Avions sans kérosène. Des centaines de milliers de dollars d’économies annuelles par avion. C’est la promesse des industriels qui développent le «green taxiing», une technologie pour faire rouler les aéronefs sans solliciter les réacteurs et donc, sans consommer de kérosène, présentée au salon du Bourget. L’essor continu du trafic aérien (5% par an) a considérablement allongé le temps de roulage des avions contraints d’attendre leur tour, moteurs allumés, sur les pistes des aéroports encombrés. «Le temps de roulage peut être très long, de vingt à trente minutes», confirme Bruno Delile, directeur de la flotte du groupe Air France. «Particulièrement à Roissy», hub de la compagnie française. Quarante minutes de roulage A Amsterdam, plateforme de correspondances de sa consœur néerlandaise KLM, l’une des pistes est très éloignée de l’aéroport. IAI développe un dispositif, baptisé «Taxibot», en partenariat avec le leader des tracteurs d’avions TLD et l’avionneur européen Airbus.
«Nous inventons la marche arrière» La propulsion vélique. Le leader européen de lanceurs spatiaux confie à l'armateur Alizés la réalisation du roulier chargé de transporter les éléments constituant le lanceur Ariane 6, collectés et acheminés depuis Brême, Rotterdam, Le Havre et Bordeaux vers Kourou. ArianeGroup n'est pas le seul groupe à miser sur la logistique maritime... et la voile. Airbus et Louis Dreyfus Armateurs sont aussi associés dans cet esprit. ArianeGroup a choisi de confier à Alizés, un joint-venture créé ad hoc par Jifmar offshore services (Aix en Provence ; navires supports) et Zéphyr & Borée Alizés (armateur nantais créé en 2014 pour développer des navires de commerce à voile), le transport des différents éléments constituant le lanceur Ariane 6 qui devront être collectés et acheminés depuis Brême, Rotterdam, Le Havre et Bordeaux au centre spatial guyanais à Kourou.
Là où les équipes d'ArianeGroup procéderont à son assemblage final, au sein du nouveau Bâtiment d'Assemblage Lanceur. Cahier des charges complexe Logistique maritime. Retour du cabotage à la voile. Il arrive des pays Bas via Exeter en Grande-Bretagne. Le Brick Goelette Tres Hombres entre en baie de Douarnenez toutes voiles dehors. ce n'est pas pour la parade, non, les fêtes maritimes ont affalé depuis plusieurs mois déjà.
Si le fleuron de la Transocéanique wind Transport aborde le port des penn sardin, c'est pour livrer marchandise, à la seule force du vent. Le port de Douarnenez est une destination régulière du Tres Hombres, qui peut emporter la même cargaison qu'un semi-remorque. Certes, c'est 20 000 fois moins qu'un porte-container, mais beaucoup moins gourmand en carburant. A Douarnenez, le Tres ombres a déchargé de la bière et du thé des Açores. Le cabotage à la voileGuillaume Le Grand gérant de Trans Océanic Wind Transport ; Arjen Ven Der Veen capitaine du Tres Hombres. Yves Parlier : tracter les bateaux. Une fois par mois, Surfrider vous propose de découvrir un projet qui oeuvre pour la protection des océans .
Ce nouveau format Outside présente des initiatives extérieures ayant des valeurs communes à l'organisation. Rencontre avec ces porteurs de projets engagés. Yves Parlier, navigateur français de renommée mondiale, a cumulé titres et récompenses tout au long de sa carrière sportive. En 2001, il avait suscité l'admiration en réparant son mât, en pleine mer, pour boucler le Vendée Globe. Aujourd'hui, le skipper aguerri met son savoir-faire en faveur de la protection de l'océan et innove grâce à un système de propulsion de navire par cerfs volants. En quoi consiste votre projet Yves Parlier: Pendant des millénaires, les bateaux ont utilisé la force du vent pour avancer, avant d'être envahis par les moteurs à combustion. Tout d'abord, nous avons lancé nos recherches, en s'intéressant aux bateaux de toutes tailles. Quelle a été la motivation première du projet ?
Un message à faire passer ? Récupération au freinage. Moteur Publié le 2 July 2013 | par julien Innovation technologique introduite en 2009 en Forumle 1, le KERS pour Kinetic Energy Recovery System est un système de récupération de l’énergie cinétique produite lors du freinage ou SREC en français – Système de Récupération de l’Energie Cinétique. L’énergie issue du freinage est emmagasinée dans une batterie (ou un volant d’inertie puis rendue disponible comme puissance supplémentaire pour propulser la voiture via un bouton actionnable par le pilote. Même si ce système apporte un poids supplémentaire sur la voiture. En mouvement, une voiture va produire de l’énergie cinétique liée à sa masse en déplacement. Pour la stopper, les disques de frein vont frotter les plaquettes de frein et stopper la voiture en transformant cette énergie en chaleur : résultats les disques rougissent ! Ferrari FXX au freinage Cette optimisation permet de capter une énergie auparavant perdue tout en économisant du carburant.
Ferrari 599 HY-KERS ….verte comme son moteur. Ferroviaire et l’énergie du freinage. Innovation ferroviaire : stocker l’énergie du freinage Le secteur des transports est la seconde source de dépense énergétique en France (32%) après le bâtiment. Le transport ferroviaire, déjà moyen de transport le moins énergivore, pourrait être encore plus économe en énergie grâce à une innovation technique adoptée par une compagnie ferroviaire aux États-Unis : réutiliser l’énergie issue du freinage pour alimenter le redémarrage.
Des batteries de stockage dans les freinsLe chemin de fer est l’un des modes de transport qui consomme le moins d’énergie (1,6 % de la consommation totale du secteur en énergie fossile et électrique en 2011). Sur l’ensemble des émissions de CO2 produites par le secteur des transports, il en produit ainsi la plus petite quantité (0,4% contre 95,3 % par le routier en 2011). Quand l'asphalte récupère l'énergie. Il y a comme ça des idées simples auxquelles on n’aurait pourtant pas pensé. Les hollandais, grands bâtisseurs et constructeurs de canaux ne sont pas en manque d’inventivité.
Ce Road Energy System en est la preuve. Le constat est ensuite simple. L’été, le bitume est brûlant, de par le soleil qui chauffe, et aussi par le passage des voitures et camions. Cette énergie est alors emmagasinée dans de l’eau pompée en profondeur dans des aquifères (entre 80 et 200m de profondeur), en la faisant passer dans les tuyaux sous l’asphalte. L’eau « chaude » est ensuite re-plongée en profondeur dans un second réservoir (dit « réservoir chaud »), pour la garder à une température proche de 24°C. Il est ainsi étonnant de se rendre compte que 200m de route et un petit parking peuvent à eux seuls chauffer un immeuble de 70 logements !
L’entreprise Ooms Avenhorn Holding, qui a conçu ce système, travaille depuis 1997 à son perfectionnement. ++ Road Energy System Posts similaires: Le boîtier éthanol enfin homologué. Jusqu’à présent, pour rouler à l’éthanol, il fallait une voiture équipée dès sa mise sur le marché. Depuis le 1er avril, c’est terminé.
Grâce à un simple boîtier, n’importe quelle auto peut désormais profiter de ce carburant, bien moins cher que l’essence ou le gazole. Et en prime, la voiture modifiée conserve sa garantie constructeur. Le Superéthanol ou E85 est un mélange de 15% d’essence sans plomb et de 85% d’éthanol, un carburant tiré de la fermentation des sucres de la betterave. Grâce à une fiscalité avantageuse, il est vendu en moyenne 0.70 euros le litre, contre 1.40 euros pour le gazole ou 1.50 euros pour le Sans Plomb 95. Made in France Pour les automobilistes, rouler à l’éthanol est tout d’abord une façon de rouler d’une façon plus écologique et 100% française puisque l’éthanol est produit à 100 % sur le sol français.
Poser un boîtier éthanol de conversion Un plein deux fois moins cher En 2007, le bioéthabol est arrivé en France. Le Moteur Pantone. Comment construire un moteur Pantone ? Vous voudriez construire un moteur non polluant et qui ne consomme presque pas de carburant ? Voici une rapide présentation de l’invention de Paul Pantone, suivit des plans. Vous n’avez plus qu’à vous lancer dans l’aventure ! Le “processeur multi-carburants” ou réacteur à plasma endothermique Le principe Le système s’applique pour tous moteurs thermiques (moteurs de tondeuse et motoculteur 4 temps, moteurs de voiture et camion à essence ou diesel, groupe électrogène, chaudière de chauffage central à fuel, etc… le but est d’utiliser un carburant contenant 25% d’hydrocarbures (essence, fuel, huile de vidange usagée, pétrole brut, etc…) + 75% d’eau (eau de pluie, de puits, du robinet ou bien provenant tout simplement du système d’épuration de vos eaux grises et vannes, etc…).
En fait, ce n’est pas l’eau qui est intéressante, mais l’hydrogène quelle contient. Comment ça marche Avantages de ce système Conclusion Informations complémentaires Etape 1 Etape 2.