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Hadopi

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3e vague du Baromètre usage IFOP-Hadopi. Dans le cadre de sa mission générale d'observation, l'Hadopi conduit une à deux fois par an un baromètre standardisé pour évaluer le poids des pratiques et des perceptions des internautes en matière de biens culturels en ligne et renseigner les indicateurs de l'observation des usages fixés par le décret n° 2011-386 du 11 avril 2011. La 3e vague du Baromètre "Hadopi, usages de biens culturels sur Internet : pratiques et perception des internautes français" a été conduite du 18 avril au 2 mai 2013.

Les précédentes vagues ont été conduites en décembre 2011 et octobre 2012. La présentation de l'étude, en version courte ou complète fait figurer les écarts qui sont significatifs par rapport à la vague d'octobre 2012. Télécharger le baromètre en version longue. Télécharger le baromètre en version courte.

Télécharger la note de présentation. La stabilisation des tendances Equipement et connexion Gratuité Perception, freins et motivation Evolution selon les vagues barométrique entre 2012 et 2013. Médias & Publicité : Hadopi : «On n'est pas des gendarmes» Marie-Françoise Marais, présidente de l'Hadopi, et Elisabeth Billiemaz, directrice générale de l'agence H, sont les invitées du Buzz Média Orange-Le Figaro. Créée il y a 18 mois, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) souffre de l'image de gendarme de l'Internet.

Or, le 13 juin, l'Hadopi lancera une vaste campagne de communication télé, radio, presse, Internet et cinéma concoctée par l'agence H pour expliquer que cette haute autorité a également pour but de promouvoir la consommation de contenus sur les sites légaux. Pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour donner une meilleure image de l'Hadopi? «18 mois, c'est extrêmement court pour construire une haute autorité sur les plans juridique et administratif. Il est maintenant temps de s'adresser au grand public.

«Il n'est pas difficile de donner une image positive de l'Hadopi. L'Hadopi est au centre de la campagne présidentielle. » L'Hadopi a envoyé 400.000 avertissements. Vous aussi, détournez les affiches Hadopi en quelques clics ! Hadopi rate sa campagne. 1. Le concept On nous l’a suffisamment rabâché : le téléchargement illégal, ce n’est pas bien. Ca tue l’industrie du disque, du cinéma bref la création artistique dans son ensemble et aussi les poneys y paraît. Pour continuer à lutter contre ce fléau moderne, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet se lance dans une campagne de pub de grande ampleur. Budget : 3 millions d’euros. Concept : si nous n’arrêtons pas tout de suite de télécharger illégalement des œuvres culturelles, dans 10 ans, nous aurons complètement zigouillé l’art et la culture nous privant ainsi d’un certain nombre de chef d’œuvres à venir. 2.

Pour éviter l’oracle apocalyptique selon lequel à cause du téléchargement illégal les enfants seraient promis à une vie aussi chiante que leurs parents et n’auraient même plus l’occasion d’oublier leurs soucis en écoutant David Guetta, Hadopi met donc en place un "label pur". 2. Diane Lisarelli. Les Etats-Unis préparent une Hadopi encore plus répressive. Et une nouvelle casserole pour Hadopi.

C’est triste et cocasse à la fois. Après une fuite de données confidentielles il y a quelques jours, sur un serveur de la société TMG, Hadopi risque d’être à nouveau la victime d’une nouvelle bourde, venant cette fois de son agence de communication. Et les deux sont très liés sur le fond, ce qui rend la chose aussi savoureuse. Il y a peu, l’entreprise chargée de collecter les adresses IP des internautes français qui s’échangent illégalement des œuvres protégées, s’est fait dérober quelques données (5000).

Pas de souci rétorquait son patron : c’était un serveur de test, aucune donnée personnelle n’a disparu... si ce n’est des adresses IP. Mais pour TMG, une adresse IP n’est pas une information confidentielle, puisqu’il faut l’intermédiaire du fournisseur d’accès Internet pour la traduire en adresse physique… Ce que la CNIL (Commission National de l’Informatique et des Libertés) conteste tout de même. Google%20SNEP%20arret%20CA%20Paris%203%20mai%202011. Est-ce que Megaupload est un site illégal ? - Multimédia et nouvelles technologies. À l’occasion du lancement de la campagne de communication d’Hadopi, censée promouvoir les usages légaux qui soutiennent la création, le député UMP Franck Riester est de sortie.

L’ancien rapporteur de la loi Création & Internet, plus communément appelée loi Hadopi, est désormais devenu un visage connu dans l’offensive antipiratage du gouvernement. Megaupload, « un site payant illégal » selon Riester De sortie, donc, comme ce mardi matin sur France Inter. Venu défendre la campagne de communication dont le budget est estimé à 3,2 millions d’euros, il s’en est pris aux sites qu’il considère illégaux et qui, selon lui, minent la création de demain, cette fameuse création vantée par plusieurs spots télé ou radio et qui sont diffusés depuis hier. Franck Riester par franceinter Hébergeur ou éditeur Le débat juridique porte sur une nuance très importante en matière d’internet : est-ce qu’un site est hébergeur de son contenu ou bien en est-il l’éditeur ? Hadopi : iTunes ne sera PUR que pour la musique.

UMP : 45 propositions pour le numérique. Le numérique au programme. A un an de l'élection présidentielle, les politiques misent sur les nouvelles technologies. A l'instar de Martine Aubry il y a quelque jours, l'UMP a dévoilé mardi une série de propositions pour révolutionner cet univers. Parmi les 45 annoncées, le parti majoritaire propose notamment de garantir la neutralité d'Internet et de faire de la France, un pays leader en matière de numérique.

Pour atteindre cet objectif, le programme prévoit de dédié 4,5 milliards d'euros d'investissement aux usages et réseaux numériques et de maintenir un Crédit Impôt Recherche. Couverture et neutralité Dans ce projet ambitieux, l'UMP compte s'attaquer en premier lieu à la couverture du territoire. La pédagogie L'UMP souhaite non seulement assurer à l'ensemble du territoire une couverture haut débit mais également que tous les citoyens français sachent manipuler l'outil Internet. Les 45 propositions UMP pour une "révolution numérique" en 2012. Face à l’échec d’Hadopi, le partage légalisé contre 5 euros/mois ? L’approche de l’échéance 2012 ravive le projet Création Public et Internet (CPI). Ses auteurs, l’UFC Que Choisir, la Quadrature, le collectif Pour le Cinéma et le SAMUP, demandent aux candidats à l’élection présidentielle des engagements « pour un accès élargi à la création ». Comment ? En soutenant leur initiative, à savoir la légalisation du partage de tout fichier numérique entre individus sans but lucratif.

Née du débat Hadopi, la plateforme « ne renonce toujours pas à ce que l’accès à la culture devienne effectif, à travers un droit au partage de fichiers numériques respectueux du droit des artistes. » Pourquoi ce renouveau ? L’offre iTunes Match est l'exemple parfait du modèle qui ne profite pas aux artistes, soutient le CPI. Le modèle défendu par la plateforme Création Public Internet propose donc un accès pour tous à la culture tout en promettant une rémunération aux artistes/créateurs et une contribution à la production de nouvelles oeuvres. 1,3 milliard d'euros. La licence globale revient sur le devant de la scène. L'Hadopi organise une rencontre publique le 11 juillet. Après l'opération de communication pour le label PUR, l'Hadopi se remet à communiquer autour de la riposte graduée.

La Haute Autorité pour la Diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) organise lundi prochain, le 11 juillet 2011 de 15h à 17h, une rencontre publique à Paris. La présidente de l'Hadopi Marie-Françoise Marais et la présidente de la Commission de protection des droits (CPD), Mireille Imbert-Quaretta, seront présentes pour expliquer la réponse graduée et répondre aux questions que le public se pose. La réunion est ouverte à tous mais la participation se fait sur inscription. Selon les chiffres connus, 420 000 mails ont été envoyés entre septembre 2010 et juin 2011, 3 500 courriers recommandés ont été reçus par la Poste, et 10 abonnés ont été invités à expliquer leurs multirécidives devant la CPD. Passe d'armes entre l'Hadopi et les producteurs de musique. High-Tech : L'Hadopi hausse le ton contre les producteurs de musique. La Haute autorité chargée de la lutte contre le piratage les invite à se concentrer sur le développement des offres légales, plutôt que sur le filtrage des sites de téléchargement.

L'Hadopi remet les producteurs de musique à leur place. Dans un communiqué publié mercredi, la Haute autorité chargée de la lutte contre le piratage «invite les métiers de la création à se concentrer sur la partie qui leur incombe, à savoir le développement encore plus rapide d'offres légales», et non sur le filtrage des sites Internet. Cette prise de position fait suite à de récentes déclarations de Marc Guez, le directeur de la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP). Dans un entretien à 01net donné la semaine dernière, ce représentant des maisons de disques a dit son souhait que la lutte contre le téléchargement légal «passe à l'étape supérieure», en ciblant le téléchargement direct, et plus seulement le «peer-to-peer».

Une lutte d'influence autour du filtrage. Hadopi chiffrera son activité le 11 juillet, premières estimations. Comme annoncé, la Hadopi va organiser une rencontre publique (« pas une conférence de presse » nous a-t-on bien souligné) ce 11 juillet à la Bellevilloise, dans le 20e arrondissement (*). L’objet sera double : la mise en œuvre de la réponse graduée et l’activité chiffrée de la Commission de protection des droits. Premières estimations Sur la question de la volumétrie, nos dernières estimations obtenues à partir des données chiffrées de FAI, globalisées en fonction de leurs parts de marché, tablent pour le premier semestre 2011 sur : 1,2 million de demande d’identification d’IP550 000 emails d’avertissements envoyés aux abonnés, accusés non de contrefaçon, mais de négligence caractérisée.

Ces chiffres partent du principe que le même nombre de demandes est adressé à chaque FAI. Du chiffre et une crise Cette rencontre arrive après un 6 juillet qui fera date dans l’histoire d’Hadopi. Une réponse dégradée Bien bonne, la CNIL n’a pas voulu diffuser son rapport. Frédéric Mitterrand.