Le 100 établissement culturel solidaire. Le SO.C.L.E. (SOlidarité, Culture, Lien social, Emploi), a pour mission l’aide et l’accompagnement à la réalisation de projets générateurs d’emplois dans les secteurs de l’art, de la culture et du lien social. Le Socle est un lieu de permanence et de continuité situé au-dessus de l’Atelier en Commun. C’est une base logistique pour les artistes porteurs d’un projet culturel tendant vers l’entreprenariat. En binôme avec l’Atelier en commun il permet de penser travail créatif et entreprenariat culturel dans la continuité et la complémentarité. Le SO.C.LE. s’implique avec les porteurs de projets dans les différentes étapes de production de leurs créations culturelles comme tout ou partie d’une économie de vie devant trouver son autonomie financière. Pour les projets qui le nécessitent, la dernière étape de l’accompagnement, peut se faire au sein de la couveuse d’entreprises culturelles du Socle.
Le SO.C.L.E. 3e étage du 100 rue de charenton. La Villa Mais D'ici. Les lieux. En savoir + L’association Autre(s)pARTs, constituée en septembre 2000, a fusionné avec l’association ARTfactories en novembre 2007. 42 membres sont aujourd’hui réunis pour poursuivre l’objectif premier de « favoriser la mise en œuvre d’un centre commun de réflexion, de recherche et d’action pour la valorisation des projets et des lieux qui organisent leurs pratiques et expérimentations autour de nouvelles […] relations entre arts, territoires et populations ». ARTfactories/Autre(s)pARTs développe une plateforme de ressources en ligne qui réunie des projets, des lieux, des textes, et des expériences artistiques fondés sur un engagement avec les populations.
Au travers de la production de ressources, notre association a pour but de favoriser la visibilité et la lisibilité de ces projets artistiques et culturels. Ce groupe précise et actualise régulièrement les principes et orientations qui fondent son action : Lire les 9 principes d’ARTfactories/Autre(s)pARTs, actualisés en décembre 2012. La Ferme du Bonheur. La Ferme du Buisson. Guinguette Pirate. 154 rue Oberkampf 75011 Paris Tel : 01 43 49 67 12 L’association a pour objet de promouvoir la culture au travers des arts vivants (musique, théâtre, marionnettes…) et les différentes formes d’expression artistiques ; ses actions s’inscrivent dans l’animation artistique et socioculturelle de lieux culturels originaux, à destination d’un public diversifié ; intervenir dans les quartiers, dans les écoles ou au sein d’autres associations socioculturelles, développer des activités de diffusion artistique et d’animation, en particulier en direction du jeune public, en temps scolaire ou non, ainsi que des activités de production artistique.
La Guinguette pirate a été créée en 1995 pour animer et faire vivre un équipement culturel installé sur une jonque chinoise amarrée au pied de la Bibliothèque nationale de France à Paris 13ème. Depuis, l’association a mis en place et développé une série de projets et d’événements en direction des publics jeunes, jeunes adultes et adultes. Esteban Ricardo - Petit Bain. Maison Édouard Glissant. Plaquette - Usines ephemeres. La Fabrique Des Impossibles — Le vent se lève ! tiers lieu. Dans la période qui a précédé l’ouverture du Vent se lève ! J’avais invité son fondateur Jean-Pierre Chrétien Goni à venir travailler au théâtre de l’hôpital psychiatrique Marcel Rivière où j’exerce depuis 30 ans comme responsable de l’action culturelle et artistique.
Il y a travaillé pendant 3 ans. Ensemble, nous avions écrit un livre pour tenter de raconter ce qui se passe quand l’art entre en psychiatrie : "Ici plus qu’ailleurs, s’exercent l’éprouvé du sensible, la mise au travail de soi avec les autres, la reconnaissance des différences, et les sens à donner à nos existences, les modes possibles d’aménagement de l’être pour vivre en société.
" Ce que nous ne pouvons plus faire, ou presque depuis un an, au théâtre de l’hôpital psychiatrique, derrière les murs de l’enfermement, pour de multiples raisons dont la perte du sens du collectif et de la pensée humaniste du soin qui passe par les pratiques de l’art et la mise au débat de nos pratiques. Le Vent se lève ! Madeleine Abassade.
Nouveaux territoires de l’art, un atout pour innover (par Michel Duffour*) Dans ces espaces s’exprime une des tendances fortes de l’art actuel, le désir de faire de l’œuvre un lieu de prédilection de la rencontre entre les hommes. L’ appellation « nouveaux territoires de l’art » renvoie à des expériences qui ont un fonds commun. Mais ces trois mots, dont je me suis servi avec d’autres chercheurs et acteurs culturels pour nommer des lieux que nous estimions singuliers au regard des institutions existantes, ne sont pas une marque déposée. Qu’on leur préfère d’autres mots – fabriques, lieux alternatifs, espaces intermédiaires – peu importe, puisqu’il s’agit à chaque fois de donner à voir l’originalité et la pertinence d’actes artistiques cherchant à ouvrir des pistes jusqu’alors insuffisamment explorées.
Des expériences novatrices Ces expériences ne sont pas sans passé. Il est primordial, dans un monde de plus en plus standardisé, de favoriser des espaces qui essaient « autre chose». Les rapports avec les populations La Revue du projet, n° 20, octobre 2012.