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Lois

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Némésis. Némésis (en grec ancien : Νέμεσις / Némesis) est une déesse de la mythologie grecque mais aussi un concept : celle de la juste colère (des dieux) et du châtiment céleste.

Némésis

Son courroux s'abat en particulier sur les humains coupables d’hybris (démesure, mégalomanie). Elle est ainsi parfois assimilée, à la fois, à la vengeance et à l'équilibre[réf. souhaitée]. La Némésis est aussi interprétée comme étant un message de mort envoyé par les dieux comme punition. Le nom némésis dérive du verbe grec νέμειν / némein), signifiant « répartir équitablement, distribuer ce qui est dû », que l'on peut rapprocher de moïra qui signifie à la fois destin et partage. Bios et Zoé, la vie.

Une seule petite syllabe pour un grand mot : biosest un des mots grecs désignant “la vie” .

Bios et Zoé, la vie

Un mot de la Bible,par Dominique Hernandez ... Deux grandes familles... —Nous connaissons bien tous ses descendants mais tout d’abord remontons vers l’origine de bios. C’est une racine indo-européenne signifiant bien ‘vivre’, et qui a dérivé en une famille latine, celle de ‘vivere’ d’où est directement issu le verbe vivre en français et qui possède de multiples ramifications, et en deux familles grecques : • la famille de zoe que nous retrouvons en français dans le prénom Zoé et dans tous les termes formés sur la base ‘zo’ (de zoologie à zodiaque en passant par azote, protozoaire, épizootie, etc • et la famille de ‘bios’, construite sur la base bi composée avec un autre élément de signification et c’est aussi une famille très nombreuse.

Un mot peu fréquent —En revanche, pour rencontrer bios dans le Nouveau Testament, il faut être très attentif. La vertu tend vers le vrai juste milieu. L’exercice ordinaire des vertus se donne pour but d’atteindre une certaine harmonie, un juste équilibre qui permet à toutes les composantes de l’être humain de travailler en parfaite symbiose et d’avancer vers ce pour quoi il a été créé : l’amour de Dieu et la béatitude éternelle.

La vertu tend vers le vrai juste milieu

Cela semble sous-entendre qu’il faut éviter les extrêmes, par exemple rechercher un plaisir charnel, ni trop, ni trop peu. Ce serait mal comprendre ce que signifie ici juste milieu. La mollesse de « l’âme habituée » Nous ne sommes pas dans le règne de la tiédeur, de la médiocrité ou du politiquement correct. Trop souvent, il est dit que l’essentiel est de ne pas abuser des bonnes choses, qu’il faut savoir profiter de tout, à partir du moment où cela ne gêne pas les autres, etc. Il est bon de relire à ce propos l’énergique avertissement de Charles Péguy dans sa Note conjointe sur la philosophie de M. Le juste milieu selon la raison Pour un motif vrai Selon sa nature. Les publicains. Et Jésus leur dit: je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le Royaume de Dieu (Matthieu 21:31).

Les publicains

Publicain : Dans l’empire romain était un personnage préposé à la perception des impôts et des droits de passage sur les marchandises que l’on transportait d’un territoire à l’autre. Le fermier en chef exigeait des contribuables des sommes supérieures à celles qu’il versait au trésor public. L’État Romain l’y autorisait. Aucune loi ne protégeait les contribuables contre les exactions. Excepté quelques personnages honnêtes, les publicains volaient (Luc 3 : 12,13 ; 19.8). Dans toutes les provinces,toutes les classes les détestaient, sauf peut-être les gouverneurs romains, qui souvent s’entendaient avec eux pour extorquer l’argent des contribuables.

Le juif Zachée parait avoir exercé les fonctions de percepteur-chef d’impôts à Jéricho (Luc 19 : 1-9). Quelques versets liés au contenu de cet article : Matthieu 9 : 9-11 Matthieu 11 : 18-19. La parabole du semeur. Samedi (24 ème semaine du temps ordinaire) Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 8,4-15 : En ce temps-là, comme une grande foule se rassemblait, et que de chaque ville on venait vers Jésus, il dit dans une parabole :« Le semeur sortit pour semer la semence, et comme il semait, il en tomba au bord du chemin.

La parabole du semeur

La grâce d'état. « Chacun selon la grâce reçue, mettez-vous au service les uns des autres, comme de bons intendants d’une multiple grâce de Dieu » (1 P 4, 10).

La grâce d'état

Les dons de Dieu font du chrétien un intendant de la grâce qui a pour modèle le Christ serviteur. Celui « qui ne retint pas jalousement le rend qui l’égalait à Dieu » (Ph 2, 6), enseigne que tout don divin, si personnel soit-il, est don « pour les autres ». La grâce d’état invite à méditer sur l’engagement de Dieu dans la vie ordinaire de l’homme. Le Christ par son incarnation, par son humble existence d’ouvrier à Nazareth, révèle la valeur des tâches quotidiennes. Qu’est-ce que la loi naturelle ? La loi naturelle à la suite de saint Thomas d’Aquin est ainsi définie : « la participation à la loi éternelle dans la créature raisonnable ».

Qu’est-ce que la loi naturelle ?

La loi naturelle qui participe du projet éternel créateur, est aussi participation dans le sens où l’homme prend une part active à son propre gouvernement. Ayant une conscience critique de son action, il formule les préceptes qui président à ses décisions. La loi naturelle énonce ainsi ses préceptes en dépendance du principe premier qui est de faire le bien et d’éviter le mal : en tant qu’existant, respecter et promouvoir sa vie ; veiller à assurer sa descendance ; honorer sa raison en cherchant la vérité, en commun avec ses semblables.