haut et un jour, en le contemplant, ce Toulousain de 50 ans a eu une idée géniale. Il s'est mis en tête de retrouver d'autres sapins plantés par des lecteurs de Pif il y a plus de trente ans. Le 21 septembre dernier, nous lui consacrions un article dans La Dépêche du Midi, où il expliquait son idée de créer une sorte de « sapineraie du cœur » avec les sapins de Pif Gadget. Depuis, ce Toulousain est devenu une vraie vedette. Que s'est-il passé depuis la parution de notre article ? C'est incroyable les réactions que ça a provoqué. Comment expliquez-vous ce succès ? Combien avez-vous localisé de sapins ? Une vingtaine, un peu partout en France, mais je n'ai pas encore eu le temps de mettre toutes les lettres sur mon blog.

Le temple du Salin a cent ans - Toulouse. Sur la place du Salin, à proximité de l'impasse de la trésorerie, un orgue laisse échapper quelques notes. Quatre organistes ont leurs quartiers dans le temple protestant du Salin. Et il n'est pas rare non plus d'y croiser des élèves du conservatoire venir en découdre avec du Bach ou du Widor. « La musique est très importante dans la pratique de notre religion », explique Brigitte Vernel, l'une des 13 conseillers presbytéraux, ces laïcs élus par les fidèles qui forment le conseil d'administration du temple. Pour le centenaire, elle a effectué de nombreuses recherches et compilations, à tel point qu'elle parle comme un livre d'histoire et assure la visite. Seul le lieu de culte a cent ans. « La bâtisse de 800 m2, elle, date du XIIIe siècle. Au départ, c'était la Trésorerie royale, une sorte de coffre-fort pour la collecte de l'impôt sur le sel.

Après, c'est devenu la maison du roi en visite à Toulouse. Louis XI a passé deux mois ici en 1 463. Patrimoine. Ce Toulouse surgi du passé - Expos/Musées/Visites. Cheveux bien lissés sur le côté, regard sombre éclairé d'une pointe de malice… le portrait d'un jeune homme trône au milieu de l'exposition présentée au sous-sol du Muséum. C'est le visage d'Eugène Trutat, photographe toulousain du XIXe siècle que l'on redécouvre aujourd'hui. Autour de son portrait sont disposés des appareils de son époque comme une chambre photographique en bois avec un gros soufflet qu'on imagine bien lourde à transporter jusqu'aux sommets des Pyrénées.

Reliefs frontaliers, vallées et villages, paysages pastoraux, fêtes, foires, concours agricoles, marchés. Dès les années 1870, Eugène Trutat a exploré la région et immortalisé aussi bien les sommets vertigineux des Pyrénées que les lavandières du Pont-Neuf. L'ancêtre de la 3D L'expo recèle plusieurs surprises. Un autre aspect du travail du premier conservateur du Muséum de Toulouse est sa thèse sur le desman des Pyrénées.

Célébration. Saint-Exupéry, le petit prince de Toulouse - Loisirs. C'était le 14 octobre 1926. Antoine de Saint-Exupéry débarque à Toulouse. Il a 26 ans et arrive de Paris. Il traîne avec lui une douce mélancolie liée à la nostalgie de son enfance et cherche à donner un sens à sa vie. Antoine de Saint-Exupéry a rendez-vous avec Didier Daurat, le directeur des Lignes aériennes Latécoère. Dès 1918, l'entreprise a eu l'idée de relier, pour la poste, l'Europe à l'Amérique latine. Dans un premier temps, il s'agissait de rejoindre le Maroc, avec un Breguet 14 équipé d'un seul moteur. Au cours de son entretien avec Antoine de Saint-Exupéry, Didier Daurat décèle en lui une âme de pilote et les valeurs humaines indispensables à ce type d'aventure.

Les jeunes pilotes sont hébergés au Grand Balcon, une pension de famille située au cœur de Toulouse, tenues par les sœurs Marquès. Il fréquentait le Père Louis Tous les matins, Saint-Ex prenait le tramway pour se rendre à l'aérodrome de Toulouse-Montaudran. A Toulouse, les pilotes avaient leurs habitudes. URBAN-HIST ville de Toulouse.