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Ys (Is), la cité engloutie

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La légende de la ville d'Is - Trankilik. La fuite du roi Gradlon "Tri zra dic'hallus da Zoue : Kompezan Brasparzh, Diveinan Berrien, Diradennan Plouye. " " Trois choses sont impossibles à Dieu : Aplanir Brasparts, Ôter les Pierres de Berrien, Arracher les fougères de Plouyé. " (Triade populaire) C omment faut-il présenter ce récit majeur dont nous avons du mal à mesurer la richesse, l'ampleur et la portée ? Légende de la ville d'Ys. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Légende de la ville d'Ys

La Légende de la ville d'Ys est à Argol dans le Finistère , une statue équestre. Elle se trouve sur la place de l'église, à droite de l'arc de triomphe de l'enclos paroissial et devant l'entrée de la cour de l'ancien presbytère. C'est une statue équestre monumentale du roi Gradlon , œuvre de Patrig Ar Goarnig, mesurant 3 m de long et pesant 3 tonnes, racontant sur chacun de ses flancs les deux versions de la légende de la ville d' Ys . Version païenne sur le flanc gauche [ modifier ] Legende de la ville d'Ys. English version Malgven, Reine du Nord.

Legende de la ville d'Ys

La légende de la ville d'Ys. La légende de la ville d'Ys - Articles du Cap-Sizun. Par Gil29 le 17 Décembre 2007 à 09h50 | Catégorie: Culture | Commentaires (3) Il existe plusieurs versions de cette légende de la ville d'Ys , mais toutes renvoient à cette citée engloutie par les flots, et la recherche de cette cité disparue a alimenté bien des fantasmes.

La légende de la ville d'Ys - Articles du Cap-Sizun

Au-delà de la réalité scientifique, il nous plaît d'imaginer ce que pouvait être cette ville d'Ys, et de rechercher nous aussi à quel endroit elle pouvait se trouver. Quelques historiens tentent de localiser la cité disparue au fond de la baie des Trépassés, entre pointe du Van et pointe du Raz et situent sa disparition entre le 3eme et le 5eme siècle de notre ère. L'idée a de quoi séduire, et nous allons trouver divers arguments pour corroborer cette hypothèse. Attachons nous au nom de Ker-Ys : en breton, le préfixe Ker renvoie plutôt à un village qu'à une vraie ville. Hors il existe sur les hauteurs de la Baie des trépassés les traces d'un village qui pose question. La légende du Roi d'Is - (Blog de Pascal Bossard) Entre la Loire et la Seine, sur la côte maritime de la Bretagne, on trouve des ruines de villes et des travaux considérables que les flots de la mer ont détruits d'une façon spontanée et que les temps anciens n'ont pas enregistrés dans leurs annales.

La légende du Roi d'Is - (Blog de Pascal Bossard)

Tous ces bouleversements datent d'une époque fort reculée et qui remonte bien certainement à plus de dix à douze mille ans. Surtout quand on remarque le temps considérable qu'il faut aux flots de la mer pour ronger et détruire des roches granitiques, comme dans la baie de Douarnenez par exemple, où l'on est assuré qu'il y avait autrefois plusieurs villes ou au moins une très grande ville qui occupait tout l'espace compris entre la pointe de la Chèvre jusqu'à la baie d'Audierne ; les traditions indiquent aussi que la grève qui s'étend de Penmarc'k au Raz et du Raz jusqu'à l'île d'Ouessant était couverte de cités.

C'est aujourd'hui la mer Atlantique. Partager l'article ! In Share. Submersion de la ville d’Is. Il existait en Armorique, aux premiers temps de l’ère chrétienne, une ville, aujourd’hui détruite, à laquelle l’anonyme de Ravenne donne le nom de Chris ou Keris.

Submersion de la ville d’Is

A la même époque, c’est-à-dire au cinquième siècle, régnait dans le même pays un prince appelé Gradlon et surnommé Meur , c’est-à-dire le Grand. Gradlon eut de pieux rapports avec un saint personnage, nommé Gwénnolé, fondateur et premier abbé du premier monastère élevé en Armorique. Voilà tout ce que l’histoire nous apprend de cette ville, de ce prince et de ce moine; mais les chanteurs populaires nous fournissent d’autres renseignements.

Selon eux, Ker-is ou la ville d’Is, capitale du roi Gradlon, était défendue contre les invasions de la mer par un puits ou bassin immense, destiné à recevoir l’excédant des eaux, à l’époque des grandes marées. Ce puits avait une porte secrète dont le roi seul gardait la clef, et qu’il ouvrait et fermait, quand cela était nécessaire. Le roi Gradlon parla : Ys, la mystérieuse citée engloutie. Un ville légendaire de bretagne. Saint Guénolé demandant à Gradlon d'abandonner sa fille, E.

Ys, la mystérieuse citée engloutie. Un ville légendaire de bretagne

V. Luminais, 1884 (Musée des Beaux-Arts, Quimper) Le roi Gradlon de Cornouaille possédait de nombreux navires qu'il utilisait pour faire la guerre aux lointains pays du Nord. Stratège hors pair, il gagnait la plupart des batailles et pillait les vaincus, cumulant ainsi de nombreuses richesses. Mais un jour, ses marins fatigués de tous ces combats refusèrent d'assiéger un château. Gradlon et Malgven restèrent longtemps en mer, si bien que Malgven donna naissance à une fille, Dahut, mais la reine en mourut.

Dahut était passionnée par la mer et demanda à son père de lui bâtir une cité marine. Un jour, un chevalier vêtu de rouge vint à Ys. Gradlon se réfugia à Quimper, qui fut sa nouvelle capitale. Interprétation On retrouve des récits semblables dans trois grands rameaux de la civilisation celte (les bretons, les gallois et les irlandais). La gwerz de la ville d'Ys chantée par Déguignet - GrandTerrier. Jean-Marie Déguinet, né en 1834, est jeune vacher à la ferme de Kermahonec en Kerfeunteun de 1851 à 1854.

La gwerz de la ville d'Ys chantée par Déguignet - GrandTerrier

Il précise que c'est à ce moment que parut « une nouvelle gwers sur cette fameuse ville d'Is », ce qui atteste bien qu'il s'agit de la complainte composée par Louis Souvestre et publiée en 1850 (cf détails au chapitre ci-après consacré au chansonnier). Voici les deux premiers versets de cette complainte (cf texte complet en fin d'article), avec l'orthographe d'origine (et la traduction en français) : Petra 'zo nevez e kear Is, Mar d-e kent drant ar yaouankis, Mar klevan-me ar binioù, Ar vombard hag ann telennou ?

N'eus e kear Is netra neve, Rak ar festou-ma've bemde, N'eus a kear Is nemet traou koz, Rak ar festou-ma've bemnoz. Bojennou drez zo divoannet E dor an ilizou zo serret, Ha, var ar beorien o voëla, E losker ar chas d'ho drailla. La Ville d'Is. La Ville d'Is Is était la capitale de la Cornouaille armoricaine qui, vers l'an 475, avait pour roi Gradlon, dit GradlonMeur, Grad'lon le Grand. Ys. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ys

Pour les articles homonymes, voir YS . Ys ou Is, parfois appelée « Ker Ys » (Kêr-Is en breton), est une ville légendaire de Bretagne, qui aurait été engloutie par l'océan. Probablement issue d'un thème celtique autour de la femme de l'Autre Monde, la légende de la ville d'Ys est très nettement christianisée. Le seul élément originel qui en subsiste est le personnage de Dahut. La légende de la ville d'Ys (Blog de pink-evil29) La ville d'Is et la Lexobie de César au Yaudet entre Locquirec et Ploulech ou à Douarnenez. Si l’on en croit la tradition, dit la Presse Littéraire, « c’était une ville splendide, babylonienne.

La ville d'Is et la Lexobie de César au Yaudet entre Locquirec et Ploulech ou à Douarnenez

Elle était bâtie de marbre, peuplée de palais, toute étincelante d’or : des remparts d’une hauteur colossale la défendaient des attaques de ses ennemis d’un côté, et des digues, d’une solidité à toute épreuve, la protégeaient de l’autre contre les irruptions de l’Océan ». Mais il est un moment où tombent les cités les plus magnifiques : Dieu suscite un fléau dévastateur qui les couche dans la poussière.

Tantôt c’est un conquérant formidable dont la valeur ne rencontre point d’obstacles qui puissent arrêter sa marche triomphale, tantôt une peste ou un incendie viennent décimer les habitants ou anéantir les maisons : ou bien encore, les flots se soulèvent pour engloutir ces tours altières restées imprenables. Telle fut jadis la ville d’Is et telle elle fut renversée par les ondes, au point qu’il en reste à peine quelques traces .

La submersion de la ville d'Is. Ha glevaz-te, ha glevaz-te Pez a lavaraz den Doue D'ar roue Gradlon enn Is be ?

La submersion de la ville d'Is

— « Arabad eo en embarat ! Arabad eo arabadiat ! Goude levenez, kalonad ! Etc. Traduction As-tu entendu, as-tu entendu ce qu'a dit l'homme de Dieu au roi Gradlon qui est à Is ? 2. 3. La Légende de la ville d'YS en baie de Douarnenez. Les deux bœufs du déluge et la submersion de la ville d’Is. Du moins dans les légendes qui leur sont attachées. Charte de donation de Bicknor on the Wye à saint Dyfrig in Rhys,J., Evans, J.

G., The Text of the Book of Llan Dâv,Oxford, 1893, p. 72. L’hypothèse a déjà été émise par S. Baring-Gould et J. Fisher, The Lives of the British Saints, Londres, 1907-1913, II, p. 177 et 375. P. Ibidem, p. 511. Vita sancti Dubricii 1 in J. T. Geoffrey de Monmouth, Historia regum Britanniae 165 in N. J. Vita sancti Dubricii 1-2 in J. La ville d'Is. Jacques Cambry. La ville d'Is. Lucien Boulain n ce temps là, il y avait en Bretagne, deux saints apôtres, amis de Dieu... Kaourintin, premier évêque de Quimper (St-Corentin) et Saint-Guénolé, premier abbé de Landévennec... Souvent ils avaient prêché la foi à Is, et admonesté le roi sur les actes criminels, les injustices, les forfaits qui se commettaient au palais de la jeune fille.

La ville d'Is. Louis-Antoine-François de Marchangy out à coup un golfe profond fit reculer le rivage; c'était la baie de Douarnenez. Cette baie est une conquête de l'Océan, qui maintenant occupe la place d'une ville jadis florissante aux lieux mêmes où le pêcheur fait voguer sa nacelle. Ville d'Ys : la cité engloutie. Il y a bien longtemps en Bretagne se dressait, au fond d’une baie, une riche cité dénommée Ys ou Ker Ys.

Ville d'Ys / Contes et légendes / Culture bretonne. La princesse Dahut voue un culte aux rites celtiques... et se permet quelques coupables fantaisies avec ses multiples amants. Blog Archive » La légende de la ville d’Ys. La légende de la Ville d'Ys (Keris-Studio) Les légendes celtiques - La légende de la ville d'Is.