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Neurosciences

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Semaine du cerveau.

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Neuromarketing. Domaines d'application des neurosciences | NeuroMarketing. Le siècle 21 a propulsé la recherche des neurosciences (qui initialement faisait référence à la recherche au niveau moléculaire et cellulaire) vers l’étude des fonctions normales et anormales du cerveau. Ces évolutions et l’avancée technologique sont reflétées par l’apparition des terminaisons qui auraient pu être considérées oxymores quelques décennies avant. Je vous présente ci-dessous le nouveau lexique de la neuroscience Elles étudient les mécanismes du cerveau pour des processus mentaux d’ordre supérieur, comme la prise de décision, la mémoire, l’attention, le langage et autres.

Dans le passé, les effets des lésions sur le cerveau offraient la seule possibilité d’étudier ces fonctions complexes. Dans le passé, la psychiatrie était déconnectée de la science rigoureuse, étant considérée plus comme un art qu’une science. Quelle est la différence entre le cerveau d’un conservateur et celui d’un libéral ? Source : www.neurorelays.wordpress.com.

Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Accueil. Equipes du :Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon Université Claude Bernard Lyon 1 CNRS UMR5292 - INSERM U1028 Université Jean Monnet Saint-Etienne Hospices Civils de Lyon Site : UCBL1 de GerlandEquipes : CMO (R.Gervais) - NEUROPOP (A.Didier) - CAP (B.Tillmann) Ces 3 équipes de recherche sont actuellement situées sur le site de l’Université Lyon 1 Lyon à Gerland. Elles ont pour mission de comprendre comment le cerveau traite l’information sensorielle olfactive et auditive chez les mammifères. Les approches chez l’animal et chez l’Homme abordent cette question à partir d’une large palette d’outils s’étendant des neurosciences cellulaires aux neurosciences intégrées et cognitives. Site : Groupement Hospitalier Est - CERMEPEquipes : BIORAN (L. Tracy Packiam Alloway: working memory is a better test of ability than IQ | Science | The Observer.

Working memory can be improved with training, says Tracy Packiam Alloway. Tracy Packiam Alloway researches working memory at the University of North Florida and has developed the world's first standardised working memory tests for educators. Her latest book is an edited collection, Working Memory: The Connected Intelligence, published by Psychology Press. What is working memory?

You could think of it as the brain's conductor. So for example, when we speak, working memory would be bringing the words that we know together and connecting them into a coherent sentence. How did you get interested in this? It was triggered by a study where I followed a group of children from age five up until 11. How is it different from IQ?

It's so much more important than IQ. You've done work with teachers to find out how they see children with poor working memory. A lot of times, they describe these children as daydreamers, or maybe just not trying hard enough, or unmotivated. Absolutely, yes. IMAGING CONFLICT RESOLUTION. The science that I do is on how our brains let us think about other minds. There's at least three ways that that kind of science could help us think about conflict. One is the idea that conflict is actually conflict about other people's minds. What conflict is, in part, is the suspicion of other people's motives, the inability to trust and forgive, and the way that our expectations of group boundaries make us less empathetic and more damning of other people's actions.

People who have studied conflict, especially intergroup conflict, before have focused on fear of the unknown. But I think that these very strong expectations of malice and lack of expectations about reasonable other perspectives that are real drivers of conflict. The second way is that there are all these people around the world trying to do conflict intervention programs. I'm a Cognitive Neuroscientist. There's a group of brain regions that are involved in different parts of that problem. Did I discover it? Frontiers in Human Neuroscience | Research Topics. Colloque sur le "dialogue" entre psychanalyse et neurosciences. Le programme de ce colloque de Perspectives Psy en dit long sur la nature du "dialogue" entre la psychanalyse et les neurosciences.

J'ai envoyé le message ci-dessous aux organisateurs du colloque le 24/10/2012, malheureusement je n'ai à ce jour (le 12/12/2012) obtenu aucune réponse. Je le porte donc à la connaissance du public. Madame, Messieurs, Le programme du colloque « Dialogue Psychanalyse et Neurosciences » m’a été transmis et m’a beaucoup surpris par la discordance apparente entre le titre et le programme. En effet, les neurosciences ne sont pour ainsi dire pas représentées. Tous les intervenants sont soit psychiatres, soit psychologues, soit psychanalystes, soit une combinaison des trois. Aucun biologiste, aucun physiologiste, aucun généticien, aucun neurologue. Health - Why we want to feast on food. As the holiday season approaches, Tom Stafford looks at overindulgence, and explains how our minds tell us we want something even if we may not like it.

Ah, Christmas, the season of peace, goodwill and overindulgence. If this year is like others, I’ll probably be taking up residence on the couch after a big lunch, continuing to munch my way through packets of unhealthy snacks, and promising myself that I’ll live a more virtuous life once the New Year begins. It was on one such occasion that I had an epiphany in the psychology of everyday life. I’d just finished the last crisp of a large packet, and the thought occurred to me that I don’t actually like crisps that much.

But there I was, covered in crumbs and post-binge guilt, saturated fats coursing through my body looking for nice arteries to settle down on. Every bite seemed essential, but in a way that seem to suggest I was craving them rather than liking them. Normally wanting and liking are tightly bound together. Pleasure principles. Une main artificielle guidée par le cerveau. COMA: Face au traumatisme, le cerveau se réorganise. COMA: Face au traumatisme, le cerveau se réorganise Actualité publiée le 29-11-2012 Inserm et PNAS Une réorganisation des réseaux cérébraux, tel un mécanisme de résistance du cerveau au traumatisme, c’est ce que constatent ces chercheurs de l'Inserm qui ont analysé les réseaux cérébraux de patients dans le coma, un état où la personne est considérée comme "inconsciente".

Ces résultats, parus dans l’édition du 26 novembre de la revue PNAS novembre 2012, et la technique utilisée, pourraient aider les cliniciens dans l'élaboration de diagnostics personnalisés en cas de coma. L’Inserm rappelle que le coma est un état où l'on observe une abolition de la conscience de soi et du monde extérieur et qu’il existe deux phases de coma, la phase dite "aigüe" puis la phase dite "chronique". Leurs résultats montrent que, · la connectivité cérébrale globale est conservée chez les patients dans le coma en comparaison avec les volontaires sains. Un nouveau mode d’évaluation personnalisé ? Neuro. Le gène du cerveau qui nous distingue des autres primates. Neural Correlates of Lyrical Improvisation: An fMRI Study of Freestyle Rap : Scientific Reports. In this study, we used fMRI to investigate the neural correlates of spontaneous lyrical improvisation by comparing spontaneous freestyle rap to conventional rehearsed performance.

Our results reveal characteristic patterns of activity associated with this novel form of lyrical improvisation, and may also provide more general insights into the creative process itself. It has been suggested that the creative behaviors could occur in two stages: an improvisatory phase characterized by generation of novel material and a phase in which this material is re-evaluated and revised1. The present study may provide clues to the mechanisms that underlie the initial, improvisatory phase. Our results suggest a model in which an elementary reorganization of brain activity facilitates improvisation and may generalize to other forms of spontaneous creative behavior. The widespread changes identified by the foregoing analysis are suggestive but incomplete. A Brain Cell is the Same as the Universe.

A Brain Cell is the Same as the Universe by Cliff Pickover, Reality Carnival Physicists discover that the structure of a brain cell is the same as the entire universe. Image Source Return to Reality Carnival. If you like stories like this, Reality Carnival has many more. The New York Times > Science > Image > Graphic: Separated at Birth? L'univers est-il un cerveau géant ? Le cerveau préfère le sport au tabac ! Actualités Par Yan Di Meglio rédigé le 28 novembre 2012, mis à jour le 28 novembre 2012 Le cerveau préfère le sport au tabac ! Le cerveau préfère le sport au tabac ! Pour protéger le cerveau d'un vieillissement prématuré, les exercices de stimulation et les tests de mémoire sont régulièrement conseillés. Selon une étude écossaise publiée dans la revue Neurology, il semblerait cependant qu'il y ait plus efficace encore : le sport ! Ces scientifiques ont observé les pratiques sportives régulières de 700 personnes de plus de 70 ans.

Les escaliers plutôt que l'escalator C'est le système cardiovasculaire, en meilleur état chez les sportifs, qui explique la résistance du cerveau au vieillissement, car il est mieux oxygéné. Des tests pratiqués sur près de 9 000 personnes de plus de 50 ans ont révélé des carences dans les facultés cognitives de certains d'entre eux. Et en finir avec le tabac Nous savions déjà que le tabac altérait l'oxygénation du cerveau. En savoir plus Mots clés Réagir à cet article. L'hyperstimulation du deuxième cerveau. «La physiopathologie du syndrome de l'intestin irritable est encore méconnue mais, en l'abordant par ses symptômes, de nombreux phénomènes se produisant notamment au niveau de l'intestin ont pu être identifiés», souligne Michel Neunlist, directeur de l'unité Inserm de neuro-gastro-entérologie de l'Institut des maladies de l'appareil digestif (Imad) à Nantes.

En étudiant la douleur, les chercheurs ont pu constater que les patients SII présentent souvent une sensibilité accrue au stimulus douloureux, traduit au niveau du système nerveux central (le cerveau). Les troubles digestifs pourraient eux être liés à un trouble de la motricité de l'intestin liée au système nerveux entérique (SNE), parfois considéré comme un deuxième cerveau.

L'intestin est en effet l'une des zones les plus innervées de l'organisme et ce réseau nerveux est responsable, de façon autonome, de certaines fonctions digestives comme le mouvement péristaltique qui fait progresser les aliments dans l'intestin. Des chercheurs ont rajeuni le cerveau… d’abeilles. Avec des sociétés humaines où l'espérance de vie ne cesse d'augmenter, la prévalence des maladies que l'on regroupe sous l'expression de "démence sénile" (essentiellement la maladie d'Alzheimer) est elle aussi à la hausse. D'où l'intérêt croissant de la science pour des modèles animaux permettant aux chercheurs de travailler sur les différents aspects de la sénescence. Et parmi ces modèles, on trouve l'abeille ouvrière dont la vie courte tient en l'espace de cinq à six semaines durant lesquelles elle occupe différents "postes" dans la société : elle commence par travailler à l'intérieur de la ruche, comme nettoyeuse, nourrice pour les larves, magasinière, ventileuse, cirière.

Certaines s'aventurent ensuite à l'extérieur, d'abord pour garder l'entrée de la ruche puis pour butiner. On pourrait se dire que c'est le simple effet de l'âge. Il reste à découvrir comment fonctionnent les processus biochimiques qui restaurent les capacités cognitives perdues. Sauter le petit déj' donne envie de manger gras. L'équipe du Dr Tony Goldstone de l'Imperial College London a observé à deux occasions l'activité du cerveau des 21 participants, âgés d'environ 25 ans. Le premier jour, les chercheurs ont demandé aux volontaires, qui n'avaient pas pu prendre de petit déjeuner, d'évaluer leur envie de divers plats qui leur étaient présentés sur des photos. L'activité de leur cerveau, et notamment du cortex orbitofrontal, une zone qui s'anime lorsque l'on pense à un aliment que l'on apprécie, était en parallèle mesurée par IRM.

Même expérience la fois suivante, cette fois une heure et demie après un petit déjeuner copieux de 730 calories composé de céréales et de tartines à la confiture. Les résultats ont montré que le cerveau s'animait davantage devant des images de plats riches en graisses type pizzas ou chocolat quand les volontaires n'avaient pas pris de petit déjeuner. En revanche, l'activité suscitée par les photos de plats peu caloriques - poisson, légumes - était la même, petit déjeuner ou pas.