background preloader

Auteurs

Facebook Twitter

Violette Leduc. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Naissance et formation[modifier | modifier le code] Violette Leduc est née à Arras le dimanche 7 avril 1907 (déclarée le 8), à cinq heures du matin, fille illégitime de Berthe Leduc et d’André Debaralle, un « fils de famille » de la haute bourgeoisie de Valenciennes.

Il refuse de reconnaître l'enfant. Dès son enfance, elle est marquée par la honte de sa naissance. Violette est interne au collège de Valenciennes, puis dans celui de Douai où elle fait la connaissance d'Isabelle P. avec qui elle a une relation d'amour passionnée. Violette Leduc connaît également, à cette époque, ses premières passions littéraires : les classiques russes, puis Cocteau, Duhamel, Gide, Proust et Rimbaud. Un écrivain pour écrivains[modifier | modifier le code] Le succès[modifier | modifier le code] Les dernières années[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] Filmographie[modifier | modifier le code] Jean-Edern Hallier. Léon Bloy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Léon Bloy Léon Bloy en 1887, à 41 ans. Œuvres principales Le DésespéréLa Femme pauvreExégèse des lieux communsJournal Léon Bloy, né le à Notre-Dame-de-Sanilhac[1] et mort le à Bourg-la-Reine, est un romancier et essayiste français.

Il est connu pour son roman Le Désespéré, largement inspiré de sa relation avec Anne-Marie Roulé. Biographie[modifier | modifier le code] Il est le deuxième des sept garçons de Jean-Baptiste Bloy, fonctionnaire des Ponts et Chaussées et franc-maçon, et d'Anne-Marie Carreau, une ardente catholique. Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l'établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l'oriente vers l'architecture. Rencontre avec Barbey d'Aurevilly[modifier | modifier le code] En , il fait la rencontre de Jules Barbey d'Aurevilly, qui habite en face de chez lui, rue Rousselet. Sa vie bascule à nouveau en 1877. Le Désespéré[modifier | modifier le code] Alain Mabanckou - Le site. Tibault Baka, sortir de la sous-France.

Tibault Baka est un singulier phénomène littéraire. Contrairement à Marc Levy, ses livres ne trônent sur aucune tête de gondole, ni aucun classement officiel de meilleures ventes. Contrairement à Christine Angot, aucun critique littéraire ne le connaît. Et pourtant, il vend. Son premier roman, le Bon Lieu (tome 1), une autobiographie «légèrement» romancée sur le parcours d’un enfant de banlieue, sorti fin 2011, s’est vendu à 5 200 exemplaires.

Cela ne paraît pas extraordinaire mais c’est six fois plus que la moyenne des ventes d’un premier roman. Il espère sereinement que le second tome, sorti fin 2012, connaîtra le même sort. Les aventures de son avatar Jo Lalobalance sont écrites dans un phrasé parlé qui ressemble parfois à une mitraillette de statuts Facebook. Depuis son café de Flore à lui, un bar PMU de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), dans le nord de Paris, Tibault Baka explique qu’il a «réussi son pari», celui de «devenir écrivain» et même, luxe rare dans le métier, d’en vivre. François Bon | Auteurs | Contemporain. François Bon est né en Vendée en 1953. Après des études d’ingénieur en mécanique à l'École Nationale Supérieure d'Arts et Métiers, il se spécialise dans la soudure par faisceau d’électrons.

Ce métier l’amène à travailler plusieurs années dans l’industrie aérospatiale et nucléaire, notamment en France et à l’étranger. Il poursuit ensuite ses études, de 1980 à 1982, en philosophie. Cet auteur prolifique publie en septembre 1982, aux éditions de Minuit , son premier roman intitulé Sortie d'usine. Il décide alors de se consacrer entièrement à la littérature et son corpus très varié compte plus de trente oeuvres dont plusieurs romans, récits, poèmes en prose et romans pour adolescents. Il enseigne ensuite à l’Université de Bordeaux et à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts à Paris. Numéros de revue consacrés à François Bon- Scherzo, « François Bon, regard critique et entretien », no 7 (printemps 1999), 75 p.

Responsables : Stéphanie Bédard et Mathilde Barraband C'était toute une vie.