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Employees on the web

Facebook Twitter

Licenciés pour des commentaires dénigrants sur Facebook. Un élu CGT menacé de licenciement pour insultes sur Facebook. Les salariés font la réputation de leur entreprise sur le web 2.0. Nombreux sont les adeptes de Facebook, Twitter, LinkedIn ou encore Viadeo qui au-delà de leur statut d'internautes, sont aussi salariés d'entreprise et n'hésitent pas à parler de leur employeur sur la toile. Ils seraient même 15%, d'après les derniers résultats de l'Observatoire Hopscotch-Viavoice « Salariés et médias sociaux » à s'épancher sans sourciller sur la société qui les embauche. « Ce qui représente tout de même 2,5 millions de personnes, rien que dans le secteur privé, précise Jérôme Lascombe, Président d'Hopscotch.

Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, la grande majorité en parle plutôt... en bien ! Sur les 1 000 personnes interrogées lors de l'enquête, 67 % déclarent s'exprimer en termes positifs sur leur employeur, quand 21 %, le critiquent. 12% des salariés ont été sensibilisés Que ce soit par une charte normative ou un guide d'usages des médias sociaux, seulement 12 % des sondés déclarent aujourd'hui avoir été sensibilisés à la question par leur employeur. Observatoire sur l'utilisation des médias sociaux par les salariés. Chez Nespresso, un avis négatif sur Twitter peut vous faire virer. Mardi 22 février, j’ai vécu une drôle d’expérience. Je croyais cette expérience plutôt sans conséquence jusqu’à ce que l’on me dise que l’un de mes tweets – post sur le site de micro-blogging Twitter – a peut-être coûté son emploi à quelqu’un. Mardi, vers 14h40, je me dirige vers la boutique Nespresso de la rue Crescent [à Montréal], un endroit où j’adore aller. On m’accueille, on me sert un verre d’eau et on m’apporte le menu.

Je commande un cappuccino et deux macarons cinq minutes plus tard. A 14h50, je fais un check-in Foursquare – application mobile de géolocalisation. Capture d’écran de Foursquare (blog 2 têtes à l’affiche). Arrivent ensuite d’autres personnes – un groupe de trois, un de deux et un de quatre – que l’on place à trois tables, à côté de la mienne. Il y a cinq serveurs au total. @Nespresso_US ... « Kind of pissed » Avatar de Normand Boulanger sur Twitter. Bon, j’essaie d’interpeler une personne mais on ne me répond pas. . « Oups, désolé, on va vous offrir le café... » Une bonne utilisation des médias sociaux a besoin de règles. Pour utiliser efficacement les plates-formes communautaires pour leur communication, les entreprises doivent en amont faire respecter plusieurs étapes à leurs collaborateurs et à elles-mêmes.

L'intervention de ses employés sur les réseaux sociaux et la visibilité d'une entreprise sur ces mêmes sites doit être régulée, rappelle Nexteppe dans une note à destination des revendeurs automobiles. Selon lui, les concessionnaires - comme les autres corps de métiers - doivent adopter les plates-formes communautaires. Pour communiquer directement avec leurs clients comme pour gérer la réputation de leur entreprise. Le problème, ajoute Nexteppe, c'est que les conflits éventuels ne viennent pas toujours des internautes. Et que même le collaborateur le mieux intentionné peut provoquer un effet contraire sur la réputation de son employeur. D'où la nécessité de suivre plusieurs étapes dans le déploiement d'une stratégie orientée médias sociaux. Gérer son identité en interne. Quand les réseaux sociaux servent à former des équipes de travail. Sélectionner automatiquement des groupes de travail à la fois cohérents et compétents pourrait découler de l'étude de la représentation graphique d'un réseau de professionnels. « Alors que de plus en plus d’entreprises incitent leurs employés à recommander des candidats dans leur programme de recrutement, l’intérêt de former des équipes en utilisant les réseaux sociaux est devenu évident», expliquent une équipe de chercheurs de Yahoo!

Et Google. Dans une étude, ils proposent donc une méthode pour identifier au sein d’un réseau les meilleurs éléments pouvant former une équipe regroupant les compétences nécessaires à la réalisation d’un projet donné. « Intuitivement, une telle équipe est susceptible de faire preuve de meilleures capacités de collaboration», affirment les chercheurs. Pour cela, ils se sont intéressés au graphique représentant un réseau social de professionnels. Chaque individu est défini par ses compétences La valeur d’une équipe dépend aussi d’éléments plus complexes.