Filipa
Tourisme d'affaires : "Festivalisation » des événements, la grande tendance de l’année. Le Réseau de veille en tourisme (RVT) collabore depuis plusieurs années avec le ministère du Tourisme du Québec afin de produire le bulletin de veille sur le tourisme d’affaires et de congrès.
Cet exercice permet d’informer les intervenants de l’industrie touristique sur l’évolution de ce secteur d’activité. Le RVT a passé en revue les bulletins des deux dernières années pour en faire ressortir trois tendances observées au Canada et dans ses marchés concurrents. La « festivalisation » des réunions et des événements Autres articles.
MICE : qu’est-ce que le tourisme d’affaires ? Tourisme d'affaires - Définitions Marketing. Écrit par B.
Bathelot, modifié le 14/11/2018 Glossaires : Marketing hôtelier et touristique Le tourisme d'affaires n'a pas réellement de définition officielle ou universelle. On peut cependant le définir comme étant composé des activités et consommations de services liées aux voyages et séjours d'individus dans des lieux situés en dehors de leur environnement géographique habituel, et réalisées pour des raisons d'affaires. Il correspond à des déplacements et séjours collectifs ou individuels.
Pour certains acteurs (chaînes hôtelières, compagnies aériennes, etc.), le tourisme d'affaires peut représenter une part non négligeable des revenus touristiques. Bilan 2018 du voyage d’affaires : les 5 chiffres-clés à connaître. + 3,8%, c’est le pourcentage d’augmentation des dépenses liées au voyage d’affaires sur le marché européen en 2018.
C’est 0,4 point supplémentaire par rapport aux prévisions initiales ! Le tourisme d'affaires en France - Faits et chiffres. Google Docs vous permet de créer et de modifier des documents en ligne gratuitement. Tourisme d’affaires : 32 milliards d’euros de retombées. C’est une bonne nouvelle pour le secteur du tourisme.
D’après une étude conduite par le cabinet EY, pas moins de 380 000 événements d’entreprises ont été organisés en 2018, pour 32 Md€ de retombées. Des chiffres importants pour le secteur qui trouve là une manne, surtout en basse saison. Tourisme d’affaires : l’Île-de-France est la grande gagnante Les principaux gagnants sont bien entendu les entreprises du secteur (agences, organisateurs et prestataires) qui profitent de 52 % des retombées financières ; tandis que les hôteliers, transporteurs et restaurateurs se partagent les 48 % restants.
Côté répartition géographique, c’est l’Île-de-France qui caracole en tête du classement par région. Bilan 2018, perspective 2019, le voyage d'affaires, un marché de près de 30 milliards d'euros en France - EPSA GROUPE. Les grèves et la hausse du pétrole resteront sans doute comme des marqueurs de l’année 2018 dans le voyage d’affaires en France.
Les grèves ont constitué un moment difficile pour les agences et les voyageurs mais au delà de la frustration ponctuelle, elles peuvent avoir donné l’occasion d’une rupture de confiance avec Air France et la SNCF, et une occasion de tester le concurrence. Pour la SNCF, la concurrence ne sera pas une réalité avant décembre 2019. Tourisme d’affaires à Paris Île-de-France – édition 2019 (étude détaillée) 2019 : année du voyageur d’affaires ultra-connecté. Parmi les tendances émergentes dans le secteur du voyage d’affaires, l’assistance robotisée, la dématérialisation des dépenses et ou encore la personnalisation du voyage tiennent le haut du pavé.
La tendance à la numérisation des services touristiques s’imposent comme une évidence. Rien de neuf sous le soleil, si ce n’est que cet effet de mode s’étend aux voyages d’affaires. En effet, plusieurs études publiées en 2018 attestent d’un recours de plus en plus régulier aux nouvelles technologies dans ce secteur, comme l’indique l’éditeur de solutions web pour les voyages d’affaires, Traveldoo. Premier constat, les voyageurs d’affaires sont 46% à penser que la technologie sert à gagner en rapidité lors de la réservation d’un déplacement. L’intelligence artificielle fait chaque année un peu plus une percée dans l’industrie du Travel. 38% des entreprises y ont déjà eu recours, ce chiffre devrait atteindre 62% en 2018. Le tourisme d'affaires : définition, que représente-t-il, quels sont les acteurs du secteur ?
Le tourisme d’affaires, également appelé MICE (Meetings, Incentives, Congrès, Événementiel), est, comme son nom l’indique, un savant mélange d’activités liées à la fois au tourisme (hébergement, transport, restauration, loisirs, etc.) et au monde professionnel.
C’est un secteur économique qui fait intervenir de nombreux acteurs, mais qui est aussi marqué par une tendance à la baisse des budgets qui lui sont consacrés par les entreprises. Tourisme d'affaires : focus sur les chiffres du marché Européen. Le MICE (Meetings, Incentive, Convention & Events) est un marché colossal et pourtant, les retombés économiques de ce business sur l’activité touristique ne sont pas connues avec précision.
Certaines études ont estimé entre 40 et 120 milliards d’euros le montant de l’événementiel en Europe de l’Ouest, une fourchette pour le moins large. Les difficultés d’établir un bilan précis de l’activité MICE L’organisation de meetings professionnels implique de nombreux intervenants, aussi les dépenses à prendre en compte pour définir l’enveloppe globale de l’activité MICE sont multiples. Voyage d'affaires : le marché a encore grimpé de 3,8% en 2018. Le marché du voyage d'affaires progresse, les activités d'AmEx GBT © American Express GBT Twitter Le marché du voyage d’affaires se porte de mieux en mieux.
Voilà le principal enseignement à retirer de l’annuel baromètre AmEx GBT, présenté mercredi 20 mars 2019à Paris. Le tourisme d'affaires : définition, que représente-t-il, quels sont les acteurs du secteur ? Tourisme d’affaires : l’âge de la maturité. En août, la chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France annonçait la nouvelle en fanfare : malgré le mouvement des « gilets jaunes », 2018 est l’année de tous les records pour la première destination d’affaires de France.
En 24 ans, jamais le nombre de salons dans la capitale (446 en 2018) n’avait été aussi élevé, engendrant près de 5 milliards d’euros de retombées économiques pour le territoire francilien. Idem pour le nombre de congrès : en 2018, Paris a accueilli pas moins de 1 192 manifestations de ce type. Manifestations qui ont également enregistré une participation en hausse de plus de 882 000 congressistes (+ 14,1 %). Une croissance à relativiser La croissance du nombre de congrès et salons dans la capitale, qui concentre plus des trois quarts des voyageurs « business » de l’Hexagone, est-il le signe de la bonne santé du tourisme d’affaires en France, après les années difficiles du début de la décennie ? Faut-il y voir un effet « gilets jaunes » ? 78 millions. Pourquoi le tourisme d’affaires est essentiel pour la France. C’est un secteur clé pour le tourisme français, mais que l’on évaluait jusqu’à présent difficilement. Une étude réalisée par le cabinet EY pour le compte d’un collectif d’organisations professionnelles et d’institutions (*) lève enfin le voile sur le marché des événements d’entreprises en France.
Cette étude complète celles déjà réalisées sur les autres filières du tourisme d’affaires (foires/salons et congrès). Focus sur les 4 principaux enseignements. Eonotourisme. Le Portugal est un pays de forte tradition viticole, et l’excellente qualité de ses vins est reconnue dans le monde entier puisque ceux-ci se sont vu attribuer de nombreux prix et distinctions dans des concours internationaux. Pour les apprécier et les découvrir, rien de tel que de visiter les régions où ils sont produits ! De plus, les vins constituent le prétexte idéal pour profiter de cette occasion pour découvrir les paysages, le patrimoine, la culture et les habitants de ces régions.
Le Douro et l'Alentejo sont les régions où se concentrent la plupart des espaces dédiés à l'oenotourisme, mais un peu partout dans le pays, y compris en Algarve, il y a des unités de production viticole qui accueillent les visiteurs, pour leur faire connaître les vignobles et la cave, leur faire déguster les vins, mais aussi, d'ailleurs, pour qu'ils y séjournent et découvrent leurs alentours.
Le gouvernement portugais prévoit de stimuler l'œnotourisme. Le ministère du Tourisme portugais a annoncé une série de mesures visant à faire du pays une destination œnotouristique prisée. Les mesures devraient être axées sur la formation professionnelle, la qualification des produits et le marketing. L'année dernière, 2,5 millions de touristes se sont rendus au Portugal à la recherche d'une expérience œnologique. « L'objectif de ce plan est de faire du Portugal une destination incontournable de l'œnotourisme », a révélé Ana Mendes Godinho.
La ministre a expliqué que le plan comportait différents axes : qualification des produits (restaurants, hébergements, caves à vin ou producteurs de vin), formation professionnelle, calendrier des événements et campagnes visant à attirer des journalistes et des voyagistes au Portugal tout en numérisant l'offre et en créant un site internet national. ↪ Le gouvernement portugais prévoit de stimuler l'œnotourisme (article en anglais)