Edouard Gasser: La curation : remède contre l'infobésité. Un internaute français est présent sur 2,8 réseaux sociaux en moyenne. Et ce chiffre est en perpétuelle augmentation. On suit de plus en plus de monde sur Twitter, on consulte de plus en plus de site de contenus, 57% d'entre nous s'exprimeraient d'ailleurs plus sur les réseaux sociaux que dans la vraie vie. La difficulté à faire le tri dans le flux constant d'informations quotidiennes, culturelles, politiques, sportives ou privées est devenu un mal récurrent, qui d'un obstacle à la productivité pourrait bien déboucher sur des overdoses d'actualités. Entreprises ou individus, tous sont concernés par ce trop plein. Face à l'infobésité, beaucoup voit la curation comme la solution.
Le mot "curation" n'est pas nouveau. Certains diront que la curation est depuis bien longtemps attendue et pas franchement une révolution. D'ailleurs, au-delà des sites utilitaires, les sites de curation de contenus spécialisés à proprement parler sont également les nouveaux champions du web. Inbound, curateur communautaire de buzz sur le marketing. Inbound, créé par des vieux routier du web, à savoir les boss de SEOMoz et de HubSpot, est un agrégateur spécialisé dans l’actualité du marketing, ou plutôt du webmarketing. Vous avez vu, j’ai réussi à mettre quatre buzz-words dans mon titre, ce qui le rend totalement abscons pour le non-initié (et pour Google).
Mais il faut savoir parfois parler aux niches. Inbound est un nouveau site comme il y avait longtemps que nous n’en n’avions pas chroniqués ici, et à vrai dire un site comme on les aime, avec un petit parfum de nostalgie qui nous replonge un peu dans la grande époque de Digg et du web deux point zéro. Le site est visuellement très simple et bien pensé, avec un design épuré qui met en valeur les actus. Rien de révolutionnaire, pas de plan de monétisation pour le moment, mais tout simplement une très bonne source à considérer pour compléter sa panoplie de veilleur fou. voir Inbound. Le français Pearltrees lève 5 millions d'euros.
Pearltrees injects organization into your social interest graph. Pinterest is profiting off your ‘pinspired’ purchases without a disclosure. Pinterest has become entirely unavoidable. In its mere 23-month existence, the site has managed to create (or rather, curate) a cult-like following of devoted, pinning-obsessed users. It was recently reported that Pinterest drove more referral traffic last month than Google+, Reddit, YouTube, LinkedIn, and MySpace combined. While there are plenty of users ready to worship at the Pinterest alter , skepticism remains . Isn’t the site, at its core, just a series of advertisements and marketing materials consumers are helping to circulate and promote? Doesn’t anyone feel like this culture of visual stimulation and social discovery is just even a shallow? Well, turns out there might be something to your inner cynic. Social media commentary site LLSocial did a little digging into how Pinterest could be profiting, and surprise, surprise, it’s all woven into the tangled web e-commerce weaves.
A lot of websites do this – this website does that. Pinterest : le nouveau réseau social en vogue. Pinterest est devenu LE réseau social du moment, celui où il faut être pour faire partie des premiers et surtout des personnes sélectionnées, le site ne fonctionnant pour le moment que sur invitation. Pinterest ne vient pas de se lancer sur la toile, il y est présent depuis 2010.
En six mois, le site a connu une croissance de 4 000 %. Pinterest est d'ores et déjà dans les 10 réseaux sociaux préférés et si sa place est déjà faite aux États-Unis ( troisième réseau social en termes de temps passé sur le site ), le site commence à envahir le quotidien des Français. Le principe de Pinterest est différent de ce que peuvent proposer aujourd'hui Google+ et Facebook. Et c'est certainement ce qu'il fait sa force et son attrait. Dans Pinterest, vous ne racontez pas votre vie, vos bobos du quotidien. Vous partagez vos centres d'intérêt par le biais de photos, de vidéos, de clips, etc. Pinterest se rémunère au clic. Pinterest as Free Market Research - Grant McCracken. My first reaction was panic. You know how it goes. First I heard about Pinterest. Then I heard that it grew 429% from September to December 2011. And I thought, Oh, my god, the future is preparing to leave without me…again.
So I raced to have a look. Pinterest was lots of images. Contained in several boxes. This is a critical moment. My theory, these days, is that the only real way to assess something in the digital world is to use it. I use “dorking around” deliberately because you know how this goes too. We don’t really grasp what we are looking at, so we are obliged to proceed fitfully and awkwardly, trying this, trying that. So it’s a double bind. I pressed on, because, as I say, you can’t know unless you do. Not all of this is (p)interesting.
I filled in a couple of categories, trying just about anything. And then I found a more original purpose. Categories are interesting to anthropologists. From this point of view, Pinterest is a treasure. Emmanuel Vivier : «Pinterest, la premère plate-forme où les early adopters ne sont pas des geeks», Interview. Pinterest, le réseau qui est en train de se faire un nom.