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Bonheur & société

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Notre vision du bonheur est-elle culturelle? Dans les écoles du Danemark, les cours d'empathie sont obligatoires. Pour qu’un enfant ait toutes les chances de s’épanouir, l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et des mathématiques est un point essentiel. Mais ça ne suffit pas. Il en faut bien davantage pour être bien dans ses pompes. Et ça, le Danemark l’a bien compris : ce pays est le seul au monde dont les écoles enseignent l’empathie ! Et si c’était ça le secret du territoire le plus heureux de la terre ? L’empathie est définie par le Larousse comme « la faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui, de percevoir ce qu’il ressent. » Autrement dit, l’empathie désigne la capacité de chacun à écouter les autres et à comprendre leurs sentiments. C’est cela qu’apprennent les jeunes Danois de 6 à 16 ans, à raison d’une heure de cours par semaine, et ce depuis une loi de 1993.

Alors, bien sûr, l’empathie ne s’enseigne pas comme on enseigne la grammaire ou la règle de trois. Lors de ces cours, les élèves sont tout simplement invités à communiquer, à écouter et à échanger entre eux. Société : Le bonheur en mutation. Evangélisation Les Français sont-ils heureux ? Le bonheur en mutation ! On constate un changement dans la façon dont les Français envisagent le bonheur. L'idée du bonheur est désormais liée au seul individu et se démarque également de la notion de réussite. Face au message du bonheur évangélique, voilà bien l'un des défis de l'évangélisation du XXIe siècle. Les Français sont-ils heureux ? Une vison pessimiste de la société D'abord les Français, quand on les interroge sur la question, introduisent désormais systématiquement une distinction entre le bonheur personnel et le bonheur vécu avec l'ensemble des autres.

Les petites satisfactions Le deuxième changement notable s'inscrit dans le même genre de logique puisqu'on peut dire que ce sont les attentes même des Français par rapport à la vie, et par extension au bonheur, qui ont subi d'importantes modifications. Que penser de tout ceci ? Jean-Raymond STAUFFACHER, pasteur-évangéliste. Médias et informations négatives: un obstacle à notre bonheur ? - L'optimisme. 1 Share Share Tweet Email A côté des médias classiques – journaux ou télévision – le web est un puissant diffuseur de mauvaises nouvelles que nous partageons en un clic avec nos amis, parfois avec la fierté de leur apprendre ce qu’ils ignoraient encore. Aussi, éprouvons-nous un malin plaisir à détenir en avant-première le fait divers du jour et à en être le rapporteur auprès des autres. Dans cet univers ultra connecté, la propagation de la négativité via les canaux d’informations va bon train.

Les médias l’ont bien compris : pour vendre et faire de l’audimat, il faut toucher là où ça fait mal ! En jouant sur la corde sensible, on accroche et on captive. Cette corde, ce sont toutes les émotions négatives ancestrales qui façonnent l’instinct de survie humain : si je suis au courant, je peux me protéger si cela m’arrive. La course au buzz et au sensationnalisme a encore de beaux jours devant elle Le cerveau est ainsi fait qu’il enregistre plus facilement les informations négatives que positives.

Maria Montessori : l’éducation qui guide les enfants vers le bonheur | On sait ce qu'on veut qu'on sache. 26 Shares Maria Montessori (1870-1952), une des premières femmes-médecins d’Italie est surtout connue pour sa méthode d’éducation et d’instruction valorisant les capacités de chaque enfant, et ainsi permettre leur épanouissement. Une méthode qui a fait le tour du monde et que l’on vous présente aujourd’hui ! La méthode Montessori suit des principes simples : il s’agit de révéler et de mettre en avant les capacités de chaque enfant.

Une vision non cantonnée à la transmission de connaissances, qui reste nécessaire. Selon Maria Montessori, l’enfant doit pouvoir développer ses capacités de manière autonome. De plus, le système éducatif devra être en harmonie avec le rythme et la personnalité de chaque enfant : une vision avant-gardiste transmise au monde entier, mais qui s’est souvent heurtée à un mur. La méthode Montessori suit une pédagogie scientifique basée sur la connaissance et le respect des lois qui gouvernent le développement psychologique des enfants. Le bonheur sociétal sous le soleil de Sète. "Nous allons parler du bonheur, ce n'est pas un scoop, lançait ce jeudi le président des 3es Assises internationales du bonheur, Patrice Tachon, lors de l'ouverture des trois jours de conférences. Mais nous allons parler du bonheur sociétal, et non du bonheur individuel, même si le premier fait ou devrait faire le second.

" Dans la salle Tarbouriech du théâtre de la Mer, il parlait au nom de "l'incurable optimisme" de l'Observatoire international du bonheur (OIB) et brandissait “altruisme” ou encore “solidarité” en maîtres mots. Actions de quartier, internationales ou environnementales sont, entre autres, au cœur du bonheur sociétal. Transition écologique et bonheur Accompagné de Yanouna David, coordinatrice, et de Thierry Salomon, vice-président, il laissa la parole au sénateur-maire François Commeinhes qui, à son tour, discourut : "Je suis un homme heureux, commença-t-il.

Au vu du climat actuel, parler du bonheur peut sembler indécent. "Peut-on imaginer bonheur sans culture ? " La société de consommation mène t'elle au bonheur ? Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function mysql_connect() in /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php:24 Stack trace: #0 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php(1296): MySQLDB->MySQLDB() #1 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-content/themes/Avenue/header.php(5): require('/homepages/2/d3...') #2 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(501): require_once('/homepages/2/d3...') #3 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(477): load_template('/homepages/2/d3...

Diapo­rama Le Bouthan, pays du bonheur - Vsd. Au Bhou­tan, ce petit pays de moins d'un million d'habi­tants, niché entre l'Inde et la Chine, pas ques­tion de parler de Produit inté­rieur brut (PIB), la mesure de la produc­tion annuelle de richesse ! Ici, c'est le BNB qui prime : le Bonheur natio­nal brut ! Cet indice prend en compte le bien-être de sa popu­la­tion. Le BNB repose sur quatre piliers : la conser­va­tion et la promo­tion de la culture bhou­ta­naise, la préser­va­tion de l'envi­ron­ne­ment, la bonne gouver­nance et le déve­lop­pe­ment écono­mique respon­sable et durable.

Ces quatre piliers sont ensei­gnés aux enfants dès le plus jeune âge. Le pays prévoit par ailleurs de passer à une agri­cul­ture 100 % biolo­gique d'ici 2020. S'il y parvient, le Bhou­tan serait le premier pays bio du monde ! En 2004, déjà, le Bhou­tan s'était fait connaître en étant le premier du monde à prohi­ber le tabac. Des ombres au tableau… Crédit photo : AFP. Bonheur : le plaisir est-il lié à notre consommation. Beaucoup recherchent le bonheur, sans réellement arriver à le définir. Beaucoup se ruent dans les magasins le premier jour des soldes ou achètent continuellement des choses (bien souvent) inutiles sans savoir si elles les rendent pleinement heureux.

Psychologie positive, manège hédoniste, recherche de simplicité, dans son livre No Impact Man, Colin Beavan s'attardent sur le lien qu'il peut exister entre bonheur et consommation. À vous de savoir ce que vous en faites... Je ne suis pas un ascète. Je suis optimiste quant à la nature humaine. Au moment où j’ai démarré le projet No Impact, un éditeur de magazine m’a, par hasard, commandé un article sur la psychologie du bonheur humain. Depuis une dizaine d’année, cependant, une nouvelle école - dite de la psychologie positive - se focalise sur les gens heureux plutôt que sur les malades mentaux.

Crédit photo : Jash Felise © [1/8] La société de consommation : cette créature qui nous fascine et qui nous détruit – Le Troisième Baobab – Medium. Tout a commencé il y a pas longtemps. C’était un dimanche après-midi pluvieux pendant les giboulées de mars, j’étais au fond du canapé et je ne savais pas quoi faire de moi-même. Alors j’ai décidé de faire ce que n’importe quelle personne censée ferait d’un dimanche pluvieux. J’ai calculé mon empreinte écologique ! J’ai trouvé le calculateur de WWF et j’ai répondu à plein de questions à propos de mon mode de vie. Alimentation, consommation d’électricité, voiture etc. J’étais plutôt contente de moi, jusqu’à ce que je réponde à des questions concernant mes voyages en avion.

Résulat : Attendez, je suis à 2,2 planètes et WWF me félicite ?! En vrai, calculer l’empreinte écologique en nombre de planètes ne représente pas grand-chose. En théorie, l’empreinte écologique calcule la surface de terre nécessaire pour produire les ressources utilisées par une personne ou une population et absorber les déchets qu’elle produit. Mais ce n’est pas une excuse non plus pour ignorer le fond du message. La clef du bonheur est dans l'amitié - Grazia.fr. Sociétés réelles, sociétés rêvées : une histoire de l'utopie. Les Suisses respirent le bonheur. Les Suisses s'estiment globalement contents de leur vie. C'est ce que montre une étude de sciences sociales publiée mardi qui se concentre sur le bien-être. Mais cette satisfaction est très vite mise à mal par les inégalités et les discriminations. L'enquête du Centre de compétence suisse en sciences sociales (FORS), soutenue par le Fonds national suisse, se fonde non seulement sur des données rationnelles, tel le niveau de bien-être économique, financier ou social, mais intègre aussi des éléments subjectifs.

Il est par exemple demandé comment les Suisses apprécient leur propre influence sur la politique ou quel est leur sentiment d'insécurité. L'argent ne fait pas le bonheur L'environnement professionnel est généralement bien noté. En revanche, le contentement est sérieusement remis en question dès lors que les personnes sont exclues ou reléguées en marge du système de formation ou du marché du travail ou parce qu'elles basculent dans la pauvreté. Pas d'influence de la politique. Télé. En Amérique, le bonheur est dans la terre, puis dans l'assiette. Que Du Bonheur : la grande enquête sur le bonheur des jeunes est lancée – Il faut tout essayer ! – Neonmag. Générations Cobayes, c’est le nom d’une association de bénévoles tournée vers les préoccupations des jeunes, leur place et leurs espérances dans la société. Pendant 2 mois, tous les jeunes de 18-35 ans sont invités à répondre à la première grande enquête nationale réalisée par des jeunes, pour des jeunes. L’objectif : alerter les politiques et les décideurs du pays sur notre situation et nos attentes pour l’avenir.

L’association rappelle que les 18-35 ans représentent 28 % de la population en âge de voter. Un chiffre qui pourrait bien faire pencher la balance du côté des citoyens. L’opération, lancée le 1er septembre et qui doit durer 8 semaines a été pensée et conçue en collaboration avec la société citoyenne DOMPLUS pour fournir un questionnaire complet, parlant et efficace. Concernée et ambitieuse, l’enquête sur le bonheur des jeunes doit recueillir 100 000 réponses sous deux mois et compte bien briser les clichés véhiculés par les générations qui ne les comprennent pas.

Qui veut booster le Bonheur national brut ? Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? Que le monde aille mieux… Et s’il suffisait pour cela de donner un cadre juridique au bonheur ? L’idée semble farfelue. Elle a pourtant mobilisé quelques dizaines de cerveaux, à Sète, de jeudi à samedi : des juristes, des avocats, des chercheurs, des professeurs ainsi que de simples citoyens venus de France, du Québec, de Pennsylvanie, du Sénégal ou de Grèce, tous réunis à l’initiative de l’Observatoire international du bonheur (OIB). Produit intérieur doux et «bonheur solidaire» Créé en 2010 sous l’impulsion du Conseil national des barreaux, présent dans une demi-douzaine de pays, l’OIB se présente comme «la seule institution à promouvoir et étudier les interactions entre droit et bonheur». Durant ces Assises, il est question de PID (Produit intérieur doux), de BNB (Bonheur national brut), d’IBM (Indice de bonheur mondial), ou encore de «bonheur citoyen» ou de «bonheur durable».

Des hommes heureux pour sauver la planète ? Sarah Finger. Melbourne, la ville du bonheur. Photo: Nigel Killeen / Getty Images Il y a d’abord tous ces petits coups de main, ces attentions très visibles quand on prend le tramway à Melbourne. Des inconnus qui s’aident à porter les courses. Un conducteur qui tient une conversation avec un sans-abri en mal de lien social… Puis, sans qu’on s’y attende, des notes de musique résonnent dans la rame. Tram Sessions, un groupe de béné­voles qui organise des concerts impromptus dans le tramway (le plus vaste du monde, avec ses 245 km), a invité ce jour-là le chanteur Hein Cooper à s’y produire, avec sa guitare. «C’est vraiment melbournien, hein?» À lire aussi: Venez visiter le Canada de Justin Réputée pour sa culture, son art urbain et sa vie de quartier, Melbourne est la championne du monde de la qualité de vie depuis six ans, selon le cabinet britannique indépendant The Economist Intelligence Unit, propriété du groupe qui publie le magazine The Economist.

Une plage paisible, propice aux activités familiales. Au pays du safari responsable. Culture(s) populaire(s) et pratiques culturelles. Miroirs et mirages du bonheur (Strasbourg) CONGRÈS AFEA (Association Française d'Études Américaines), Université de Strasbourg, 6-9 juin 2017 L’expression « la recherche du bonheur » a longtemps signifié aspirer à une vie meilleure et était liée à un rêve américain que chacun pouvait prétendument atteindre, mais ce rêve semble pour beaucoup inatteignable.

La culture populaire nord-américaine rend visible aussi bien la dichotomie entre la réalité et l’idéal que la fluctuation du terme « bonheur », dont le sens varie selon les sociétés et les périodes. Doit-on repenser le bonheur ? Si oui, en quels termes ? L’utilisation de l’expression « la recherche du bonheur », comme titre de maintes productions culturelles et comme enjeu commercial, montre que si cette notion est un droit inaliénable qui fait partie de l’héritage nord-américain et de ses valeurs, elle est aussi insaisissable et trompeuse.

Les pistes suivantes, non exhaustives, pourront être explorées : -l’articulation entre la recherche du bonheur et les notions ci-dessus.