background preloader

Webscience

Facebook Twitter

Pourquoi le dogme de la gratuité des données publiques freine la diffusion de l’open data. Toutes les entreprises qui exploitent de l’information publique à des fins commerciales, qui savent « faire parler » et valoriser les données publiques parviennent au même constat : pour développer un modèle économique viable à partir de l’open data, il faut que les données respectent un triptyque indissociable : fraîcheur, qualité documentaire et exhaustivité.

Pourquoi le dogme de la gratuité des données publiques freine la diffusion de l’open data

Il suffirait d’ailleurs, pour s’en convaincre, de suivre le débat naissant sur la qualité des données issues de l’open data (1). Toutefois, seules les administrations dont la diffusion des données fait partie intégrante de la mission (IGN, INSEE, INPI, DILA, Météo-France,…) disposent actuellement des compétences et des budgets pour satisfaire ledit triptyque. La grande majorité des autres administrations qui détiennent ces données publiques enfouies ne sont ni organisées, ni préparées pour les diffuser. En voici un aperçu non exhaustif : Ce plaidoyer pour une liberté de tarification des données publiques n’est pas un blanc-seing.

Le scandale du cartel des machines à écrire enfin dévoilé. Après la condamnation record d'Orange et SFR pour pratiques anti-concurrentielles (117,5 millions d'euros d'amendes, demande d'indemnisation au civil non comprise), pratiques courantes pendant des années, de 2002 à 2010 ; Après la condamnation record du "cartel des tubes cathodiques", plusieurs fabricants de téléviseurs ayant été reconnus coupables d'avoir maintenu à un niveau artificiellement élevé le prix de leurs produits, se répartissant les parts de marché, (1,47 milliard d'euros d'amendes, les victimes étant quasi techniquement impossibles à indemniser, mais le préjudice s'élève en milliards) ; Voici qu'un autre cartel a été démantelé : Celui des machines à écrire.

Le scandale du cartel des machines à écrire enfin dévoilé

Il aura fallu près de quinze annnées d'enquêtes pour lever le voile sur l'un des plus grands scandales économiques de l'après-guerre. Comment le cartel des machines à écrire a-t-il nuit au développement de l'informatique moderne ? En agissant sur ce qu'ils contrôlaient, à savoir l'industrie des... claviers. Économie numérique : Robots, le retour. Michel Volle, 22 octobre 2012, cliché DL Nous vivons une troisième révolution industrielle Dominique Lacroix : Michel Volle, vous êtes historien de l'économie, statisticien et spécialiste des systèmes d'information d'entreprise.

Économie numérique : Robots, le retour

Comment interprétez-vous la crise actuelle ? Michel Volle : Contrairement à des commentaires fréquents, c'est plus qu'une crise économique. Nous vivons une troisième révolution industrielle. Je me réfère sur ce point aux travaux de Bertrand Gille et à son Histoire des techniques. Au 18e siècle une première révolution industrielle s'est produite, fondée sur les progrès de la métallurgie et l'invention de la machine à vapeur. Les systèmes techniques, vus par Bertrand Gille L'informatique et les réseaux transforment tellement la vie économique qu'il est utile d'employer un néologisme pour désigner le nouveau paradigme. Angus Maddison : évolution des parts des puissancesdans l'économie, en fonction des PIB (Produits intérieurs bruts) DL : L'automatisation tue l'emploi.

Cool stuff

Entreprise 2.0. Patricia GLV. Science et web. Internet.