L'affiche de la 69e édition est tirée d'une de ses toiles. Vous pourrez découvrir l'exposition de Guillaume Bresson à l’Église des Célestins du 4 au 25 juillet 2015. Festival-avignon.tv. Guillaume Bresson - Éditions Dilecta. 48 pages20,5 x 25,5 cm à la françaiselivre reliétexte de Stéphanie Katzlangues : français / anglaispublication : 2012ISBN : 979-10-90490-11-6 Feuilleter le livre > À l’opposé du réalisme indigent des reportages télévisés, le peintre Guillaume Bresson met en scène l'histoire contemporaine et s'attache particulièrement à représenter des scènes de violence urbaine.
Dans ses tableaux, il mobilise la grande tradition classique et met sa culture artistique au service de l’expression. Il n'hésite pas à détourner les toiles des grands maîtres comme le Caravage ou Nicolas Poussin, ni à jouer avec les codes du sacré.À l’image des meilleurs, il est avant tout un artiste de la composition, de l’agencement, de la mise en espace. Cet espace, souvent dépouillé, ajoute à la dramaturgie, de même que son remarquable travail sur la lumière. Il existe pour ce titre une édition limitée à 40 exemplaires, accompagnée d'une infographie de l'artiste numérotée et signée. Consulter la fiche de l'édition limitée> Exposition Guillaume Bresson - Teaser. Guillaume Bresson, peintures en chantier. Guillaume Bresson, mettre en scène en peinture - La République de l'Art. Lorsqu’on songe aux premiers travaux de Guillaume Bresson, ce jeune peintre (né en 1982) qui expose actuellement à la galerie Nathalie Obadia, trois éléments viennent aussitôt à l’esprit : les scènes de rues et de combats, sortes de guérillas urbaines, qui s’exprimaient de manière très chorégraphique sur de grands formats ; la référence à la peinture classique, des paysages de Poussin au clair-obscur du Caravage ; la grisaille de la palette qui semblait bannir la couleur au profit d’un noir et blanc quasi cinématographique.
Pourtant, lorsqu’on rencontre le jeune homme, il réfute en bloc ces trois manières d’appréhender son oeuvre : « Je sais bien que c’est ainsi qu’on a pu percevoir ma peinture, mais je ne me reconnais pas dans ces affirmations. D’abord, les scènes de rues sont venues un peu par hasard. Je ne cherchais nullement à tenir un discours sur les banlieues ou quelque chose de ce genre et mon travail n’est d’ailleurs jamais de l’ordre du discours. Guillaume Bresson, peintures en chantier. Guillaume Bresson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Guillaume Bresson, né le 15 janvier 1982 à Toulouse, est un artiste-peintre. Diplômé de École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 2007, il vit et travaille à Paris. Le travail de Guillaume Bresson s’appuie sur la technique de la grisaille et sur le répertoire classique de l’expression des passions, en s’inspirant notamment des compositions de Nicolas Poussin, pour mettre en place des tableaux d'histoire contemporaine qui traitent de la violence urbaine[1]. Chaque posture, chaque geste, chaque expression fait pour Bresson l'objet d'un travail préparatoire d'une rare minutie. Le caractère théâtral de ses tableaux, qui n'est pas sans faire penser aux poses exagérées de Jeff Wall, met étonnamment à distance la réalité, et conduit à l'appréhender différemment, non comme de l'actualité, mais comme une histoire en train de se faire[2].Une galerie hype du Marais à Paris. La violence sociale sublimée[modifier | modifier le code]
Guillaume Bresson, mettre en scène en peinture - La République de l'Art.