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Psychophobie

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Troll de Jardin. Prends-toi en main, ça ira mieux... Les maladies mentales concerneraient une personne sur quatre au cours de sa vie, selon l’OMS, et seraient la première cause d’invalidité dans le monde. Chacun d’entre nous connaît au moins une personne souffrant d’une maladie mentale grave comme la schizophrénie ou les troubles bipolaires, puisqu’elles concernent 2% de la population, soit environ un million trois cent mille personnes en France.

Le nombre de morts par suicide dépasse celui des accidentés de la route. Pourtant, les préjugés entourant les troubles mentaux sont légion. Il est urgent de lutter contre ces idées fausses, notamment parce qu’elles contribuent à l’isolement, à la stigmatisation et à l’augmentation de la souffrance des personnes touchées par ces maladies. Par exemple, ce qu’on a coutume d’entendre à propos des idées suicidaires montre à quel point la personne qui veut demander de l’aide se retrouve dans une impasse. Ce genre de préjugés isole la personne et contribue au manque de soins. Ne me dites pas que je suis normale. J’ai envie d’écrire pour exprimer la douleur que je ressens mais tout se mélange dans ma tête. Je suis malade mentale. Je ne sais pas ce que j’ai. Je suis anxieuse, sûrement un peu dépressive, sûrement d’autres choses.

Je souffre de ma maladie, mais aussi de la façon dont elle est appréhendée par les gens. On dirait que les gens qui m’aiment veulent me rassurer en me disant que je suis normale, qu’en fait tout le monde ressent ça parfois, que c’est normal à mon âge d’être mal et que ça va passer. Bien sûr, ça ne me rassure pas, mais surtout, c’est faux. Il est faux que tout le monde est mal à l’aise/timide en société. Il est faux qu’il est difficile pour tout le monde de se faire des ami-e-s.

Il est faux que tout le monde manque d’assurance. Il est faux que c’est dur pour tout le monde et qu’il suffit de faire des efforts. Il est faux que c’est juste l’âge et que ça va passer. Je ne suis pas normale. [Traduction] Voilà en quoi le féminisme peut être bon pour la santé mentale | Coups de Gueule de Lau. [Note : Bien qu’ayant une plutôt bonne compréhension de l’anglais, je ne suis ni bilingue ni traductrice professionnelle.

Il est donc possible que je laisse passer des erreurs de traduction. Si c’est le cas, n’hésitez pas à me les signaler en commentaire, et je rectifierai] Cet article a initialement été posté sur le site anglophone du Huffington Post, à l’URL suivante : Si je peux me permettre une petite critique sur cet article, ça serait le fait qu’il omet de parler des problématiques spécifiques à la santé mentale des personnes identifiées comme femmes (que ça soit les personnes assignées femmes à la naissance ou les femmes trans*) : Les femmes sont les victimes majoritaires d’abus sexuels et de violences conjugales (pas uniques, mais majoritaires. En voici donc la traduction : Féminisme en force, encore.

Stigmatisation en psychiatrie - Santé mentale de A à Z - Espace Presse. Le stigmate se construit à travers ce que Goffman nomme l'identité sociale virtuelle. Elle correspond aux caractéristiques que nous prêtons à une catégorie de personnes (par exemple les « malades mentaux »), alors que l'identité sociale réelle correspond au véritable profil de la personne. C'est lorsque l'écart entre l’identité sociale réelle et l’identité sociale virtuelle devient significatif qu'on peut parler de stigmatisation. Le stigmate « représente un désaccord particulier entre les identités sociales virtuelles et réelles » (Goffman, 1975). C’est un produit social, lié aux interactions entre différents groupes. Le processus de stigmatisation Par le biais des représentations sociales, nous établissons différentes catégories de personnes ou groupes (les schizophrènes, les dépressifs, les bipolaires, etc.), auxquels nous attribuons des caractéristiques communes.

Les représentations sociales des personnes souffrant de troubles psychiques L’enquête Santé Mentale en Population Générale. Veille permanente psychophobie. Résultats de la recherche sur 'psychophobie' - Gentil rappel que la dépression c'est pas un état d'esprit choisi, c'est tout un tas de facteurs coller les uns aux autres. Make A Wish France – Discrimination psychophobe. C’est l’histoire d’une bénévole dans une grande association à renommée internationale, Make A Wish, l’organisation qui réalise les rêves des enfants malades en leur offrant des voyages, des rencontres avec leurs idoles etc. C’est l’histoire d’une meuf qui va aider cette association pendant une année, sans rien attendre, qui va aller sur le terrain avec les enfants malades, qui va passer ses journées libres à faire de la paperasse dans les bureaux parisiens de l’association.

C’est l’histoire de mon amie, qui a du coeur et envie d’en donner à ceux qui en ont besoin, et qui le fait pour rien, juste parce que c’est ce qu’elle croit juste. Au bout de cette année de travail, un poste se libère dans cette association, un petit CDD de remplacement, on lui fait comprendre qu’elle serait la bienvenue, elle postule, et décroche le contrat. Elle se fait accompagner par le Pôle Emploi pour disposer d’un contrat aidé, tout est balisé. Je voudrais dire que je suis étonnée, mais je ne le suis pas.

Si les gens traitaient les maladies physiques de la même manière qu'ils traitent les troubles mentaux... C'est vraiment édifiant. Pourquoi la feignantise n’existe pas. Trigger Warning : Dépression Nombre de mots : 1850Temps de lecture : 8 minutes Je me suis toujours considéré quelqu’un de feignant. Ma chambre a toujours été plus ou moins en bordel. Ma conception du ménage se situe quelque part entre « Mwarf » et « Scrogneugneu ». J’ai toujours considéré que 12/20 à un examen c’était deux points en trop. J’adore les chats mais je n’adopte pas : je devrais changer une litière, remplir une gamelle, m’en occuper. Avoir des enfants un jour me parait à la fois indésirable et impossible.

Trois litres de flottes disponibles pour réduire les allers et retours dans la cuisine. Ma vision sur la « feignantise », la « flemme » et ses dérivés, a changé grâce à trois expériences vécues. La première expérience se situe un jour où je me plaignais à une amie du fait que j’avais beaucoup de travail en retard, mais que j’étais trop « feignant » pour le faire à temps. La troisième expérience concerne la drogue. Feignantise et dépression Je fais du sport autant que possible.