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Réseau Social

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La mort à l’heure des réseaux. La lecture de la semaine, il s’agit d’un entretien paru dans la revue américaine The Atlantic, entretien avec un philosophe australien du nom de Patrick Stokes, auteur d’un récent travail de recherche sur la mort dans les réseaux.

La mort à l’heure des réseaux

Le titre du papier : “Comment Facebook permet de vivre après la mort, enfin en partie”. Je n’ai traduit que des extraits de cet entretien. “Mon point de départ pour penser cette question m’est venu de Facebook. Facebook propose sur la droite de notre profil des gens que nous sommes supposés connaître, et dans la liste des suggestions qui me sont faites, il y a au moins deux personnes qui nous ont quittés – Facebook sait que ces gens sont morts, et inscrit donc une petite mention qui indique “en mémoire de”, le profil concerné étant transformé en une page mémorial. Je me suis dit qu’il était un peu étrange que dans la liste de mes amis potentiels, des gens que je connais, certains d’entre eux soient déjà morts. Xavier de la Porte. Facebook and death: Blurring the line between the real and virtual. As the dividing line between our online and offline lives continues to fade, more and more of what happens in the “real” world is also seeping into the online world — and that includes death.

Facebook and death: Blurring the line between the real and virtual

So how should we deal with it when our friends or loved ones die? I started thinking about this recently when I decided to live-tweet a friend’s funeral (something that many people felt was inappropriate), and it was reinforced for me when I saw the same friend’s face pop up in my Facebook chat list, and even saw updates in my stream from his page. What is the appropriate response when this happens? Is it a sign of how creepy social networks can be in such situations, or is it just part of what living our lives online means now? I confess that when I first saw my friend Michael’s face appear in my chat list, I was taken aback — and more than a little disturbed by it.

How social do we want death to be? When real death meets virtual death Post and thumbnail images courtesy of Flickr user Chad McDonald. Un réseau social... pour les morts. Facebook se met au trépas. Déposer des chrysanthèmes sur la tombe virtuelle d’un défunt ou allumer des bougies dans un cimetière du Web.

Facebook se met au trépas

Se recueillir sur un blog à la mémoire d’un proche ou lui fabriquer un mémorial sur le Net. Le Jour des morts, au lendemain de la Toussaint, se célèbre aussi sur la Toile. Internet devient ainsi de plus en plus un espace de deuil et de commémoration. Sur des sites spécialisés, les familles racontent leur douleur, se soutiennent entre elles et adressent des messages au défunt. «Dans le passé, on se rendait visite. Usage. Sur Facebook, comme sur les blogs et les cimetières virtuels, après les premières semaines, c’est aux dates anniversaires de décès que les messages sont les plus nombreux. Ainsi, le deuil en ligne ne semble pas différer des rites habituels. Mémoire. Gravés. . (1) Le prénom a été modifié. Illustration Chloé Poizat Lisette GRIES. Gérer son eReputation même après sa mort avec les réseaux sociaux pour défunts.

Nous le savons, les nouvelles technologies contribuent largement aux évolutions de nos comportements dans notre vie quotidienne mais également au-delà.

Gérer son eReputation même après sa mort avec les réseaux sociaux pour défunts

Les réseaux sociaux deviennent de plus en plus un levier d’expression naturel et complémentaire de notre personnalité, au point d’empiéter sur des zones imprévues de notre vie…et de notre mort. A l’avenir, combien continueront de perpétuer les traditionnelles visites dans les cimetières ? Il y a fort à parier que seul les accros de la géolocalisation qui souhaitent devenir ‘Maire’ d’un cimetière seront tentés. On peut aussi imaginer de mettre un QR code sur sa tombe pour attirer les Geeks. Après tout, on a bien vu un numéro de téléphone sur une tombe renvoyant vers une messagerie…Sans compter ceux qui se font enterrer avec leur smartphone. Au-delà du coffre-fort virtuel, ce sont de véritables solutions de mémorial pour défunts qui sont proposées, en France comme à l’étranger.

Finalement, pourquoi pas ?