background preloader

Blog-littérature

Facebook Twitter

Mathilde Roux - Collages. Mathilde Roux Collages | rdv | vidéos | vus par | contact | rss Mouvements Le point Espaces confondus De A à A (correspondance) Routes Territoires Être là - 24 villes Déplier le monde Des lignes et des surfaces Récits par recoupement.

Mathilde Roux - Collages

Quelque(s) Chose(s) - [ textes images sons articulations ] Dialogue des latitudes - grande menuiserie. Accueil > Créations spontanées > Centimètres cube > Dialogue des latitudes — Quand je les regardais c’était avec géographie. Je voyais leur rivage. Le clapotis de la communication et le courant de nos désirs. La vie insiste. Accueil > carnets & journaux > grains d’instants > la vie insiste « … les fleurs les plus belles que les voix plurielles viennent un instant la visiter » Maryse Hache abyssal cabaret, publie.net.

la vie insiste

Le dernier des mahigan : gisent sur le sol nu de la mégapole. Gisent sur le sol nu de la mégapole 13 novembre 2013. Les lieux comme des voix. L’eau recueille – temps contraires. La terre le vent tombent s’écoulent, l’eau recueille, l’eau s’élève, l’eau se lève en silence, relie nuit au jour, grossit à l’horizon, l’eau tremble le vent, suspend la ronde des vols, plisse les nuages, l’eau recueille les restes du fracas des gels et des brasiers, l’eau disperse les vagabondes fleurs sans terre, l’eau recueille les nuages las et les sueurs de la terre, l’eau recompose les colonies égarées, l’eau perd la mémoire épouse tous les oublis, la pluie s’abat l’eau frétille, éblouit à perte de vue, l’eau lézarde, jaillit dans les grottes, glane les graines, s’abrite aux fruits, l’eau n’éteindra pas le feu, l’eau préférera la nuit Solaris (1972) Andrei Tarkovski About these ads WordPress: J'aime chargement…

CD. Je ne me souviens plus de l’été. C’est un pavillon qui ressemble presque trait pour trait à celui qui est sur sa gauche, à celui qui se trouve sur sa droite aussi.

Je ne me souviens plus de l’été

De la rue, j’aperçois le jardin, à l’abandon d’hiver, la façade teintée de bleu, les cyprès aussi qui font la fête au vent… et une lumière à l’étage, derrière la grande fenêtre aux volets non tirés. Derrière la grande fenêtre aux volets non tirés je vois le lit, à l’intérieur, je vois le grand lit et ces deux têtes d’enfants qui dépassent de la couette chaude. C’est le premier jour de décembre, il fait grand froid, je ne me souviens plus de l’été ici juste le vent glacial, c’est peut-être pour cela que mon coeur se serre encore plus fort je me mens si facilement c’est la faute du vent bien sûr c’est la faute du vent… Le petit garçon regarde un écran placé devant lui, il sourit par moments, la petite fille regarde le petit garçon et sourit de ses sourires.

Il fait grand froid et je reste longtemps à les regarder, trop longtemps sans doute. En savoir plus sur le livre Dans le jardin de mon père. CLÉ DES CHAMPS – Face à la chute du nombre de ses détenus, la Suède ferme des prisons. A l'heure où certains pays ne savent plus où mettre leurs prisonniers, le modèle carcéral suédois connaît le problème inverse.

CLÉ DES CHAMPS – Face à la chute du nombre de ses détenus, la Suède ferme des prisons

Témoin d'une chute de l'occupation de ses prisons depuis deux ans, la Suède a décidé de fermer quatre de ses établissements et un de ses centres de réhabilitation, rapporte le Guardian. Négociations de libre-échange : les cinq dossiers qui fâchent. Le blog de Francis Royo. Depuis une nouvelle aire. Je démarre depuis une nouvelle aire.

Depuis une nouvelle aire

Plateforme d’envol ? Je ne sais où elle me mènera : mais je sens comme une nouvelle liberté, de l’air frais vient me caresser le visage, mes doigts galopent sur le clavier, on dirait que la main gauche (qui n’a pas fini de tourner pour autant dans cette direction) fait la course avec la droite, certes attirée par l’extrême… Par la porte-fenêtre de ma chambre, hier après-midi, je regardais le ciel : il s’assombrissait déjà (l’horloge de mon Mac indiquait seulement 17 heures 18), et la régularité – ces métronomiques – de la tombée du jour, de la chute des gouttes de pluie, de la montée paresseuse de la fumée de la cheminée métallique en face, formaient une sorte de tableau délavé, mal brossé, non séché, d’un jour finissant et dépourvu de gloire.

Il serait peut-être temps de nommer un ministre de la météo, si l’on prend une minute pour analyser l’atmosphère actuelle du pays ? (Paris, canal Saint-Martin hier soir. Like this: J'aime chargement… Le mystère trouble des Bonnets rouges : qui se cache derrière cet inquiétant mouvement ? Manifestation des bonnets rouges contre l'écotaxe et pour l'emploi à Quimper le 02 /11/2013.

Le mystère trouble des Bonnets rouges : qui se cache derrière cet inquiétant mouvement ?

(S. SALOM-GOMIS/SIPA) Mais qui dirige, en fait les "Bonnets rouges" ? La question n'est pas souvent posée, et pourtant la réponse est déjà lourde de sens : pour le moment, personne ne le sait. Le mouvement des "Bonnets rouges" a une apparence et une réalité. Lmoroti : KOSHKONONG est un nom indien...le...

Atelier de bricolage littéraire. Poème des terres agricoles [7/36] - diafragm. Terres de femmes n° 107 ― sommaire du. 393 - ...vitesse et bruit des nuages... Ce qui fait battre le cœur ?

393 - ...vitesse et bruit des nuages...

Ce permanent foisonnement de tout et tous les mélanges qu'il suscite, provoque, agrège et qui renouvelle nos paysages – intérieurs et extérieurs. Tout ce bruit autour de nous – que nous en soyons conscients ou pas… que l'on entend ou pas... toutes ces conversations simultanées... amplifiées par de nouveaux dispositifs d'échanges, de lectures et d'écritures... qui modifient nos manières d'être, de vivre, de marcher… avec les autres... et qui me ravissent… sans être béat, béant, baba devant toutes les dérives et errances qu’elles génèrent dans le même temps… Une impression de perdre le Nord ? Mais... Où est le Nord ? On apprécie la dextérité du sculpteur qui transforme la pierre avec expertise et facilité. Feuilleton Claude Simon / Les Géorgiques # 16.

Visage(s) de LSM Il a cinquante ans.

Feuilleton Claude Simon / Les Géorgiques # 16

Il est général en chef de l’artillerie de l’armée d’Italie. Il réside à Milan. Il porte une tunique au col et au plastron bordé de dorures. Les vents de l'inspire. Cela vient se poser.

Les vents de l'inspire

Dehors il y a des bruits et aucune dramaturgie. Les mots viennent à la bouche et se noient sous la langue. Le son dans la lumière traduit en terme de goût. Il y a les fruits que l’on coupe en fines lamelles comme la femme dans la cuisine tranche la racine de gingembre. Carnet de voyage(s) #57. Carnet de voyage(s) #57 Ce qui est préférable, c’est la musique.

Carnet de voyage(s) #57

Le violon jouait au bout du couloir, le piano et le clavecin aussi. C’en est fini : ce n’est pas que j’ai peur de la mort, non, mais je ne voudrais pas arrêter de vivre, c’est surtout ça. Cette avenue se nomme la Rambla -au vrai elles sont plusieurs et on dit les ramblas – elles sont cinq dit-on, dont une « aux fleurs comme à Paris il en est un quai- , nombres de fleuristes, avec ces couleurs bizarres. Paumée.

La nuit sur le mont Fuji. La nuit sur le mont Fuji Avant de me coucher, j’ouvris doucement le rideau et, à travers la vitre de ma fenêtre, j’observai le Fuji. Par les nuits qu’eclairait la lune, il se dressait dans ses reflets bleu pâle, semblable à une naïade. Je poussai un soupir. Oksana. Borislava savait qu’elle vieillissait, et ce goût qui lui venait du compagnonnage, parfois la camaraderie, avec les femmes lui en était signe, elle se découvrait lasse de vivre dans un monde d’hommes. Et d’elles, elle apprenait. Comme ici, au fort Bastiani, avec la vieille femme qui l’avait accueillie, le premier jour – enfin, la vieille ? , elles avaient le même âge sans doute. À leur troisième rencontre, alors qu’elles faisaient rentrer un troupeau d’enfants rieurs dans la salle où ils devaient déjeuner, elle s’était présentée : Je m’appelle Oksana.. et puis c’est un nom ukrainien…. ça veut dire observatrice – j’aime le tien.

Raconter une histoire ou un conte – la staroste et les aiglons /1. » Le goût des mots de Françoise Héritier atelier de bricolage littéraire. Lettre d'Alberto Giacometti à Pierre Matisse : "Cela m’amena à vouloir faire des figures plus grandes, mais alors, à ma surprise, elles n’étaient ressemblantes que longues et minces."

Blogue. Babelio. Un arc-en-ciel en enfer. Un arc-en-ciel en enfer /2. Tenture de l’Apocalypse – Angers – XIVème. Simplement désormais de penser. Bouts de rien : mais que dit-il, Wilhelm ? Aux bords des mondes. De l'ILLUSION AFFIRMATIVE. Bien comprise en son essence la philosophie est un processus de démolition : sa visée, c'est la déconstruction de toutes les illusions, sans reste. Le tiers livre, littérature. Dires 22. Quand la nuit vient [version 2] Personne ne pénètre ici, même avec le message d’un mort. – Mais toi, tu es assis à ta fenêtre et tu rêves du message quand la nuit vient. Apprendre à s'écouter, et changer aux équinoxes.

13.10.20 | apprendre à s’écouter, et changer aux équinoxes. Heures du jour (avec le bruit lointain de cette ville) 21 octobre 2013. Prendre le temps (mesure du monde) 26 octobre 2013 Ah ! Twitter et comment s'en servir. M.actualitte. La vie insiste. Avion vroum - déboîtements. Fons Bandusiae - poésie il y a deux millénaires. Jean Second (en latin Janus Secundus) (1515 – 1536) : Les Baisers, VII / Basia, VII. Quelque(s) chose(s) Tentatives - "la vie ça éparpille des fois / ça chélidoine et copeaux / ça bleuit ça noisette" [Maryse Hache / porte mangée 32] Histoire de mes livres, série. Flânerie dans le web littéraire de 2013. LIMINAIRE. Hommages à Maryse. Just another WordPress.com site. Nicolas Pesquès. L e f l o t o i r: Sauvages des villes.