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Florianenb

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Le muscle squelettique. Nervous multitest. Pompe site. Potentiel action 2. 2015 BioArt Competition Winners: Mehmet Berkmen and Maria Penil. Immunologie - Tu mourras moins bête - ARTE. Watch White Blood Cells Attack A Nematode Larva. Take a look at a horde of white blood cells attacking a nematode larva. It's a time-lapse shot over the course of 80 minutes as eosinophils (a type of white blood cell) migrate towards the roundworm and release digestive enzymes that break it down.

And if you thought that was interesting, take a look at this white blood cell literally chase a Staphylococcus aureus bacterium through a field of red blood cells. David Rogers, Vanderbilt University The first clip comes from a 2014 study published in the Journal of Experimental Medicine. Check out this link for the orginal clip and more time-lapse videos of the immune system at work. Cellules, protéines et ADN. Au cours de cet entretien, Miroslav Radman évoque l’intérêt de la structure cellulaire des êtres vivants : la concentration de molécules variées dans un espace tridimensionnel restreint permet et favorise l’existence de réactions biochimiques. La dilution de ces molécules hors de cet espace clos conduit à la mort cellulaire.Il aborde ensuite l’importance fondamentale du rôle fonctionnel des protéines. À mots couverts, il fait référence à leurs rôles structuraux, catalytiques ou de transmission de l’information.

Il évoque « des outils à tout faire », spécifiques et efficaces, assurant la vie à court terme d’une cellule.Cependant, les protéines sont des molécules fragiles. Leur maintien et leur renouvellement doivent être assurés pour que cette vie cellulaire soit possible sur le long terme. Radman met ainsi en lumière le rôle du génome dans la pérennité et la perpétuation de la vie cellulaire ainsi que l’importance majeure des mécanismes de réparation de l’ADN.

Untitled. Sciences de la Vie – eduMedia. 10 Clés pour Réussir une Présentation PowerPoint - (Tuto Office) EDU'bases Biotechnologies-ST2S - TRAAM - Elaboration d'un diaporama de présentation. Allergie alimentaire, intolérance et aversion : ne plus confondre ces réactions !- 22 octobre 2014. Qu'est-ce qu'une allergie alimentaire ? L'allergie alimentaire consiste en une réponse immunitaire inadaptée, qui se produit de façon répétée au contact d'un aliment donné. C'est une protéine de l'aliment qui en est responsable. Une phase de sensibilisation est d'abord nécessaire : la protéine entre en contact une première fois avec les cellules immunitaires qui vont la considérer comme un élément étranger néfaste. Dès lors, au(x) prochain(s) contact(s) avec la protéine en question, une réaction immunitaire se déclenchera et provoquera divers symptômes.

SYMPTÔMES. Il est important, en cas de suspicion d’allergie, de consulter un médecin généraliste qui vous orientera vers un allergologue. A ne pas confondre avec l’intolérance alimentaire… L’intolérance alimentaire est caractérisée par un déficit en enzyme, un élément qui permet l’absorption des aliments, et perturbe le bon fonctionnement du système digestif. Les autres réactions possibles liées à l’alimentation. This Awesome Video Takes you on a Tour Inside the Human Heart. Have you ever wondered what the inside of a beating human heart looks like?

Well, wonder no more, as researchers have developed an impressive simulation of the human heart to model its movements. The video below – from the Supercomputational Life Science YouTube channel – shows how the heart’s valves open and close, how the ventricles and atrium throb to cause a heartbeat, and how blood flows inside the heart’s chambers.

This anatomically accurate model can be used to help further our knowledge of how the heart works and potentially enable scientists to find treatments for diseases and defects of the heart. Read this next: Prescription Drugs Could Influence Moral Decisions. Hemostasis, Coagulation and Fibrinolisis. Comment améliorer la santé ? Tu mourras moins bête (22/30) - Pourquoi les ados sont-ils si mous ? Le mot “autrice“ vous choque-t-il. S’il vous est arrivé de pousser un cri d’horreur en entendant le mot autrice (pour auteure) et de pester contre cette sale manie qu’ont adopté les Présidents de dire, en préambule de leurs discours, «Français, Françaises», lisez ce qui suit.

Pourquoi le mot queue est-il féminin et le mot vagin masculin ? C’est l’arbitraire de la langue. Au XVIIe siècle, des puristes décident de faire rentrer les mots de force dans des cases sexuées. Ils veulent faire régner l’ordre. Mieux : puisque la nature, disent-ils, pose la supériorité du mâle sur la femelle, ils décident que certains mots –qui jusqu’ici se conjuguaient au féminin– resteront l’apanage exclusif du sexe fort. Couramment utilisé au XVIe siècle, le mot autrice vient du latin auctor-auctrix, «matrice naturelle des doublets auteur/autrice et acteur/actrice». Tomber en quenouille Faire disparaître le féminin des métiers savants Certains métiers qui, jusqu’ici, étaient déclinés au féminin (2) se voient systématiquement «neutralisés». Ces femmes oubliées des Nobel. Comme chaque année, la première semaine d’octobre sera marquée par l’attribution des célèbres prix, encore très majoritairement remis à des hommes. Nombreuses sont pourtant les femmes à avoir œuvré dans l’ombre d’un « nobélisé ».

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé L’absence de femmes parmi les lauréats choisis en 2016 va à l’encontre d’une tendance générale prise par le comité Nobel depuis le début des années 2000 : la féminisation des prix. Reste que les femmes ne représentent que 5,4 % des nobélisés, avec 48 femmes sur 888 lauréats depuis la création du prix en 1901. Non pas que les femmes n’aiment pas les prix Nobel : elles n’en ont jamais refusé, contrairement aux hommes (Jean-Paul Sartre en 1964 et Le Duc Tho en 1973).

Le rôle mésestimé des proches collaboratrices Une présence plus forte à travers les prix partagés Quand elles ne sont pas absentes, elles doivent partager leurs prix. Une sous-représentation dans les matières scientifiques. Untitled. Légamedia | Internet responsable. TICE biotechnologie. Etre créatif demande du temps. Cerveau et pédagogie : Des principes réellement soutenus par la science. En seconde partie de sa présentation lors du symposium « La persévérance scolaire – Ce que la neuroscience peut nous enseigner », organisé par l’Association canadienne d’éducation (ACE) », le Dr Steve Masson a énoncé des principes neurologiques aux réelles retombées positives en éducation.

Après avoir secoué les conceptions et défait les neuromythes en éducation (voir notre article d’hier), Steve Masson a énuméré des principes pédagogiques en lien avec le fonctionnement du cerveau qui, pour leur part, sont effectivement soutenus par la science. Activer ses neurones de façon régulière Le premier se nomme « l’activation neuronale répétée ». « Lorsqu’on apprend, le cerveau change », résume le chercheur, en faisant référence à la plasticité du cerveau. Il illustre le tout avec l’analogie de la forêt. « Si on emprunte souvent le même sentier dans la forêt, un chemin se développe et on y circule plus facilement. Étudier plus souvent, moins longtemps D’autres principes validés. Vers la fin des mythes sur le fonctionnement du cerveau en éducation. Tenir compte de la science dans les approches éducatives, oui, mais d’abord s’assurer que cette science est véritable! Le Dr Steve Masson défait 6 mythes répandus en éducation, parfois très tenaces, dont celui qui propose d’adapter l’enseignement aux styles d’apprentissage pour favoriser la réussite des élèves.

L’École branchée assistait, le 5 novembre dernier, au Symposium « La persévérance scolaire – Ce que la neuroscience peut nous enseigner », organisé par l’Association canadienne d’éducation (ACE). Chose certaine, la présentation qui a le plus fait jaser a été celle du Dr Steve Masson, professeur au département de didactique de l’UQÀM, qui a défait devant la centaine de participants les six « neuromythes » les plus répandus en éducation, dont certains sont très tenaces! Six mythes sur le cerveau en éducation Quand à la prédominance d’un hémisphère du cerveau chez les individus, 80 % des enseignants y croiraient. Répandre la bonne nouvelle avec prudence.