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Religion

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Mythologie (en construction)

Zoroastre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Zoroastre

Zoroastre était un penseur connu de l'Antiquité. Zoroastre, Zarathushtra ou Zarathoustra (en Persan زرتشت, Zaraϑuštra en avestique, Ζωροάστρης en grec), est un « prophète », fondateur du zoroastrisme. Il est difficile, étant donné l'époque et l'importance du personnage, sources de nombreuses affabulations, de donner des dates et des lieux précis à son sujet.

On suppose qu'il est né dans le nord ou l'est de l'actuel Iran ou peut-être en Bactriane, actuel Afghanistan, au VIIe siècle av. J. On connaît quelques bribes de sa vie, à travers les hymnes gathiques de l'Avesta (en Persan اوستا), rédigés dans une langue indo-iranienne archaïque, vieille d'environ 3000 ans, l'avestique. Le nom de Zoroastre[modifier | modifier le code] Le nom zaraϑ-uštra est un composé bahuvrihi en avestique de zarəta- « ancien, faible » et de uštra « chameau », qui se traduit par « celui qui a de vieux chameaux » mais aussi par « celui qui est proche de l'exaltation ». Épiménide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Épiménide

Épiménide de Knossos Épiménide (en grec ancien Ἐπιμενίδης / Epimenídês) ou Épiménide de Knossos, poète et chaman crétois, actif vers 556 avant l’ère commune selon Platon[1] ou sous Solon, vers 595 avant l’ère commune selon Aristote[2]. Il a longtemps été considéré comme un personnage mythique[réf. nécessaire]. Prodiges chamaniques[modifier | modifier le code] La plupart des histoires concernant Épiménide sont consignées par Diogène Laërce[3]. Plutarque le dépeint ainsi : Mandé par eux [en 595 avant l’ère commune] vint de Crète Épiménide de Phaestos, considéré comme le septième des Sages par certains de ceux qui ne reconnaissaient pas Périandre. Selon la tradition[précision nécessaire], il naît dans une famille de bergers, habitant à l'ombre du palais du roi légendaire Minos.

Revenu dans le monde des hommes, il se fait connaître par sa sagesse et ses connaissances occultes. Sur son sommeil de 57 ans : Diogène Laërce : Autre approche. Le rapport entre politique et religion en Grèce ancienne. Le rapport entre politique et religion en Grèce ancienne peut se résumer en un mot : INTERPÉNETRATION .

Le rapport entre politique et religion en Grèce ancienne

La religion imprègne la cité, par exemple… - Dans la fondation de la cité : Quand on fonde une colonie (cas le mieux connu), le fondateur est le chef d'une expédition militaire mais aussi religieuse. Le rôle de l'oracle de Delphes a été récemment recadré : les textes souvent tardifs, littéraires et pittoresques insistent sur un aspect quasi touristique. En fait, les fondateurs viennent chercher une caution politico-militaire de leur volonté après avoir effectué des voyages de reconnaissance. - Dans l'organisation de la cité : L'assemblée des citoyens à Athènes commence par le sacrifice d'un porcelet.

Les bouleutes, héliastes et archontes prêtent serment à leur entrée dans la fonction. Religion grecque antique. La religion n'est pas l'affaire d'une croyance privée ; elle est avant tout publique et concerne la communauté, d'où ses implications importantes avec la vie politique.

Religion grecque antique

En fait, elle ne se cantonne pas à certaines sphères de la vie quotidienne mais peut concerner tous ses aspects. La religion grecque. Divinités grecques primordialesipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Divinités grecques primordialesipédia

Généalogie[modifier | modifier le code] Généalogie des divinités grecques primordiales. Divinités grecques chthoniennes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Divinités grecques chthoniennes

Les divinités grecques chthoniennes ou telluriques sont des divinités anciennes ayant contribué à la formation du Panthéon grec. Elles sont dites « chthoniennes » (prononcé /ktɔnjε̃/, du grec ancien χθών / khthốn, « la terre ») ou « telluriques » (du latin tellus, « la terre ») parce qu'elles se réfèrent à la terre, au monde souterrain ou aux Enfers, par opposition aux divinités célestes, dites « ouraniennes » ou « éoliennes ». Des femmes et des hommes[modifier | modifier le code] Le rapprochement de ces objets avec ceux d'autres sites (notamment en Anatolie) suggère que cette antique religion méditerranéenne associait la déesse à un taureau ou à un bélier (voir le thème du veau d'or dans la Bible), symboles virils spermatiques[2] — un thème qui s'installera durablement dans la région (hétéropartenariat, sexualité originelle non-maternaliste, mais paritaire).

Divinités grecques mineures. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Divinités grecques mineures

Les divinités grecques mineures ou divinités grecques inférieures constituent la majorité du panthéon grec en raison de leur multiplicité et de la variété de leurs caractéristiques. Un culte particulier était voué à des divinités grecques mineures dans certaines régions et villages de la Grèce antique. Religion grecque antique. Panthéon. Résumé des récits mythologiques - Mythologie grecque. Le mythe d’Ouranos Ouranos (le ciel) et Gaïa (la terre) engendrent douze titans, trois Cyclopes et trois Hécatonchires.

Résumé des récits mythologiques - Mythologie grecque

Ouranos, détestant ses enfants et ayant peur que ces derniers le détrônent, enferme les Cyclopes et les Hécatonchires dans le Tartare (les enfers). Gaïa, furieuse, appelle les titans à se rebeller et l’un d’eux, Cronos, va castrer son père à l’aide d’une faucille. Ouranos se met à saigner abondamment et donne naissance à des divinités monstrueuses (les Erynes, Tisiphone, Mégère etc.) mais aussi la déesse Aphrodite.

C’est ainsi que Cronos va lui succéder Cronos Cronos, devenu le roi des Titans après la castration de son père, va se marier avec sa sœur Rhéa. Religion grecque antique (culte) Dans les formes cultuelles adoptées par la religion grecque antique, les principaux rites sont les prières, les offrandes, les sacrifices, les fêtes publiques et les jeux[1].

Religion grecque antique (culte)

Ces rites ne s'excluent pas, au contraire : une offrande s'accompagne d'une prière, un sacrifice également pour couronner une fête publique. Prières[modifier | modifier le code] La prière requiert avant tout la pureté, c'est-à-dire une certaine propreté (un lavage de mains s'impose), une apparence vestimentaire décente et l'absence de l'état de souillure. De même, le respect du rituel s'impose. En règle générale, on prie avant toute action rituelle.

Religions de la Grèce antique. La Grèce elle-même et toute la Méditerranée orientale, où les Grecs se sont installés, offrent les ruines de nombreux temples et sanctuaires, ainsi qu'une multitude de statues et de vases peints représentant des divinités ou des héros de la mythologie.

religions de la Grèce antique

À défaut d'un ouvrage dogmatique, les textes littéraires décrivent les dieux et nous parlent des rites. Les plus importants sont les poèmes épiques d'Homère, l'Iliade et l'Odyssée, et les poèmes attribués à Hésiode, les Travaux et les Jours et la Théogonie (c'est-à-dire « la naissance des dieux »), tous conçus au viiie s. avant J. -C. La religion grecque - GRÈCE ANTIQUE. Religion grecque antique (notions) La religion grecque antique - L'Histoire n'est qu'une histoire à dormir debout.

A nos yeux, la religion grecque se résumait à un panthéon de dieux dirigés par Zeus, qui logeaient sur le Mont Olympe et qui étaient secondés par des centaures et des nymphes. Nous avons donc une image très « fantasiesque » (Cf. Walt Disney) de ce qu’était la religion grecque. Ce n’est finalement qu’en étudiant précisément l’histoire antique (de la fin du Ve à la fin du IVe siècle avant JC) que j’ai réellement connu la civilisation grecque, et que j’ai laissé de côté mes préjugés qui n’étaient en réalité que des anachronismes. Qui envisage actuellement sans difficulté une religion sans dogme ou Eglise, sans prophète ni livre sacré ? Pourtant, ce n’est qu’en acceptant qu’une croyance puisse se comprendre sans ces « artifices » qu’il est possible d’envisager la religion grecque.

L’attitude religieuse de l’homme grec répondait à deux caractéristiques principales qui se rejoignent : d’abord, l’expérience du sacré était diffuse. Il existait trois sectes principales : Religion grecque antique. A l'époque classique, la vie religieuse est un des éléments de la vie civique. Les liens religieux sont le ciment le plus solide de l'Etat, comme ils le sont de la famille; aussi n'y a-t-il pas de religion qui ne soit la religion de l'Etat; les cérémonies, où se rassemblent tous les habitants de la cité, sont célébrées par des magistrats et non par un clergé professionnel. Les dieux, en effet, servent à défendre la cité contre ses ennemis; ce sont des divinités locales, qui n'ont d'autre fonction que de secourir l'Etat, dont ils sont membres, et leur nom d'Apollon, Athéna, Poséidon... ne doit pas faire oublier que l'unification du panthéon n'a jamais été que superficielle.

Aussi le sentiment religieux se confond-il avec le patriotisme. Sacrifice à Jupiter N. Coypel ©musée du château de Versailles Une telle foi ne pouvait longtemps contenter les fidèles. Mythologie grecque, Dieux Olympiens.