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Projet Food

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(19) Restaurants écoresponsables : et si on essayait ? Retrouvez toutes les semaines dans la chronique «Terre d’actions» des initiatives pratiques et écolos en France et dans le monde. En France, 69% des consommateurs s’intéressent à l’impact de leur alimentation sur leur santé et à 61% son impact sur l’environnement, selon les chiffres du ministère de l’Agriculture. D’autre part, 66% des amateurs de produits bios achètent plus de produits de saison tandis que 53% cherchent également à limiter le gaspillage alimentaire.

Si nous sommes de plus en plus nombreux à adopter un mode de vie écoresponsable, qu’en est-il de notre conscience écologique quand sonne l’heure de s’attabler au restaurant ? Avec 10 milliards de repas pris hors domicile en 2017, pour un chiffre d’affaires de 55,6 milliards d’euros selon une étude du cabinet Gira conseil, la question n’est pas négligeable. «Une cuisine vertueuse pour la santé et l’environnement» A lire aussi Pourquoi est-il conseillé de manger des fruits et légumes de saison ? Faire bouger les lignes. Colombes, de l’asphalte sur les salades. Par Vianney Delourme , Il devrait avoir le sourire, Constantin Petcou.

Son Agrocité, un lieu d’agriculture urbaine expérimentale installé à Colombes, en banlieue parisienne, est célébrée dans le monde entier. Des experts viennent d’Australie et de Hong-Kong pour l’étudier. Il a eu droit à un séminaire à Harvard. Si on rassemblait tout ce qui a été écrit sur lui dans les revues d’architecture, d’urbanisme ou d’ESS, ça ferait un vrai manuel de ville en transition. Mais voilà. Sur sa table, un courrier de la mairie, propriétaire du terrain, qui lui demande d’aller planter ailleurs ses salades et ses expériences écolo. Tout a (bien) commencé en 2011. C’est aussi un laboratoire écolo avec chauffage au compost, unité de phytoépuration, ferme à lombrics… Il y a aussi les 3.000 mètres carrés de maraichage répartis entre jardins partagés, plantations expérimentales et production dédiée à la vente – pour payer les charges. Objectif résilience. Optimiam : stop au gaspillage - START ME UP. Optimiam est une startup parisienne qui a décidé de se battre contre le gaspillage alimentaire.

Via son application géolocalisée, elle propose à ses utilisateurs de bénéficier de réductions sur des produits qui, sans cela, finiraient directement à la poubelle. A l’initiative de ce projet, Raodath Aminou. Alors qu’elle faisait ses courses, elle fût accostée par un vendeur qui lui proposa des makis à moitié prix : son magasin allait fermer et c’était la seule solution pour lui de ne jeter les produits frais qui lui restaient. C’était en décembre 2013, Raodath Aminou s’est alors tout de suite rendue compte qu’il y avait une opportunité de service à développer : une solution digitale connectée en temps réel avec les commerçants pour proposer leurs invendus sous forme d'offres flash exclusives aux consommateurs. « J’ai toujours su que je voulais créer quelque chose mais je n’avais pas forcément d’idée en tête.

L’objectif à long terme d’Optimiam ? (Photo Une via Emi Popova) La revue INfluencia : Le marché plus fort que la grande distrib ? La nostalgie du marché de la place du village ne s’est jamais aussi bien portée. Les nouveaux commerces (de bouche) lorgnent tous sur ce modèle de convivialité et de dialogue ; la recherche de la qualité des produits passe par la communication et l’esprit de quartier. Alors causons un peu ! Pourquoi aimons-nous tant faire le marché ? Pourquoi n’ont-ils jamais disparu et aujourd’hui ont-ils une telle cote ? Pourquoi servent-ils de modèle dans le développement de nouveaux types de commerces ? Pourquoi ? Les marchés alimentaires ont toujours été un lieu d’échange propice aux discussions et aux rencontres, jouant un rôle économique et social important dans les communes et les villes.

Discutons des produits ! Le produit frais se discute et les marchés sont faits pour cela. À quelques pas de là, la rue du Nil, sous l’impulsion du restaurant Frenchie, accueille maintenant l’équipe de « Terroirs d’Avenir » soit un primeur, un fromager, un poissonnier et un boucher. Guillaume Cadot. Audace - Whole Foods : quand un distributeur crée sa propre ferme. Publié le 06 janvier 2014 Les fermes urbaines, nouveau terrain fertile pour les marques ? Whole Foods, le pape des supermarchés biologiques, réinvente la grande distribution avec son nouvel établissement et engage le consommateur vers une nouvelle voie ! Au royaume des hipsters, la nourriture organique est devenu une religion, l’agribusiness un marché lucratif et l’Urban Farming une tendance démocratisée. Il ne faut donc pas s’étonner que la chaine américaine Whole Foods Market, déjà érigée en modèle de la grande distribution durable, ait choisi Brooklyn pour installer un nouveau supermarché .

Le très attendu magasin a ouvert ses portes le 17 décembre, une semaine avant le réveillon de Noël. Son originalité ? Il est le premier du pays à produire ses propres légumes grâce à une serre hydroponique installée sur le toit du bâtiment. La ferme de demain sera au cœur des villes Benjamin Adler / @BenjaminAdlerLA Pour tout savoir sur la démarche, cliquez sur l'image.