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Spornosexuel

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Sporno. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

sporno

Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (xxi e siècle) Mot-valise formé à partir de sport et porno, apocope du substantif féminin pornographie. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] sporno /spɔr.no/ masculin (Média) Phénomène médiatique récent qui mêle érotisme et sport, et place certains sportifs au rang de symboles sexuels. The 'Daddy' of the Metrosexual, the Retrosexual & Spawner of Sporno. The metrosexual is dead. Long live the 'spornosexual' Two decades of increasingly out and proud – and highly lucrative – male vanity later, and the metrosexual remains the apple of consumerism’s rapacious eye.

The metrosexual is dead. Long live the 'spornosexual'

In a recent report, HSBC drooled all over his "Yummy"-ness, pointing out how mainstream metrosexuality has become. This was of course old news to anyone with eyes to see the extremely image-conscious and product-consuming men around them – or in bed with them. Or the way that the glistening pecs and abs of men’s health and fitness magazines have been outselling the "lads' mags" for several years.

Or indeed anyone who saw the news last year that men in the UK now spend more on shoes than women. From the perspective of today's fragranced, buffed, ripped, groomed, selfie-adoring world, it's hard to believe that the metrosexual had to struggle to be heard in the early 1990s. Metrosexual 2.0: rugby player turned model Thom Evans (Photo: D Hedral) READ: Why Britain's 'vainest man' is no model for manliness Let's call them "spornosexuals". Le spornosexuel supplante le métrosexuel - Lifestyle.

Prenez les mots «sport», «porno», «sexuel» et contractez-les.

Le spornosexuel supplante le métrosexuel - Lifestyle

Vous obtiendrez ainsi la dernière appellation à la mode: spornosexuel. Il vient d’être inventé par Mark Simpson. En 1994, ce chroniqueur britannique avait déjà lancé le terme métrosexuel. Il désignait des mecs sûrs de leur virilité, qui assumaient le fait d’aimer la mode et exhibaient leur plastique de rêve en sous-vêtements. Le modèle était David Beckham, puis Cristiano Ronaldo. 20 ans plus tard, le journaliste estime, dans le «Daily Telegraph», que la donne sociale a changé: «Contrairement aux vieux métrosexuels, comme Beckham dont les attributs sont artificiellement gonflés sur les publicités, les spornosexuels se sont photoshopés dans la vie réelle.» Culture du selfie et du porno Notre spécialiste de la masculinité cite Dan Osborne comme étant l’archétype de ce nouveau courant. Spornosexuel, le retour. Le spornosexuel est-il le nouveau métrosexuel ? Spornosexuel : comme on peut le deviner aisément, ce mot qui résonne comme une insulte de cour de récré et qui secoue les médias anglo-saxons depuis quelques jours est la contraction de “sport”, “porno” et “sexuel”.

Le spornosexuel est-il le nouveau métrosexuel ?

Pas grand chose à voir avec des pratiques à risques, encore que. Ce néologisme évocateur, on le doit au journaliste Mark Simpson, le même qui avait théorisé le “métrosexuel” il y a 20 ans, après avoir assisté à l’exposition “It’s a Man’s World”, organisée par le GQ Anglais. A l’époque, il décrivait l’homme métrosexuel comme “un jeune homme célibataire à haut revenu, vivant ou travaillant en ville (parce que c’est là que sont toutes les meilleures boutiques), et qui est peut-être le consommateur le plus prometteur de la décennie” : un consommateur affirmé, qui prend soin de lui avec une vanité revendiquée à une époque où le narcissisme (voire la coquetterie) au masculin représentait encore un certain tabou.

"Spornosexuel" : un buzzword mort-né? Le sujet “Sport + porno + sexuel = spornosexuel” : c’est la nouvelle formule sortie de l’esprit décidément bien (trop) créatif de Mark Simpson.

"Spornosexuel" : un buzzword mort-né?

En 1994, ce journaliste et écrivain britannique invente le terme “métrosexuel” au détour d’un article publié dans The Independent et consacré à une expo sur la mode masculine alors organisée par GQ. Vingt ans plus tard (hasard de calendrier, vraiment?!) , Mark Simpson balance son “spornosexuel” dans les colonnes du Telegraph. Les JO, la consécration du «sporno» ? L'interrogation revient de plus en plus.

Les JO, la consécration du «sporno» ?

La semaine dernière, le site Buzzfeed publiait un quiz visuel : «les Jeux olympiques ou du porno gay ?» , rapprochant, de façon convaincante plusieurs images de la compétition et des scènes de films X. L'incrustation du score à l'écran («synthé») a en effet transformé à plusieurs reprises d'innocentes images de sportifs en icônes érotiques. Un exemple de synthé qui change l'interprétation de l'image, via Buzfeed, qui a rassemblé ce genre d'images : Dans l’article «Je regarde les JO ou du porno ?»

Mais surtout, dans la foulée, des internautes se sont amusés à intégrer des synthés dans des images, pour les rendre évocatrices. Même un cliché de Thom Yorke, le leader de Radiohead, sur une plage en a fait les frais. Si le fait que l'incrustation des résultats sur les images télé déshabille les plongeurs relève de la coïncidence, la façon dont sont mises en image les épreuves de beach-volley féminin n'a rien d'hasardeux. The Olympics or Soft Porn? Female, Gay Fans Gawking at Male Athletes.