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Société

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La DARPA veut les É-U au premier rang. À titre de directeur du bureau de biotechnologie de l’agence, ses recherches portent sur la guérison des soldats qui ont subi des lésions cérébrales au combat.

La DARPA veut les É-U au premier rang

«Je ne peux pas confirmer une manière ou une autre, parce que cela le révélerait un peu, mais nous faisons partie du ministère de la Défense, a reconnu M. Sanchez après sa présentation à la conférence C2 Montréal, la semaine dernière. Et le ministère de la Défense parraine un grand nombre de (travaux) dans un certain nombre de domaines.» Sa réponse est aussi énigmatique que les recherches qu’il mène pour l’armée américaine.

Toutefois, il admet que les avancées technologiques auxquelles il a participé ont des applications qui vont au-delà de la médecine. M. Dans un mois, le mandat de six ans de M. Les quelque 200 employés de la DARPA gèrent des projets de recherche aux États-Unis afin de s’assurer que les Américains ne soient jamais surpris par une technologie adverse. M. Les algorithmes sont partout. Les algorithmes dictent-ils le comportement des internautes ?

Les algorithmes sont partout

Une formule mathématique peut-elle influencer l'issue d'un scrutin, par exemple ? L'algorithme permet notamment à Facebook de proposer des contenus similaires à ceux déjà aimés par l'utilisateur. Le même procédé est utilisé par Netflix qui oriente les choix de séries selon les derniers films, documentaires ou contenus visionnés. Les algorithmes ont ainsi une réelle influence sur nos vies, sauf que l'utilisateur n'en a pas forcément conscience.

La Cnil, la commission nationale de l'informatique et des libertés, a donc décidé de lancer un débat public sur le sujet, comme l'explique à franceinfo sa présidente, Isabelle Falque-Pierrotin. Franceinfo : La Cnil lance une série de débats et de consultations sur le sujet. Isabelle Falque-Pierrotin : On a commandé un sondage à l'Ifop qui montre que les Français sont conscients de l'importance des algorithmes dans leur vie, mais plus de la moitié ne sait pas ce que c'est.

Crowdsourcing, la foule partenaire. Article inspiré de l’article « Using the Crowd as an Innovation Partner » Le Crowdsourcing de problèmes d’innovation a existé sous une forme ou une autre pendant des siècles.

Crowdsourcing, la foule partenaire

La différence fondamentale réside aujourd’hui dans les progrès technologiques. La foule (« the crowd ») est devenue une institution fixe « disponible sur demande ». Pour certains types de problèmes, la foule peut représenter un meilleur moyen pour répondre aux questions d’innovation dont votre entreprise peut bénéficier. Cependant, il est important de savoir quand et comment l’utiliser. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les Managers ne sont pas d’avis qu’il soit grand temps de prendre le train en marche : le risque d’adresser une question à un grand groupe de personnes inconnues repoussent souvent les responsables d’utiliser le crowdsourcing. 1) Le concours (exemple : « Longitude Prize ») : Le moyen le plus simple d’engager une foule est de créer un concours.

Travailleurs du clic et intelligence artificielle. La prophétie d’une intelligence artificielle autonome et anthropomorphe est ancrée dans l’imaginaire collectif depuis des décennies, impulsée par une culture largement romancée et les effets d’annonces des acteurs du secteur.

Travailleurs du clic et intelligence artificielle

Pourtant, dans les coulisses, se cache encore un travail humain. Une multitude de petites mains nourrissent les machines de précieuses données et entraînent les algorithmes. Micro travail, ouvriers du clic, crowdworking, digital labor, microtasking, autant de termes qui définissent cette nouvelle catégorie de travailleurs peu connue et loin d’être anecdotique. Ils accomplissent des tâches multiples et d’une simplicité déconcertante, paradoxalement essentielles à l’apprentissage des machines. Ce marché en pleine expansion pourrait inclure 213 millions de travailleurs en 2019 au niveau mondiale selon l’Organisation Internationale du Travail (OIT). La face cachée de l’Intelligence Artificielle, les travailleurs “invisibles” du clic : Les « prolétaires affectifs » du web.

Par Barbara Chazelle, France Télévisions, MédiaLab et Prospective La circulation numérique de nos émotions est un élément essentiel de l’économie du web social.

Les « prolétaires affectifs » du web

Nos interactions en ligne deviennent les ressorts d’un « capitalisme numérique affectif » dont nous sommes les travailleurs bénévoles, promesse d’une meilleure expérience en ligne mise à part. Mais à qui profitent nos affects et comment sont-ils exploités ? Les enseignants-chercheurs Camille Alloing et Julien Pierre analysent et critiquent ce phénomène dans leur ouvrage « Le web affectif, une économie numérique des émotions » (INA Editions). Emotions, affects : quelles sont leur valeur économique ? Les auteurs ont pris le parti de parler « d’affects » plutôt que « d’émotions ». Roue des émotions de Plutchik Tout est bon pour faire réagir : après les smileys et les Facebook Reactions, place à l’application Bitmoji qui anime votre avatar en réalité augmentée.

Une expérience personnalisée à condition d'être profilé Hack your emotion !