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MEMOIRE LP

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Guide de la formation et du développement professionnel. Évolution de la notion d'apprentissage expérientiel en éducation des adultes : vingt-cinq ans de recherche - 000123ar.pdf. L'accompagnement: une posture professionnelle spécifique - Maela Paul. Le groupe en formation des adultes: comprendre pour mieux agir. Enseigner en classe hétérogène - Jean-Pierre Obin, Marie-Claude Grandguillot. Éducation multiculturelle dans la formation des enseignants au Canada ... Vous dites « insertion » ? - Vous dites « insertion » ? - Pronet , insertion TIC. Auto-efficacité: le sentiment d'efficacité personnelle - Albert Bandura. Devenir professionnel des diplômes du système universitaire guineen : etude exploratoire à partir des diplômes de l'Universite de Conakry - Mamadou Gando BARRY.

La question de la définition de l'insertion professionnelle fait l'objet d'un débat qui oppose aussi bien les sociologues que les économistes. C'est là un concept qui exige d'être manipulé avec soin. D'abord, il ne fait aucun doute que l'insertion se définit d'abord comme un processus. Le processus, par définition renvoie à une notion qui n'a rien d'un caractère définitif. Même si plusieurs critères objectifs permettent de le cerner selon ce qui apparaît comme souhaitable (emploi permanent par exemple), il n'en reste pas moins qu'au niveau subjectif les positions varient au gré des personnes et des situations. D'après le dictionnaire encyclopédique de l'éducation et de la formation (1994), l'insertion professionnelle est définie comme "le processus d'accès à l'emploi, qui renvoie donc à la capacité d'effectuer avec succès la transition entre l'école et le marché de travail" Selon Dominique (1995), l'insertion consiste à aboutir à une certaine stabilisation professionnelle.

Menace du stéréotype et performance motivationnelle : le cas des demandeurs d’emploi. 1Les travaux sur la menace du stéréotype sont relativement récents (Steele & Aronson, 1995 ; Désert, Croizet & Leyens, 2002). Ce courant de recherche ambitionne d’étudier les conséquences des stéréotypes sur les individus qui en font l’objet. Désert (2003) résume très bien cet objectif : « Nous voulons montrer comment les réputations négatives dont les groupes sont la cible peuvent avoir un effet direct sur le comportement et sur les performances de leurs membres » (p. 121). En tant que membres d’un groupe stigmatisé, certains individus placés dans des contextes réactivant cette identité sociale dévalorisée verraient leurs comportements affectés.

L’exemple rapporté par Steele et Aronson (1995) est significatif. 2Dans plusieurs études portant sur des demandeurs d’emploi, Bourguignon et Herman (2005) observent des effets cognitifs, mais surtout motivationnels de la menace du stéréotype. 7Cet objectif nous paraît légitimé par l’état actuel des travaux en matière de menace du stéréotype. L'insertion socioprofessionnelle: un jeu de stratégie ou un jeu de hasard?

D. Castra. L’insertion professionnelle des publics précaires. 1Denis Castra est professeur de psychologie sociale à l’Université de Bordeaux 2 où il dirige l’équipe de recherche : « psychologie sociale des insertions ». Il a, d’ailleurs, déjà publié, seul ou en collaboration, dans cette revue, trois articles : en 1988 (no 17), 1995 (no 20), 2002 (no 31). 2Le livre qu’il vient de publier, préfacé par F. Dubet, tente de répondre à une question d’emblée polémique : pourquoi les dispositifs d’insertion à destination des publics dits « en difficulté » sont-ils si peu efficaces et produisent, par rapport au niveau des investissements matériels et humains, si peu d’effets en termes d’accès à l’emploi ?

3Classiquement, lorsque les chercheurs en sciences humaines et sociales tentent de répondre à cette question, ils donnent des explications du type : manque de compétences, absence de formation, rejet des secteurs porteurs d’emploi, frilosité des entreprises, etc. 4Pour poser le problème, D. 5Ensuite, l’auteur analyse le concept d’insertion. 8D. QU'EST-CE QUE L'INSERTION ?: Entre pratiques institutionnelles et ... L'automédiatisation: Une autre forme de communication sociale - Mohamed Amara. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Kurt Lewin : qu’est-ce que la dynamique de groupe. Kurt Lewin, psychologue d’origine allemande (1890 – 1947) est à l’origine de la théorie de la « dynamique de groupe » à travers laquelle il met l’accent sur l’amélioration de l’efficacité individuelle et sociale par le groupe.

Un groupe est une association d’individus entrant en interaction dans un contexte donné et poursuivant des buts communs. Les individus vont se doter de rôles, se soumettre à des normes, partager des valeurs et réaliser des actions dans le cadre du groupe auquel ils appartiennent. La force du groupe réside dans un système d’interdépendance. D’après Lewin, les forces au sein d’un groupe s’équilibrent naturellement et contribuent à sa dynamique.

Le sentiment d’appartenance, la solidarité ou les échanges vont permettre d’orienter l’action du groupe dans deux directions : la pérennité de son existence et l’atteinte des objectifs fixés. L’importance du comportement du leader L’action individuelle influencée par l’appartenance à un groupe.