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Oléoduc Énergie Est (@EnergieEst) La FTQ dit oui à Énergie Est. Même si elle reconnaît la nécessité d’amorcer une transition énergétique, la FTQ-Construction juge qu’il faut dire oui au pipeline Énergie Est, surtout en raison des emplois qui découleront de la phase de construction, qui doit s’échelonner sur un peu plus de deux ans.

La FTQ dit oui à Énergie Est

Réagissant au mémoire de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) signifiant son opposition au projet de TransCanada, et dont Le Devoir faisait état mercredi, le directeur général de la FTQ-Construction, Yves Ouellet, a souligné jeudi que son syndicat est « dissident » de la centrale dans ce dossier. « Nous n’avons pas les mêmes attentes que les autres syndicats affiliés de la FTQ. Nous sommes dans le domaine de la construction. Et nous, en construction, notre job, c’est de faire travailler notre monde », a-t-il résumé en entrevue. Oléoduc Énergie Est. Énergie Est stimulera l’économie à la hauteur de près de 55 milliards$. Soutenez #EnergieEst. Oléoduc Énergie Est (@EnergieEst) Justin Trudeau appuie le projet de pipeline Énergie Est. Le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau, prend position en faveur du projet de pipeline Énergie Est et du port pétrolier de Cacouna.

Justin Trudeau appuie le projet de pipeline Énergie Est

En entrevue à la télévision de Radio-Canada, le chef libéral a offert son appui au projet d’exportation de pétrole des sables bitumineux passant par le Québec. Selon lui, il est important de « développer nos ressources et de les amener de façon sécuritaire sur les marchés ». « Je pense qu’avec le jugement de la Cour [en faveur des travaux de forages] et avec l’appui du gouvernement provincial, nous devons aller de l’avant », a aussi dit M. Trudeau. Le leader libéral a toutefois précisé que le gouvernement canadien se devait de trouver un équilibre « entre l’environnement et l’économie ».

Mis au fait de la controverse suscitée par ce projet de l’entreprise albertaine TransCanada, il a affirmé qu’un tel développement industriel nécessite impérativement l’« appui de la population ». Réunion d’urgence? « Pourquoi c’est différent cette fois-ci ? Justin Trudeau nuance sa position sur Énergie Est. De passage au Nouveau-Brunswick, il a affirmé ne pas offrir son soutien inconditionnel au projet.

Justin Trudeau nuance sa position sur Énergie Est

En entrevue à CBC, M. Trudeau a dit qu'il est bel et bien en faveur de trouver des moyens d'exporter les ressources pétrolières sur les marchés, mais qu'il serait incorrect de dire qu'il prend position pour le projet Énergie Est. « Oui, ce serait incorrect parce que nous suivons un processus en ce moment. Ce processus qui a été imposé par [le premier ministre Stephen] Harper est vraiment la cause [pour laquelle] nous ne pouvons acheminer nos ressources sur le marché en ce moment », a-t-il déclaré, lundi. M. En octobre 2014, M. . « Je pense qu'avec le jugement de la Cour et avec l'appui du gouvernement provincial, nous devons aller de l'avant », avait-il dit. Puis, en décembre 2014, le premier ministre du Nouveau-Brunswick et proche de M. M. La semaine dernière encore, M. Politique énergétique du Québec. Texte pétrolia. Manifeste pour tirer profit collectivement de notre pétrole.

Le PLQ partagera les redevances minières, pétrolières et gazières avec les communautés locales. Roberval, le 9 mars 2014 – En cette 5e journée de campagne électorale, le chef du Parti libéral du Québec, Philippe Couillard, a pris l’engagement de partager les redevances issues de l’exploitation des ressources minières, pétrolières et gazières avec les communautés locales afin qu’elles puissent bénéficier directement de la mise en valeur de nos ressources naturelles.

Le PLQ partagera les redevances minières, pétrolières et gazières avec les communautés locales

Il faut qu’une communauté qui accueille un projet de développement minier, pétrolier ou gazier sur son territoire puisse sentir les bénéfices qui y sont liés. Le partage des redevances donnera à la communauté les moyens de faire face aux défis de la croissance économique et démographique liés à cette activité. Elle pourra ainsi mieux répondre aux besoins d’infrastructures et de services créés par cet essor. Des redevances pour tous Création de fonds locaux et régionaux Des fonds locaux et régionaux seront aussi créés à même une partie des redevances distribuées. Les générations futures. Japon: oui à la relance nucléaire près de quatre ans après Fukushima. Le gouverneur de cette province du sud-ouest, qui a le dernier mot, a approuvé cette relance dans l'après-midi (heure du Japon) sur la base des garanties offertes par la compagnie exploitante, Kyushu Electric Power, et par le gouvernement disposé à réactiver toutes les installations officiellement jugées sûres par l'autorité compétente.

Japon: oui à la relance nucléaire près de quatre ans après Fukushima

Tous les réacteurs du Japon (48 sans compter les six saccagés de Fukushima Daiichi) sont actuellement stoppés, et ce depuis plus d'un an après l'arrêt de deux tranches relancées entre 2012 et 2013. «Tenant compte de divers facteurs dans leur ensemble, j'ai jugé que le redémarrage des unités 1 et 2 de Sendai était inévitable», a déclaré le gouverneur Yuichiro Ito lors d'une conférence de presse. «C'est une décision importante et un grand pas en avant», a réagi le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga, promettant que le gouvernement allait concrètement oeuvrer en vue du redémarrage. M. Arguments économiques contre opposition écologiste. Oléoduc Énergie Est. L’Europe ouvre la porte au pétrole des sables bitumineux.

Bonne nouvelle pour les partisans des sables bitumineux.

L’Europe ouvre la porte au pétrole des sables bitumineux

Le Parlement européen a adopté une Directive sur la qualité des carburants qui ne pénalisera pas ce pétrole nettement plus polluant que le pétrole conventionnel. Une décision qui vient ajouter un argument pour la construction du pipeline Énergie Est. En vertu de la Directive adoptée définitivement vendredi, après un premier vote serré en décembre, le pétrole des sables bitumineux ne fera pas l’objet d’une analyse particulière dans l’évaluation des émissions de gaz à effet de serre (GES).

Il s’agit d’un changement de cap significatif de l’Europe, qui s’est pourtant donné des objectifs ambitieux de réduction des GES.