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“Bottom of the Pyramid” : le cas Veolia Environnement « Jacques Blog- par Jacques Bloch. Antoine Frérot: © lexpansion.com J’ai participé hier à une conférence organisée par la Chaire Entreprise et Pauvreté d’HEC avec comme invité M.

“Bottom of the Pyramid” : le cas Veolia Environnement « Jacques Blog- par Jacques Bloch

Antoine Frérot, PDG de Veolia Environnement. Le thème de la conférence était : « Pauvreté et exclusion : quel rôle peuvent jouer les entreprises ? » Veolia Environnement, grande entreprise française (35Md€, 300 000 salariés dans le monde) est le leader mondial des services à l’environnement. Dans son métier historique de la gestion de l’eau et de l’assainissement, elle joue un rôle majeur dans l’atteinte d’un des Objectifs du millénaire pour le développement fixés en 2000 par les Nations Unis, à savoir « réduire de moitié d’ici à 2015, le pourcentage de la population qui n’a pas d’accès à un approvisionnement en eau potable ni à des services d’assainissement de base » (Cible 7.C).

La stratégie du “Bottom of the Pyramid”: repenser votre business model « Jacques Blog- par Jacques Bloch. Adityasphones.wordpress.com De retour d’Inde où j’ai passé une semaine dans le cadre d’un voyage d’étude et de découverte de l’Executive MBA d’HEC, je voudrais pour mon premier article aborder la question de la stratégie dite “Bottom of the Pyramid” (BOP).

La stratégie du “Bottom of the Pyramid”: repenser votre business model « Jacques Blog- par Jacques Bloch

Cette théorie, développée par l’économiste indien C.K. Prahalad (décédé en avril de cette année) dans un livre devenu célèbre (“The Fortune at the Bottom of the Pyramid”) explique qu’il y a un vrai pouvoir d’achat dans les populations les plus pauvres du monde, celles du “bas de la pyramide”, vivant avec moins de 2 dollars par jour. Cette nouvelle approche du marché permettrait de répondre à deux objectifs. D’une part pour les entreprises, il s’agit de conquérir un nouveau marché, au potentiel immense, et pour les populations concernées une opportunité de pouvoir accéder à des produits de qualité à un coût modeste, d’améliorer ainsi leurs conditions de vie et d’aider à réduire la pauvreté. C.K. Prahalad, expert on corporate strategy, dies at 68. C.K.

C.K. Prahalad, expert on corporate strategy, dies at 68

Prahalad, a University of Michigan professor whose provocative books about business management and global marketing made him one the world's most influential thinkers on corporate strategy, died April 16 in San Diego of a respiratory illness. La notion de Bottom of the Pyramid (BOP) La notion de Bottom of the Pyramid (BOP) Dans les années 1990, la question de la place et du rôle du capitalisme face à la pauvreté et des quatre milliards de personnes vivant avec moins de 2$ par jour commence à émerger.

La notion de Bottom of the Pyramid (BOP)

En 1995, C.K. Prahalad débute une étude sur les stratégies d’entreprises à destination des pauvres, s’intéressant particulièrement à l’exemple de la filiale d’Unilever en Inde, la Hindustan Lever Ltd. En 1997, cet économiste rencontre un de ses homologues, Stuart L. Hart, avec qui il partage les mêmes préoccupations. Le concept de BOP peut être synthétisé par la pyramide globale des revenus ci-dessous : Hart et Prahalad constatent que l’entreprise cible uniquement le haut de cette pyramide en proposant produits et services aux 800 millions de personnes les plus riches du monde. La plus grande opportunité pour les entreprises aujourd’hui est de proposer une offre à l’ensemble de la pyramide et non plus seulement au premier tiers.

Coimbatore Krishnao Prahalad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Coimbatore Krishnao Prahalad

Coimbatore Krishnao Prahalad Coimbatore Krishnao Prahalad (né en 1941 et mort le 16 avril 2010) était un physicien indien qui s'est spécialisé dans le management et l'économie. Biographie[modifier | modifier le code] Il a en particulier étudié le rôle et la valeur ajoutée des hauts dirigeants des entreprises multinationales. La fortune au bas de la pyramide (Prahalad - the fortune at the bottom of the pyramid). - Alter Case.

Quel est le marché dont le taux de croissance est le plus élevé ? Les panneaux solaires ? Non…L’e-commerce ? Cherchez encore. Les médicaments contre le cancer ? Vous n’y êtes pas ! Ce marché alléchant, c’est ce que Prahalad appelle « the Bottom of the Pyramid », autrement dit ces 4 milliards d’humains vivant avec moins de 2$ par jour. Mais revenons à l’argumentaire détonnant de Prahalad. Evidemment, considérer les pauvres comme des clients intéressants nécessite quelques modifications dans la perception de ces clients potentiels et de leurs besoins, mais aussi dans la façon dont l’entreprise peut y répondre. Prahalad développe certaines idées reçues sur le marché BOP, qui expliquent que le business le fuit comme la peste : 1.

FAUX : le pouvoir d’achat agrégé d’une population nombreuse peut être considérable (le fameux effet volume). 2. FAUX : même si les fonctionnalités des produits est la même partout, les formes (packaging, quantité…) diffèrent entre pays pauvres et pays riches. N°1 : C.K. Prahalad, le théoricien de la mondialisation - Les gourous du management - Journal du Net Management.