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Murales Iran

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International : Ali Khamenei,l'énigme iranienne. PORTRAIT - Il contrôle l'armée, la justice, la télévision, les gardiens de la révolution et les milices. Le guide suprême de la République islamique iranienne va devoir trancher pour mettre un terme aux manifestations qui secouent Téhéran. Il incarne tous les mystères du régime iranien. Aucun journaliste étranger n'a pu le rencontrer depuis vingt ans. L'ayatollah Ali Khamenei ne reçoit jamais les ambassadeurs accrédités en Iran. Et sa parole est des plus rares. Derrière ses lunettes en écaille, sa barbe blanche et son turban noir des descendants du Prophète, c'est pourtant ce personnage énigmatique qui est au centre de la République islamique - son très officiel Guide suprême - depuis la mort en 1989 de son fondateur, l'ayatollah Khomeyni. L'heure du choix va bientôt sonner. Né dans la ville sainte de Mechhed dans l'est de l'Iran, Ali Khamenei étudia la philosophie islamique, avant de devenir ayatollah.

Ses déclarations sur le sujet entretiennent le flou. IRAN: au-delà des clichés ! - Blog de voyage - Uniterre.com. Sous les ors Pahlavis Isolé de la ville basse et de sa population grouillante, le dernier shah d’Iran vécut durant son règne (1941-1979) sur les hauteurs du nord, dans un parc au pied de l’Alborz alors peu intégré au tissu urbain de la capitale.

Le palais du Niavaran se voulait un cocon préservé, et ainsi déphasé avec la réalité du monde. Mohammed-Reza Shah succéda à son père Reza Shah, fondateur de la dynastie dite Pahlavi, en 1941 alors que ce dernier se trouvait sous la dangereuse pression d’une Allemagne nazie désireuse de se rapprocher du Golfe Persique et de son pétrole. Le nouveau souverain fut donc placé sur le trône par les puissances alliées afin de verrouiller le Moyen-Orient à Hitler. Essayant de jouer la concorde entre les forces en présence, le shah accueillit à Téhéran en 1943 une conférence à laquelle participèrent Roosevelt, Churchill et Staline afin d’officialiser une alliance avec l’Iran tout en préservant l’intégrité de son territoire. Téhéran avant Téhéran Rose Palais. Le visage dévoilé de Téhéran : Quand Irane ôte sa burqa « Le Blo.

L’Iran, pour tous ceux qui n’ont visité ce pays qu’à travers les médias, renvoie à des images stéréotypées : femmes voilées en noir, drogue en grandes quantités et une bombe atomique en confection, bien enfouie sous les toits des maisons en tourbe. Quelques jours à Téhéran suffisent pour effacer ces clichés. L’Iran n’est pas la burqa, les ayatollahs et l’intégrisme.

C’est tout le contraire. Certes, en Iran, une bombe est en préparation. Même si, aujourd’hui encore, les jeunes n’ont d’autres choix que de braver en cachette les interdits, leur révolte, lente mais persistante, a poussé les autorités à ignorer certains écarts. Il s’agit là, d’une lutte quotidienne de ces femmes qui gagnent du terrain face aux gardiens de la révolution. Les Pasdarans, très motivés sur le plan idéologique, et véritables gardes de la République islamique, sont, entre autres, en charge du bon respect du code vestimentaire et moral en vigueur depuis la Révolution. Une dualité. Iranian Governmental Murals Photo Gallery by Steve Roden at pbas. Tales From Tehran-Brand Equity-Features-The Economic Times. Delshad Irani, ET Bureau Jun 3, 2009, 04.31am IST Bundled up in meters of cloth and head scarf firmly in place I sat in a traditional Iranian café on a busy Tehran afternoon.

And watched as dark clouds, which reigned over the city for days, finally relented to unveil a clear day, a rarity in the Iranian capital. Despite the owner's best efforts the old Persian beats playing on a war-torn radio poured out of the café . The tea house nestled between a grocery store stocked with everything from fresh produce to Zam Zam Cola (the Iranian alternative to Coca-Cola that has contraband status ) and cigarettes, American brands, and a DVD shop stocked with Hollywood , and Bollywood, blockbusters. I took a large gulp of Irani chay, the brew served black and mighty strong, while I wondered what to do with the pile of white nuggets placed in front of me. And there was no explaining. This one is between Islamist propaganda and western indulgences, all battling for young Iranians' attention. S Best Photos of mural and tehran. Flickr Hive Mind is a search engine as well as an experiment in the power of Folksonomies.

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There are literally hundreds of other web tools built around the Flickr API, see Flickr Bits for a bunch of examples. Iran: le musée du «Grand Satan» En persan, on l'appelle le "nid d'espions". Et ce surnom est devenu, au fil des ans, tellement familier aux habitants de Téhéran que, lorsqu'ils se rendent en autobus dans le quartier de l'ancienne chancellerie américaine, ils précisent tout naturellement au chauffeur: "Je descends à la station Nid d'espions.

" Le "nid", qui n'a rien de douillet, est une sévère et immense enceinte de briques et de grilles, occupant tout un pâté de maisons en plein centre de la capitale iranienne. Les "espions", ce sont les quelque 60 diplomates, gardes de sécurité et employés de l'ambassade des Etats-Unis qui travaillaient là jusqu'au 4 novembre 1979.

Jusqu'au début du calvaire: une prise d'otages qui durera 444 jours et constituera l'une des épreuves les plus humiliantes qu'ait eu à connaître la première puissance du monde depuis le sauve-qui-peut de ses diplomates à Saigon, drapeau américain sous le bras. Mais cette fois, à Téhéran, pas le moindre hélicoptère pour sortir de la nasse. Iran : voyage au coeur de l'empire Pasdaran - Les Echos.fr. Si Téhéran remplaçait ses peintures murales antiaméricaines... -