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Chute de la presse

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Guardian: ‘No truth’ to report it may end print edition. Daily Telegraph | Guardian Katherine Rushton writes the Guardian is considering an end to its print edition.

Guardian: ‘No truth’ to report it may end print edition

Her article’s first sentence reflects the strength of her story’s reporting: Senior figures at Guardian News & Media are seriously discussing the move to an entirely online operation, it has been claimed, leaving [Editor Alan] Rusbridger increasingly isolated. (Text bolded at points of remarkable ambiguity.) Rushton does point out Guardian News & Media’s struggles, which aren’t unfamiliar to the rest of the newspaper industry in the U.S. or the U.K., but lands on a point entirely unsupported by reporting elsewhere in the piece: Last year, GNM also looked at closing the £80m printing plant it opened seven years ago, and moving its Berliner printing presses to Trinity Mirror’s Watford plant.

On Twitter, Rusbridger pooh-poohs the report: In an email to Poynter, Guardian communications head Richard Lindsay calls the report “utter nonsense.” Les patrons de la presse nationale : tous mauvais. Le titre du livre tombe comme un verdict.

Les patrons de la presse nationale : tous mauvais

Pas de point d'interrogation pour l'atténuer, juste cette sentence, qui résonne si particulièrement en ces temps troublés pour les rédactions : Les patrons de la presse nationale tous mauvais. Dans son livre, qui paraît ces jours-ci, le journaliste Jean Stern n'y va pas de main morte. A la foire aux vanités de la presse, il tient le stand de tir et défouraille à tout va. Les cibles ont les visages de ces grands patrons qui, année après année, ont pris le contrôle de la presse nationale en France : François Pinault, Bernard Arnault, Vincent Bolloré, Serge Dassault, Xavier Niel, Matthieu Pigasse, Pierre Bergé… Mais finalement, les financiers ne sont que ses cibles secondaires.

Mais malgré tout, dans son collimateur, ce sont " les journalistes managers " qui subissent la charge la plus violente : Serge July, Jean-Marie Colombani, Alain Minc, Eric Fottorino. La presse, nouvelle niche fiscale des grands patrons ? Serge July ? Arnaud Lagardère ? «Les rédactions sont un accessoire pour les patrons» Jean Stern, ancien journaliste à Libération puis à la Tribune , est directeur pédagogique de l’École des métiers de l’information (EMI-CFD).

«Les rédactions sont un accessoire pour les patrons»

Dans les Patrons de la presse nationale, tous mauvais (1), il raconte comment chartes d’indépendance et sociétés des rédacteurs n’ont rien pu faire contre l’arrivée, au capital des journaux, d’industriels et de banquiers. Et montre de quelle façon Bernard Arnault, Xavier Niel, Édouard de Rothschild (l’actionnaire de référence de Libération ), entre autres, contrôlent la presse aujourd’hui. Pourquoi avoir écrit ce livre ? Je me disais qu’il fallait parler de ce que j’ai vécu, c’est-à-dire la perte d’indépendance des journaux. Pourquoi Arnault rachète la Tribune et les Échos , pourquoi Dassault rachète le Figaro , pourquoi Pinault rachète le Point … Je voulais comprendre et raconter la défaite collective de ma génération de journalistes. Vous datez l’origine des difficultés actuelles de la presse à l’immédiat après-guerre.

The Search for a New Business Model. A new study, which combines detailed proprietary data from individual newspapers with in-depth interviews at more than a dozen major media companies, finds that the search for a new revenue model to revive the newspaper industry is making only halting progress but that some individual newspapers are faring much better than the industry overall and may provide signs of a path forward.

The Search for a New Business Model

In general, the shift to replace losses in print ad revenue with new digital revenue is taking longer and proving more difficult than executives want and at the current rate most newspapers continue to contract with alarming speed, according to the study by the Pew Research Center’s Project for Excellence in Journalism. Cultural inertia is a major factor. Most papers are not putting significant effort into the new digital revenue categories that, while small now, are expected to provide most the growth in the future. At the other end of the spectrum, some papers are falling further and further behind.