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Comprendre les enjeux de la gouvernance de l'information. C'est l'un des tout premiers livres blancs consacrés à la gouvernance de l'information. L'exercice est salutaire car les contours de cette nouvelle discipline sont flous pour beaucoup. Il faut dire qu'elle embrasse large et semble bien conceptuelle à première vue. Son champ d'application englobe l'ensemble des informations manipulées par une organisation (structurées ou non) auxquelles il s'agit d'appliquer des règles de bon fonctionnement et de contrôle. Le livre blanc insiste à plusieurs reprises sur la nature de l'enjeu, moins technique qu'organisationnel et culturel. Ce livre blanc a également le mérite de mettre en avant les différentes facettes d'une discipline qui ne se résume pas uniquement à servir une posture défensive en renforçant le contrôle de l'information.

Ce n'est que l'un des bénéfices d'une approche systémique qui consiste à jeter des ponts entre les systèmes techniques et des hommes. Quelle forme pour l'instance de gouvernance ? Entreprises sociales: voici venu le temps de la «gamification»… Hier, en travaillant sur la page Facebook de la conférence Boule de cristal, je suis tombé par hasard (lire sérendipité) sur une pub de la compagnie Bunchball annonçant son logiciel Nitro spécialisé en «gamification». Oups… Mon attention s’est tout de suite portée à ce bas de page (voir capture d’écran ci-dessous). Car il y a trois mois à Paris, lors de la conférence LeWeb11, j’avais entendu la VP Social Business Sales & Evangelism chez IBM, Sandy Carter venir dire que «the name of the game is gamification». En effet, elle était invitée à participer à un panel sur l’entreprise sociale, panel animé par l’ami Richard Collin.

Et justement en réponse à une question de Richard qui lui demandait quelle serait «the next Big Thing» en entreprise, elle n’a pas hésité à répondre la «gamification». comme vous pourrez l’entendre è 15m21s de la vidéo du panel à LeWeb11: En fait, c’est quoi au juste la «gamification». Et où mènera cette nouvelle tendance ?

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A journey in translation. L’avenir de la formation dans l’entreprise collaborative. Ce billet s’inscrit dans le cadre de ma participation au projet du site ecollab : j’avais déjà participé avec eux à un livre blanc sur le social learning. Toujours dans un esprit collaboratif, ecollab a mis en place un projet de blog carnival. Afin de favoriser le débat et les échanges autour des concepts de et d’ , est un événement mensuel, sous la forme d’un blog carnival, qui réunira toutes les personnes intéressées par ces sujets. Chacun propose donc des articles autour d’un thème proposé par les gens d’ecollab de manière mensuelle, qui seront regroupés sur ce blog carnival (et repérable sur twitter grâce à #ecollab).

Pour ce premier thème sur la formation dans l’entreprise, je vais aborder deux points qui me semblent importants, notamment pour les grandes entreprises qui ont les moyens d’investir dans des moyens de formation innovants. Le virtual learning et le social learning : La première revient à un e-learning classique, avec une conférence synchrone d’un intervenant. Le système compte plus que les individus. Résumé : “avec, par et pour les individus”, tel semble être le credo des projets de transformation à la mode “sociale”. Pour des résultats, reconnaissons le, aléatoires, montrant parfois des choses au coup par coup mais sans tendance systématique et pérenne. Le syndrome web a encore frappé en oubliant que le salarié n’est pas un “individu” comme les autres, n’est même pas celui qu’il est chez lui : c’est un élément d’un système plus vaste et complexe, qui l’impacte plus qu’il n’est impacté par lui.

Ajoutez à cela que c’est le dit “système” qui permet de transformer le potentiel en valeur réelle et vous comprenez que le levier “individu”, assez efficace pour amener quelques passionnés à faire partie de communautés hors du flux de travail ne permet en rien d’affecter le quotidien des individus ni la dimension “productive” de l’entreprise. Rien ne se passera ni ne perdurera sans une remise à plat profonde de la “systémique” de l’entreprise. Qu’entends-je par “système”. Conclusion ? Trace One crée un portail collaboratif pour Intermarché. Trace One vient de conclure un partenariat avec Intermarché pour mettre en place un portail collaboratif permettant au groupe de mieux gérer ses produits à marque propre. Ce portail Trace One permettra, en effet, à Intermarché de gérer tous ses produits depuis l'appel d'offre jusqu'à l'arrêt du produit en passant par la sélection, la gestion des panels, des audits et l'élaboration du cahier des charges.

"Notre objectif est de partager plus rapidement nos informations avec nos fournisseurs et d’alléger les charges administratives pour tous les acteurs" explique Thierry Cotillard, Adhérent en charge de l’offre alimentaire. Chaque année, plus de 4 500 références alimentaires et DPH seront gérées via ce portail pour Intermarché. L'objectif étant d'améliorer la qualité des informations, tout en limitant les temps de latence entre chaque intervenant. Intermarché prévoit ainsi une réduction significative des temps de développement de ses produits. Baselining Social Business Maturity: Why and How. These days a growing amount of the discussion concerning social business involves how to move beyond the “tacking on” of social media to existing digital and traditional business processes.

It’s not that such incremental efforts aren’t useful and such augmentation can and usually does have value. It can also build early skills, develop organizational capabilities, help work through tooling decisions, and form the on-ramp to more substantial social business transformation. However, tactical experiments generally result in outcomes that aren’t strategic by definition, with limited outcomes and blunted impact; there are much better ways to apply social business when the underlying business processes — and even the underlying business models — are thoroughly overhauled more holistically for a pervasively connected and digital world. What does this all boil down to for organizations that want to reap the benefits and avoid the potential for disruption and competitive stagnation? Management 2.0 : décentralisez votre stratégie de déploiement.

Petit détour par le monde anglo-saxon, comme souvent le vendredi pour nos amis francophones, pour aborder un point en lien avec l’entreprise 2.0. C’est une réflexion de Dion Hinchcliffe qui fait résonance avec une discussion que j’avais avec un client, mais aussi avec l’actualité, pour l’anniversaire des 30 ans de la première loi sur la décentralisation en France. La question de la méthodologie de la transformation des organisations est centrale dans ce type de projet. Il est vrai que bien souvent on voit deux modèles surgir. Soit c’est extrêmement centralisé avec un plan stratégique de long terme sur l’évolution des processus, de la structure organisationnelle (bon assez rare tout de même).

Soit la gouvernance est plus souple/inexistante et chacun peu ou prou faire ce qu’il souhaite. Mon avis était donc de mettre en place un lieu d’échange et de capitalisation, et au final d’arbitrage par le top management. L’Entreprise 2.0, cinq ans après. Il y a cinq ans, je publiais ma définition de l’entreprise 2.0 (Qu’est-ce que l’Entreprise 2.0 ?). Cette définition, et les explications qui vont avec, a fait son temps. Nous sommes maintenant en 2012 et il est temps de dépoussiérer ce concept pour le remettre au goût du jour. Est-il vraiment important de le remettre au goût du jour ? Oui, car le rythme d’adoption des pratiques et outils 2.0 en entreprise est beaucoup plus long que prévu (le chemin restant à parcours est immense), et que le marché s’enlise dans des considérations étymologiques (on nous parle maintenant de RSE, de social intranet, d’intranet 2.0… alors que toutes ces notions convergent vers un seul modèle).

Bref, il est grand temps de poser de nouvelles bases sur ce terme. Quels sont les problèmes de l’Entreprise 1.0 ? J’ai déjà eu de nombreuses occasions de décrire les maux qui rongent la productivité dans les entreprises, aussi je me contenterais de ce résumé : Quels sont les problèmes de l’Entreprise 2.0 ? Entreprise 2.0 : pourquoi ça coince encore.