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Vulgarisation des résultats de recherche

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Men are from Mars, women are from Venus? New brain study says not | Science. If men are from Mars and women are from Venus, no one told the organ that matters most. There is no sharp division between male and female brains, according to researchers who found that we are all a mixture instead. Scientists analysed brain scans of more than 1400 men and women and found that while some features are more common in one sex than the other, each person’s brain has a unique “mosaic” of these features, as well as others seen commonly in both. “What we show is that there are multiple ways to be male and female, there is not one way, and most of these ways are completely overlapping,” said Daphna Joel, a psychology professor who led the study at Tel-Aviv University. The researchers drew on MRI scans to look at a host of brain characteristics, from the amount of grey and white matter to the strengths of connections in the brain.

Much of the analysis focused on the sizes of different brain parts. “We show there are differences, but brains do not come in male and female forms. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Terra Nova | Que doit-on apprendre à l’école ? Savoirs scolaires et politique éducative. Ce rapport ne cherche pas à proposer une nouvelle réforme. Le large débat autour de la réforme du collège a bien mis en évidence les blocages de la réflexion sur la question des programmes et le risque d'éparpillement des controverses.

Puisque cette réforme est en cours, il nous semble opportun d'accompagner sa mise en place, d'encourager la responsabilité des acteurs et de déjouer quelques préjugés. Il est en effet particulièrement étrange et paradoxal que l'école, institution consacrée au savoir et à la transmission des connaissances, parvienne si mal à traiter de la question des contenus de ce qu'elle enseigne, surtout dans un contexte de révolution technologique, d'intensification et d'élargissement des échanges, et de nouvelles opportunités économiques où la maîtrise des savoirs est perçue comme une nécessité. Or, on fait trop souvent mine de l'ignorer, les savoirs scolaires ont une histoire. Le temps presse.

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Hattie

De bonnes pratiques pour la rétroaction à l’aide de la technologie | Carrefour éducation. Nombreux sont les enseignants qui demandent aux apprenants de remettre leurs productions sur un support numérique. Par exemple, il est demandé de déposer un travail en format PDF sur l’environnement numérique d’apprentissage de l’établissement. Mais lorsqu’arrive le temps de donner une rétroaction aux élèves, peu d’enseignants optent pour une rétroaction numérique, préférant la transmettre par écrit. Détentrice d’un doctorat en psychologie, Stéphanie Facchin est conseillère pédagogique et chargée de projet au Cégep à distance. Elle effectue actuellement une recherche portant sur la rétroaction technologique.

Madame Facchin et son équipe de recherche, composée de Denise Brodeur et de Patricia Guay, ont présenté les grandes lignes de leurs travaux dans le cadre d’un atelier au 36e colloque annuel de l’Association québécoise de pédagogie collégiale qui s’est tenu du 8 au 10 juin derniers au Centre des congrès à Québec. C’est ainsi qu’est né notre projet de recherche Devoir+. Réussite scolaire : (presque) tout repose sur la qualité du professeur - Sciences. De nombreux facteurs peuvent être déterminants pour la réussite scolaire d'un enfant, mais rien n'a davantage d'influence que la qualité de l'enseignant, affirme The Economist sur base d'une étude réalisée par un chercheur de l'université de Melbourne. John Hattie a croisé 65 000 documents issus de centaines de méthodes d'apprentissage.

Il a constaté que les variables auxquelles les parents prêtaient beaucoup d'importance (la taille des classes, le port d'un uniforme ou la répartition par aptitudes) n'ont que peu d'influence sur l'apprentissage des élèves. Ce qui importe vraiment, ce sont les aptitudes de l'enseignant. Ainsi, les vingt méthodes les plus efficaces pour améliorer l'apprentissage dépendent directement du travail de l'enseignant en classe, selon les résultats de l'étude. De plus, il est plus facile pour les familles riches de compenser les lacunes d'un mauvais professeur en payant des cours particuliers à leurs enfants. Être un bon prof Avoir la bonne méthode Être bien formé. 69 | 2015 Pourquoi enseigner l’histoire ? Pourquoi enseigne-t-on l’histoire ? La question peut étonner tant nous sommes persuadés, en France, de la nécessité de cet enseignement. Mais force est de constater que, selon les États, les modalités d’enseignement sont très disparates dans leurs contenus, programmes, méthodes, enracinements épistémologiques et idéologiques.

Ce numéro 69 de la Revue internationale d’éducation de Sèvres se propose, à travers dix études de cas (Afrique du Sud, Allemagne, Canada, Colombie, France, Italie, Japon, Maroc, Russie, Vietnam), d’étudier les objectifs et les buts poursuivis par les institutions, quand elles mettent en place un enseignement historique, évaluent les méthodes appliquées, sélectionnent des faits et des personnages. Des constats inattendus émergent de ce panorama comparatiste contemporain. C’est peut-être la définition même de l'histoire qui est en jeu : qui détient les clés de son écriture ? Les porteurs de mémoire ? Les compétences transversales en questions. 1La question de l'approche par compétences traverse les débats contemporains sur l’éducation et l’emploi et sur le rôle des différentes sphères éducatives dans leur acquisition et leur reconnaissance.

Principalement portée par les institutions européennes (Commission européenne et Conseil de l’Europe) et internationales (OCDE et UNESCO) et progressivement déclinée au niveau national, cette approche interroge les visées de l’éducation dans une société de la connaissance et de marché (Laval, Vergne, Francis & Dreux, 2011). 2Depuis une dizaine d’années, cette approche par compétences constitue un enjeu majeur du paysage éducatif français : son entrée officielle à l’école en 2005 pour les élèves à travers le Socle commun de connaissances et de compétences n’a nullement été aisée : de nombreuses critiques ont été formulées sur son contenu, son articulation avec les programmes d’enseignement, sa mise en œuvre, etc.

Définitions, catégorisations et enjeux des compétences transversales. Les parents qui arrivent difficilement à caser les devoirs et leçons dans un horaire serré peuvent être rassurés. Les travaux scolaires à la maison ne sont pas faits en vain puisqu’ils permettent vraiment de mieux réussir à l’école. C’est du moins ce qu’affirme Thierry Karsenti, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, qui a analysé plus de 300 études sur le sujet. Ses travaux l’ont mené à publier l’ouvrage Les devoirs scolaires: ce qu’en dit la recherche, stratégies gagnantes et apport des technologies, dont le lancement aura lieu aujourd’hui à Montréal. «Les devoirs, c’est le facteur qui est le plus lié à la réussite scolaire au secondaire, plus que n’importe quoi d’autres dans les études» affirme-t-il lors d’une entrevue avec Le Journal.

Au primaire, le lien avec la réussite scolaire est toutefois «plus timide», reconnaît-il. Parmi les balises à prendre en compte, M. «Deux heures de devoirs en quatrième année, c’est trop», lance-t-il. Agir seul M. Du bon usage des devoirs. Photo : Chris Ryan/Getty Image En 1re année, les devoirs ne devraient pas dépasser 10 minutes par jour. En 6e année, 30 minutes. Celui qui le dit, Thierry Karsenti, est professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, et ses recommandations résultent de la synthèse de centaines d’études réalisées ici et ailleurs. L’universitaire a traduit en recommandations éminemment pratico-pratiques les conclusions de ces lectures savantes dans son dernier ouvrage destiné au grand public, simplement intitulé Les devoirs (Éditions Grand Duc).

S’adressant aux enseignants dans certains chapitres et aux parents dans d’autres, Thierry Karsenti statue d’abord de façon claire sur un point : abolir les devoirs serait une « grave erreur », n’en déplaise aux parents exaspérés par cette source de conflits potentiels, de stress et, parfois, de crises de larmes. Au secondaire, les devoirs contribuent à la réussite scolaire, les études le démontrent sans le moindre doute. L'enseignement basé sur des données probantes.