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Écoles

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L'actu media web - Faut-il un classement des écoles de journalisme ? Oui, mais…. Nostalgiques de l'OAS, gros sous et guerre d'égo: la recette idéale pour faire exploser ton école de journalisme | Dimanche 19 Juin 2011 sur StreetPress. Cathos L’Institut Français de Journalisme avait déjà fait parler de lui (en mal) en 2008. A l’époque un gué-guerre politico-religieuse avait retourné la très catholique Faculté libre de Droit et d’Économie (Faco) qui hébergeait l’école (on y est accueilli par le journal La Croix et des prospectus pour les JMJ de Madrid). « Les échanges de mails se terminaient par ‘sale athée’, ‘sale catho’. C’était une ambiance de croisade, la guerre des religions ! », se souvient outrée Charlotte étudiante à l’IFJ de 2008 à 2010 quand elle parle de sa promo.

Bernard Vivier, le président de l’IFJ, rapporte lui qu’un élève « dans la mouvance catho-intégriste a monté les uns contre les autres » tandis que le prof de journalisme Jean-Pierre Corcelette vanne sur une association qui s’était montée « pour ‘’éduquer les jeunes pour redresser la France’ ». Comment réviser les concours aux écoles de journalisme? | Mardi 21 Juin 2011 sur StreetPress. 1Taxer de la tune à ses parents Bien que pas mal de journaliste pigistes vivent sous le seuil de pauvreté, passer les concours des écoles de journalisme demande un compte en banque bien garni. Si tu te limites au Pemep (link is external) (concours commun du CFJ et de l’IPJ) tu t’en tireras pour 428 euros maximum. Mais comme tu dois multiplier tes chances de réussite il faut aussi penser à passer le concours du Celsa (70 euros), le concours du CUEJ de Strasbourg (91 euros) et celui de l’IUT de Bordeaux (70 euros) et rajouter les prix des billets de train (entre 60 et 75 euros aller-retour depuis Paris) et de la nuit d’hôtel (environ 60 à 80 euros).

Ah oui, n’oublie pas aussi qu’il faudra payer un deuxième voyage si tu es admissible. Résultat : Entre 800 et 1000 euros pour passer les concours. Le conseil de StreetPress : Pour réunir cette somme, StreetPress te conseille de faire quatre stages de trois mois rémunérés 300 euros. 2Taxer encore de la tune à tes parents pour t’inscrire à une prépa. Christophe Deloire : « Je ne me souviens pas m'être dit une fois, tiens je pourrais faire une école de journalisme » | Dimanche 19 Juin 2011 sur StreetPress.

Quand est-ce que vous vous êtes dit : « Ca y’est je suis journaliste » ? Quand me suis-je dit « je suis enfin journaliste ? »… A la sortie de l’Essec, j’ai effectué mon service national pour TF1 à Berlin où j’étais assistant du correspondant permanent. Puis j’ai fait mes premières grandes enquêtes pour Le Point. Alors que j’étais pigiste, une rédactrice en chef du Point m’a dit « c’est d’accord tu peux aller 15 jours dans le sud travailler sur l’affaire Raddad, on t’offre le gîte et le couvert à Cannes pour aller enquêter ». Et l’idée de faire une école de journalisme ? Je ne me souviens pas m’être dit une fois, tiens je pourrais faire une école de journalisme.

Ca ne vous manquait pas… Je devais avoir une étroitesse d’esprit assez grande pour ne même pas y avoir pensé, pour que ça échappe à mes schémas mentaux… Il n’y avait peut-être pas besoin pour vous, de perdre du temps, en école de journalisme après avoir fait l’Essec… Et puis après c’est la chance ! Donc forcément une école ? Les billets les plus lus - Et si les écoles de journalisme se mettaient au triolisme ? Le reproche fait aux vénérables maisons qui enseignent le journalisme n'est pas forcément nouveau, mais il est aujourd'hui de plus en plus significatif.

S'il a toujours été un peu gênant de former des journalistes "en vase clos", c'est-à-dire assez éloignés de la réalité des nombreux autres métiers qui "faisaient" les journaux, ce défaut structurel pose aujourd'hui un véritable problème. Au moment où un nouveau type de journalisme émerge, peut-on continuer à former des journalistes solo ou, au mieux, des journalistes habitués à travailler entre journalistes ?

Les nouveaux médias inventent, au fil des mois, de nouvelles pratiques journalistiques, de nouveaux formats éditoriaux, dont l'une des principales spécificités réside dans la collaboration étroite entre journalistes, graphistes, développeurs, techniciens spécialisés dans l'exploitation des données… C'est l'une des révolutions des pure-players au sein de la profession. Du "journalisme de couple" au véritable triolisme.