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Psychosomatique

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Émotions: quand le corps parle. Hyperventilation: Débloquer son diaphragme. Avertissement: Les informations qui vont suivre sont dites alternatives et n'ont pas pour but de prescrire la médecine.

Hyperventilation: Débloquer son diaphragme

Consultez obligatoirement votre médecin traitant en matière de santé. Si vous respirer très vite, trop vite, vous souffrez peut-être d'hyperventilation chronique. Votre respiration est déréglée, et cela entraîne des désagréments sur votre santé. Que faire face à l'hyperventilation chronique ? La solution. L'hyperventilation, le souffle déréglé Lorsqu'il y a hyperventilation, le rythme respiratoire s'est déréglé. L'hyperventilation est donc un trouble, bénin dans la majorité des cas, mais qui peut induire de nombreux symptômes gênant au quotidien : une grande fatigue peut être ressentie, des maux de tête, un mal-être intérieur, des vertiges ou encore des troubles du sommeil. Elle peut faire suite à du stress. Réagir face à au syndrome d'hyperventilation Lorsque l'hyperventilation survient face à un grand stress, il est important de désamorcer la situation.

Lire aussi : Les crises non épileptiques. Un regard fixe, des convulsions, parfois des pertes de connaissance : plus de 150.000 personnes en France souffrent de crises qui ressemblent en tout point à l'épilepsie mais sans en être, un trouble peu connu que des méthodes de psychothérapie tentent aujourd'hui de soulager.

Les crises non épileptiques

Plus de 150.000 personnes en France souffrent de crises qui ressemblent en tout point à l'épilepsie mais sans en être. Baptisées crises non épileptiques psychogènes (CNEP), ces manifestations étudiées lors d'un colloque à Paris jeudi se distinguent de l'épilepsie par l'absence d'anomalie de l'activité électrique cérébrale, mesurée par électroencéphalogramme au moment de la crise. Mais sans cet examen, "seul un oeil expert, c'est-à-dire d'un neurologue +épileptologue+, qui ne sont qu'une centaine en France, peut distinguer" les deux pathologies de façon à peu près fiable, a expliqué à l'AFP Coraline Hingray, psychiatre au sein d'un service spécialisé dans l'épilepsie au CHRU de Nancy.

This video file cannot be played. Morphologie & Tempérament selon Sheldon. William Herbert Sheldon Introduction : Le psychologue américain William Herbert Sheldon, dans son ouvrage : Les Variétés du Tempérament (P.U.F 1942), propose de son côté une typologie tripartite.

Morphologie & Tempérament selon Sheldon

Je suis un malade imaginaire mais je me soigne. Près de 12 % de la population serait hypocondriaque à des degrés divers.

Je suis un malade imaginaire mais je me soigne

On peut être un malade imaginaire et se faire soigner. Les hypocondriaques, les phobiques de la maladie, on en connaît de très célèbres : Edgar Allan Poe, Glenn Gould, Kierkegaard, Michel Drucker et surtout Woody Allen. Le cinéaste a même mis en scène ses angoisses récurrentes dans "Hannah et ses sœurs", film aux trois Oscars. "Le light, c'est du lourd" On pourrait facilement croire à une énième théorie de complot tant les accusations semblent presque trop énormes pour être crédibles.

"Le light, c'est du lourd"

Pourtant, au fil des pages du très scientifique livre de la journaliste Henriette Chardak, Le light, c’est du lourd, on découvre comment les collusions entre politiques et géants pharmaceutiques ont permis l’autorisation de dangereux édulcorants chimiques dans les produits du quotidien. La Nash, maladie liée à la malbouffe. > La Nash qu’est-ce que c’est ?

La Nash, maladie liée à la malbouffe

C’est l’acronyme anglais de la stéato-hépatite non alcoolique, à savoir, une accumulation de corps gras dans le foie. Sa cause est la consommation excessive de gras et de sucre, principalement issus des sodas et du fast-food. C’est pour cela que l’on donne aussi à la Nash le nom de « maladie du soda » ou « maladie du foie gras humain ». « J’utilise le terme de ‘syndrome dysmétabolique’, indique le docteur Alexandra Mineur, gastro-entérologue à Reims, car c’est un ensemble de symptômes. La Nash va rarement sans le diabète, l’hypertension, l’obésité... », détaille-t-elle.

Encore assez méconnue du grand public, la Nash a été mise sur le devant de la scène en 2017, lorsque le journaliste sportif Pierre Ménès a déclaré avoir été greffé du foie et des reins fin 2016 suite à cette maladie. L'effet nocebo. Croire que l’on est malade peut suffire à développer les symptômes d’une maladie, c’est l’effet nocebo.

L'effet nocebo

Et attention : ces craintes aux effets potentiellement terribles sont contagieuses. “Méfiez-vous des alarmistes. Comme un mauvais sort, leurs mots pourraient propager des fléaux modernes”, écrit la BBC le 11 février. Si elle aborde la question avec humour, la radio britannique revient sur le sérieux “effet nocebo” – phénomène selon lequel une personne encouragée à croire qu’elle est malade développe les symptômes de ladite maladie – et met en garde sur sa propagation. “Nous savons depuis longtemps que les craintes d’une maladie peuvent être aussi dangereuses qu’un virus, rapporte la BBC. Contagion des esprits Et la parole ne serait même pas nécessaire. Dilemme médical. L’orthorexie nerveuse – quand manger trop sain devient malsain. Les personnes obnubilées par le dogme de «l’alimentation saine» sont en train de développer une nouvelle pathologie de l’alimentation.

L’orthorexie nerveuse – quand manger trop sain devient malsain

Petite leçon de galénique. On la présente souvent comme l’art de préparer, conserver et présenter les médicaments, mais c’est aussi et surtout une science qui influence le devenir des principes actifs dans l’organisme, en détermine la biodisponibilité et en assure l’efficacité.

Petite leçon de galénique

Capsules, gélules, comprimés, collyre ou sirop, nombreuses sont les formes sous lesquelles se présentent aujourd’hui les médicaments et les compléments alimentaires. Mais le choix d’une forme galénique ne relève pas du hasard, il repose sur la prise en compte de multiples éléments allant de la stabilité d’un principe actif, à la durée de son effet en passant par les conditions optimales de sa libération et des critères de confort et de marketing de plus en plus chers aux patients (goût, facilité de prise, couleur, etc.).

Pour mieux cerner l’importance de cette fameuse galénique, étudions quelques exemples plus précis.