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Comté de Palm Beach, Floride. Le comté de Palm Beach est considéré par bon nombre de golfeurs comme la capitale mondiale du golf !

Comté de Palm Beach, Floride

Avec près de 150 parcours, il est effectivement bien doté et propose des terrains de différents niveaux dans des cadres plus ou moins privés. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la «ville des milliardaires» est accessible «aussi» aux budgets modestes car il existe de très beaux golfs publics tout à fait abordables comme «Okeeheelee Golf Course» à West Palm Beach, «Osprey Point Golf» à Boca Raton ou «Park Ridge Golf Course» à Lake Worth. Suivez le guide… A voir aussi : – Golf en Floride : tout savoir (meilleurs parcours, histoire, stars…) – Les meilleurs parcours de golf par comté en Floride : Broward – Miami-Dade – La carte des golfs de Floride (Miami, Palm Beach…) – Golf en Floride : les 10 plus beaux terrains. Pierre Cardin: Lacoste, village forcé. Les premières sorcières ont fait leur apparition dans les ruelles pavées du village.

Pierre Cardin: Lacoste, village forcé

La Lune n’est pas annoncée pleine, mais les habitants de Lacoste (Vaucluse) feront avec. Cette nuit, c’est Halloween, certains monstres arrivent des confins du Luberon pour participer à la fête organisée par les étudiants de l’école américaine installée dans les hauteurs du bourg. «Le Parigot» est là, lui aussi. Cyril Montana a beau être un enfant du pays, ses vingt années d’exil dans la capitale lui valent encore quelques vannes. Londres et ses années folles 65-68. Durant le Swinging London «Tu rentrais dans un bar et tu tombais sur Brian Jones, Hendrix, deux Beatles, tous assis en rond.

Londres et ses années folles 65-68

Nous étions le centre de l’univers et ça a duré trois ans comme ça », se souvenait Lemmy Kilmister en 2010. Le bassiste de Motorhead a beau abuser de toutes les substances interdites depuis plus de quarante ans, sur ce coup-là, faut le croire ! Tout comme Paris (particulièrement les quartiers de Montmartre et de Montparnasse) fut dans les années 1920 le théâtre d’un renouveau intellectuel et artistique, Londres et son Swinging London connut ses années folles de 1965 à 1968.

À la seule différence que les garçons aux cheveux longs s’appelaient Mick Jagger ou Donovan et que les filles aux minijupes se prénommaient Twiggy ou Marianne Faithfull. Pour la première fois de son histoire, la jeunesse londonienne avait de l’argent à dépenser et l’esprit assez libre pour déclencher une folle explosion créative et vivre pleinement une libération débridée des mœurs. L'Hôtel, la tentation de la chambre 16. Il n’est jamais facile d’indiquer à un chauffeur de taxi “merci de me conduire à l’Hôtel” sans déclencher un petit sarcasme de circonstance “oui mais quel hôtel ?”.

L'Hôtel, la tentation de la chambre 16

Du temps d’Oscar Wilde, les choses étaient plus simples, l’Hôtel se nommait l’hôtel d’Alsace, l’écrivain y a vécu ses derniers jours. L’Hôtel a eu plusieurs vies au gré d’un Saint Germain mutant. Il fait partie à présent de l’ élégante collection “A Curious Group of Hotels”, propriété d’un couple britannique. Melody Nelson L’Hôtel s’amuse d’être le palace le plus petit de Paris, il affiche 5 étoiles pour 20 chambres, un restaurant gastronomique, une petite piscine et un hammam. Un tour avec Wilde Le chef Julien Montbabut (1 Etoile Michelin) excelle aux cuisines du restaurant gastronomique, il est conseillé de réserver, peu de tables disponibles : le cocon est intime.

Copyright photos L’Hôtel / Amy Murrel. La madrague ou la maison dont on ne connait que le toit. Un toit de tuiles canal en terre cuites émerge de la végétation.

La madrague ou la maison dont on ne connait que le toit

La grande bleue au pied de la maison. La madrague ne se laisse guère approcher. Des murs ont même été édifiés en 1965 pour que cessent les safaris photos organisés depuis la mer. Brigitte Bardot rencontre la maison de ses rêves en 1958. Le public est à ses pieds et BB rêve d’une maison « les pieds dans l’eau ». Fan des sixties : La robe baby-doll. Twiggy, Jane Birkin ou encore Brigitte Bardot ont un point commun : le look baby doll.

Fan des sixties : La robe baby-doll

Lancée au début des années 60, la robe baby doll est tantôt agrémentée de tissus précieux, tantôt taillée dans des coupes géométriques mais s'il y a un critère qui ne change jamais c'est qu'elle est toujours très courte ! Pour la sélection, on ira surtout voir du côté de nos voisins british, véritables pionniers en la matière...

(en plus, il y a des robes soldées là-dedans !!) And last but not least... les sublimes robes de Zawann, alors au hasard... le modèle pour lequel j'ai craqué pendant les soldes! Mais, me direz-vous, les jeunes filles sages ne portaient que des robes dans les 60's ? Ca vous donne envie de "babydolliser" votre garde robe ? Ou encore celui là, rempli de strass, chez Topshop, 36€. Et pour moins de 20€, vous pouvez acquérir ces cols claudine, chez Asos. En résumé, il ne vous reste plus qu'à oser !