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Logiciel et libre

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Récupéré: Qu'est-ce qu'un logiciel libre / Open Source (GNU, Lin. Le Logiciel Libre, c'est quoi ? Selon la FSF (Free Software Foundation), à l'origine du concept, le logiciel libre est un logiciel fourni avec l'autorisation pour quiconque de l'utiliser, de le copier, et de le distribuer, soit sous une forme conforme à l'original, soit avec des modifications, ou encore gratuitement ou contre un certain montant.

Pour être libre, un logiciel doit respecter quatre libertés fondamentales : la liberté d'exécution ; la liberté d'étude ; la liberté de redistribution des copies ; la liberté d'amélioration. Cela siginifie en particulier que son code source doit être disponible. Et l'Open Source ? Dans la pratique, un logiciel libre est toujours Open Source; un logiciel Open Source, généralement libre. L'OSI (Open Source Initiative) joue un rôle d'organe certificateur et, sur base de neuf critères caractérisant un logiciel Open Source, dresse une liste de licences respectant l'appellation Open Source. Le logiciel libre est-il toujours "gauche d'auteur" ?

Des exemples ? Logiciel libre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du projet GNU, initiateur du mouvement du logiciel libre. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement[1]. Ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus[2]. Ces droits peuvent être simplement disponibles (cas du domaine public) ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés.

Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs »[Note 1]. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : Définition[modifier | modifier le code] Premières ébauches[modifier | modifier le code] La FSF précise quelques points. Pourquoi l'expression « logiciel libre » est meilleure qu'« open source » - Projet GNU. [Traduit de l'anglais] Bien que la liberté d'un logiciel ne soit pas dépendante du nom qu'on lui donne, le nom qu'on lui donne fait une grande différence : des mots différents véhiculent des idées différentes. En 1998, quelques personnes de la communauté du logiciel libre ont commencé à utiliser le terme « open source » (logiciel ouvert) au lieu de « logiciel libre ». On associa rapidement « open source » à une approche, à une philosophie, à des valeurs, et même à des critères d'acceptabilité des licences, différents. Le mouvement du logiciel libre et l'open source sont aujourd'hui des mouvements séparés, avec des idées et des objectifs différents, bien que nous puissions travailler ensemble et que nous le fassions sur quelques projets concrets.

La différence fondamentale entre les deux mouvements se situe dans leurs valeurs, leurs façons de voir le monde. Pour le mouvement open source, la question de savoir si un logiciel devrait être open source est une question pratique, non éthique. Enseignement : l’Inria contre la priorité au logiciel libre, la controverse continue. Comme nous le rapportions hier, l’Afdel, le Syntec numérique et l’Inria ont écrit une lettre à la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, pour lui demander de revenir sur la priorité aux logiciels libres votée par le Sénat dans le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche, à propos des "services et des ressources pédagogiques numériques". La signature du PDG de l’Inria, Michel Cosnard, au côté de celles des présidents du Syntec numérique, Guy Mamou-Mani, et de l’Afdel Jamal Labed, a été vivement critiquée, notamment par l’Aful (Association francophone des utilisateurs de logiciels libres).

"De nombreuses startups Inria sont éditeurs de logiciels" Via son compte Twitter (où il n’avait plus posté de messages depuis fin avril), Michel Cosnard a répondu, d’abord de façon générale le 5 juillet, puis hier directement à Laurent Séguin, président de l’Aful: Vendredi 5 juillet 2013 2. 3. 4. 5. Lundi 8 juillet 2013 @lcseguin Vos propos publics me choquent. Comprendre le débat autour des brevets logiciels. Qu'est-ce qu'un brevet logiciel ? Un brevet, qu'il soit appliqué aux logiciels ou non, permet à son titulaire d'interdire à tout tiers - auquel il n'aurait pas donné d'autorisation explicite - la fabrication, l'importation et la commercialisation du produit ou du procédé concerné. Un brevet protège une invention technique nouvelle - et non évidente - pour une durée de vingt ans maximum. C'est un droit exclusif d'exploitation. L'arsenal juridique propre aux brevets s'oppose, dans le cas précis des logiciels, au droit d'auteur.

Que se passe-t-il au plan européen depuis 3 ans ? Michel Rocard résume ainsi les limites apportées par le Parlement : "lorsque l'homme utilise de la matière ou met en œuvre les forces de la nature, les coûts sont élevés, une rémunération forte est nécessaire, le brevet la rend possible en interdisant l'usage de l'invention sans rémunération.

Où en est-on aujourd'hui ? Aujourd'hui, c'est donc toujours le droit d'auteur qui régit la création en matière logicielle. Open Source : décryptage. Très tôt choisis par les administrations, les logiciels libres et Open Source se diffusent désormais en entreprise, à presque tous les étages. Définition du concept. Qui développe les logiciels libres ? C'est le projet GNU, initié par Richard Stallman et développé par des hackers, qui est à l'origine des logiciels libres, dès 1984. De très nombreuses communautés de développeurs, dont des fondations, se sont ensuite créées dans le monde, composées de bénévoles, d'étudiants, de chercheurs, etc. Elles ont ensuite évolué - pour certaines - vers des ensembles de contributeurs constitués en société. Comment est-il possible que les logiciels libres soient compétitifs par rapport aux solutions propriétaires ?

Les grandes SSII ont aussi senti le vent tourner, et ont pris le train en marche avec un certain succès. D'un point de vue juridique, que valent les licences des logiciels libres ?