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Les femmes dans la noblesse

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Introduction. La place des femmes dans la société. Au courant de l’histoire on peut observer que la femme s’est vue attribuer différentes places dans la société ! Cette évolution est due à un changement de la mentalité des personnes la composant. Dans cette première partie nous allons étudier la place des femmes en général entre le XVIIème et le XXIème siècle ! Au XVII ème Siècle A l’époque il y avait deux modèles, la dignité de la fonction et la richesse.

La société était divisée en trois classes apparentes : La noblesse, le clergé, et le tiers-état Au niveau de la noblesse, les femmes étaient considérée comme « précieuse », ce qui veut dire qu’elles s'élevaient au-dessus du vulgaire par la dignité des moeurs, l'élégance de la tenue, la pureté du langage. De plus en France, et contrairement à d'autres pays européens en raison de la loi salique, les femmes ne portaient pas de titres "en propre", il y a certes le titre de princesse , considéré alors non comme un titre mais comme le témoignage de leur qualité. Au XVIIIème siècle.

Les marriages arrangés et la dote

Mathilde de Flandre. Mathilde de Flandre (vers 1031 – 2 novembre 1083, Caen) fut l'épouse de Guillaume le Conquérant et, à ce titre, duchesse de Normandie et reine d'Angleterre. Biographie[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Les ossements de Mathilde, conservés à l’abbaye aux Dames de Caen[2], ont été étudiés en 1961[3]. Sa taille, calculée à partir de son fémur et de son tibia, est estimée à 1,52 m[3], ce qui était probablement au-dessus de la moyenne de son temps[3]. L'examen de son squelette montre aussi qu'elle était fort mince[2]. Inexplicablement, des sources académiques ont rapporté, de manière erronée, que sa taille était d'environ 1,27 m[3],[4].

Mariage[modifier | modifier le code] Mathilde de Flandre a apparemment des relations cordiales avec tous ses enfants, et elle est notamment très proche de son aîné, Robert[5]. Rôle politique[modifier | modifier le code] Famille et descendance[modifier | modifier le code] En 1050 ou 1051, elle épouse Guillaume le Conquérant à Rouen. Aliénor d'Aquitaine. Aliénor d'Aquitaine, aussi connue sous le nom d'Éléonore d'Aquitaine ou d'Éléonore de Guyenne, née vers 1122 ou 1124[1], et morte à Poitiers[2] le 31 mars ou le 1er avril 1204, a été tour à tour reine de France, puis reine d'Angleterre. Duchesse d'Aquitaine et comtesse de Poitiers à partir du 9 avril 1137, elle épouse le 25 juillet suivant à Bordeaux l'héritier présomptif du royaume de France, qui devient le roi Louis VII le 1er août.

Reine de France pendant quinze ans, elle joue un rôle politique notable et participe avec son époux à la deuxième croisade (1146-1149). Mais plusieurs différends aboutissent à l'annulation de leur mariage en 1152. À la cour fastueuse qu'elle tient en Aquitaine, elle favorise l'expression poétique des troubadours en langue d'oc. L'héritière d'Aquitaine[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code] Elle devient héritière présomptive du duché d'Aquitaine à la mort de son frère Guillaume Aigret en 1130[11]. Femmes au Moyen Âge. L'histoire des femmes au Moyen Âge est incomplète, puisque dans l'histoire, la plupart des textes sont écrits par des hommes et les femmes sont très peu évoquées. Plus nous remontons dans le passé, plus les informations sur les femmes sont partielles. La majorité des hommes du Moyen Âge vit dans un milieu rural. Les villes apparaissent à partir du XIe siècle, ainsi que le développement du commerce, et la société se transforme et un nouveau modèle social se forge.

L'existence des femmes et leurs rôles et possibilités évoluent également. Durant toute cette période, le poids de la religion est très fort et les institutions religieuses œuvrent dans de multiples domaines (instruction, soins, aide des pauvres, etc.) et auprès de publics divers[1]. La femme religieuse[modifier | modifier le code] Nonnes dînant en silence, tout en écoutant la lecture de la Bible (Humilité, Pietro Lorenzetti, 1341). Autoportrait dans une lettrine de l'enlumineuse de manuscrit Guda (milieu du XIIe siècle). Princes et princesses. Texte intégral 1De l'ouvrage de Michelle Bubenicek sur Yolande de Flandre1 au colloque du CRISIMA de 1999 dont l'objet était « Reines et princesses »2, en passant par les dernières biographies politiques sur les ducs et duchesses de Bourgogne (Charles le Téméraire, Philippe le Beau, Isabelle de Portugal3), par les récentes études consacrées aux reines4 ou le dossier des Annales HSS de 2002 intitulé « Du gouvernement des princes »5, l'historiographie française paraît aujourd'hui marquée par un fort engouement pour les princes et les princesses de la fin de l'époque médiévale6.

Comment l'expliquer ? Par le retour du politique7 ? Par une attention soutenue portée depuis quelques années aux élites8 ? Par la tradition française du genre monographique ? 3Affectant les princes dans un premier temps19, ce mouvement gagne depuis quelques années les princesses et les reines20. 15La réflexion générale sur le pouvoir princier permet de poser la question de sa légitimation. Haut de page Notes M. H. J.

Pyramide sociale

Régente. Conclusion.