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Mediareporter

Berlusconi referendum. Les Italiens ont massivement rejeté les lois défendues par son gouvernement.

berlusconi referendum

Pour la première fois en seize ans, après six tentatives infructueuses, une consultation référendaire a réuni lundi le quorum de 50 % des suffrages plus une voix requis par la Constitution pour que le dépouillement ait lieu. Dans un mouvement d'une ampleur inattendue, 57 % des Italiens se sont rendus aux urnes pour rejeter à une large majorité tout retour au nucléaire, la privatisation de l'eau et la loi sur l'immunité judiciaire, autorisant Silvio Berlusconi à ne pas se présenter devant les tribunaux.

C'est un échec cuisant pour le président du Conseil, le second camouflet de sa majorité après la perte des villes de Milan et de Naples, aux élections municipales du 30 mai dernier. Le premier à s'en réjouir a été lundi Pierluigi Bersani. Les électeurs ont voté avant tout contre Silvio Berlusconi.

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Printemps arabe. Erdogan, le nouvel Atatürk. Pour comprendre pourquoi un Turc sur deux a voté dimanche 12 juin pour le parti de la justice et du développement (AKP), et lui a donné la majorité absolue des sièges à la Grande Assemblée nationale de Turquie, il suffisait d'écouter dimanche soir le discours prononcé par le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan.

Erdogan, le nouvel Atatürk

L’homme est un tribun. Ses diatribes, ses dérapages sont le plus souvent volontaires et très calculés. La campagne électorale a été rude, violente. Mais ce soir, son discours est parfaitement maitrisé et se veut consensuel. Crise greek.