Les premiers pas du Conseil national du numérique. Lundi, 13 Juin 2011 11:41 Le Conseil national du numérique (CNN) fait ses premiers pas.
L’occasion pour le Club parlementaire du numérique d’inviter à sa table le premier président de cette institution, Gilles Babinet. A l’image de son institution, il aborde tous les sujets par des avis tranchés et nets. Une parole indépendante qui fera la force du CNN. Ou sa faiblesse ? Le Sénat relance la Taxe Google. Par Charlie Braume, le 16 juin 2011 17:43.
Le CNN fustige le projet de décret industrialisant le blocage. Le Conseil National du Numérique a rendu son avis sur le projet de décret pris en application de l’article 18 de la Loi sur la Confiance dans l’Economie Numérique.
Nous venons d'en prendre connaissance : le CNN adresse une pluie de critiques sur ce texte qui tente d'industrialiser le blocage par quantité d'autorités administratives en France. Consulter l'avis du CNN Pour rappel, le gouvernement envisage de doter plusieurs ministères, dont l’Intérieur ou la Justice, du pouvoir d’exiger des mesures de blocage à l’encontre des FAI dans toute une série d’hypothèses, comme l’atteinte à l’ordre public, à la santé publique, à la protection des mineurs ou à la protection des consommateurs.
La guerre du Bouton. Alors que le streaming musical était le sujet phare du Midem, alors que Netflix s’apprête à développer ses offres de streaming vidéo en France, qu’en est-il de la première industrie culurelle face à ce raz de marée de l’accès, avec ou sans abonnement ?
J’ai été invité par le Labo de l’édition, nouveau lieu consacré à l’innovation dans le livre, à animer un débat sur les nouveaux modèles du livre et notamment le streaming. Son équipe a fait appel à moi car on le sait, la musique a une sacrée avance quand il s’agit de parler du numérique et des nouveaux modèles. Trois start up se sont partagé le panel. Difficile de prendre des notes en animant un débat. Vous trouverez un compte rendu détaillé sur l’excellent site du Labo. La musique ne souhaite pas taxer plus les FAI pour financer le CNM - So_cult’ElectronLibre. Pas de taxe supplémentaire pour le Centre National de la Musique ?
Nicolas Sarkozy veut créer le CNM le plus vite possible. CNMrapportdéfinitif30-09vdef3b. Laurent Petitgirard, président du Conseil d’Administration de la Sacem : "Il y a des coups à prendre !" dans la succession de Bernard Miyet - So_cult’ElectronLibre. Laurent Petitgirard, président du Conseil d’Administration de la Sacem, nous révèle comment il organise la succession de Bernard Miyet, et la nomination du nouveau directeur général de la vénérable société des auteurs.
ElectronLibre : Le rapport sur la création d’un Centre National de la Musique (CNM) vient d’être rendu public. Le budget de cette nouvelle institution serait de 145 millions d’euros. Une bonne nouvelle pour la musique ? Laurent Petitgirard, président du Conseil d’Administration : La vérité est que sur ces 145 millions d’euros, 4 millions seulement sont destinés aux auteurs, compositeurs et à l’autoproduction ! 2,75% du total, c’est beaucoup trop peu. EL : Est-ce là la position que vous allez défendre auprès des pouvoirs publics ? Trop tôt pour une short list. La Revue du Spectacle, le magazine des arts de la scène et du spectacle vivant. Infos théâtre, chanson, café-théâtre, cirque, a.
Centre National de la Musique - Franck Riester "ce rapport vise à aider une filière sinistrée" - So_cult’ElectronLibre. Principal artisan du rapport commandé sur la création d’un Centre National de la Musique, le député UMP Franck Riester répond sur les interrogations que soulève ce nouvel organisme.
Il se montre néanmoins confiant, et rassurant, estimant que le Président de la République est très au fait du dossier, et que les professionnels du cinéma n’ont rien à redouter. ElectronLibre : En poussant à la création d’un CNM, l’industrie de la musique envoie un message au marché : les consommateurs ne veulent pas payer, nous prenons acte et demandons un financement indirect. Qu’en pensez-vous ? Franck Riester : Je ne partage pas cette analyse. Licence globale, on y arrive. Le numérique a fini par avoir la peau de la filière musicale, du moins de son organisation actuelle.
L'annonce de la création d'un centre national de la musique, chargé d'investir dans la création musicale est le signe d'une reconfiguration complète. Le pouvoir politique vient de donner son aval au projet. L'étape majeure est franchie, les grosses entreprises privées (appelées Majors), sont contraintes, par leurs résultats financiers calamiteux depuis plus de 10 ans, de lâcher prise en partie. Désormais, le soutien aux petites boites indépendantes passera par un organisme public. Les répercussions sont potentiellement énormes. Il reste encore à mettre en place la direction de cet organe, et savoir sous le contrôle de qui il sera placé. Jusqu'ici, la création musicale était assurée par des artistes. Est arrivé le numérique, et Napster. Le CNM, une occasion unique de repenser la filière musicale. Eelv. L’annonce précipitée de la constitution du Centre National de la Musique est une véritable opération de poudre aux yeux montée pour sauver les revenus des 5 majors qui captent 80% des bénéfices du secteur.
Si la constitution d’un « CNC de la musique », sur le modèle du cinéma, est en soit une idée intéressante, sa mise en oeuvre pose un véritable problème. Parce qu’elle a refusé d’accompagner la mutation internet, l’industrie musicale a connu une perte de son chiffre d’affaire de 40% au cours de ces 5 dernières années. Le téléchargement dit « illégal » a proliféré sur le terrain déserté par les majors qui, aujourd’hui encore, s’opposent à toute idée de licence globale qui pourtant gènérerait bien plus de revenus pour la musique. A l’instar d’Hadopi, le CNM ne résout en aucun cas le problème du secteur.
L'Etat doit repenser la fiscalité du numérique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jean-Bernard Lévy, Xavier Niel, Stéphane Richard, Olivier Roussat Portés par une volonté politique réelle, les industriels des télécommunications ont hissé la France dans le peloton de tête du numérique.
Notre pays, aujourd'hui, peut se targuer d'avoir un secteur des télécommunications particulièrement dynamique, concurrentiel et diversifié, au bénéfice des consommateurs et de l'économie nationale. Le Centre national de la musique n'enchante pas les fournisseurs d'accès. Carte Musique : les députés coupent dans le budget - Le Nouvel Observateur. Frédéric Mitterrand semble désormais bien isolé.
La légitimité et l’efficacité du dispositif mis au point par le ministère de la Culture sont contestées au sein même de la majorité. A l’occasion de l’examen de la loi de finances 2012, l’Assemblée a en effet adopté un amendement réduisant les ressources de la Carte Musique. Lancée fin 2010, et défendue par Nicolas Sarkozy, la Carte consiste en un subventionnement par l’Etat des achats de musique sur Internet. En début d’année, le ministre de la Culture revendiquait une réussite. Mais le budget alloué en 2010 et 2011 n’a pas été exploité du fait - en grande partie - du faible intérêt manifesté par les internautes. La Carte "n’a pas produit les effets escomptés" Cette enveloppe non utilisée devait donc être reportée. Boursorama : numéro 1 de la banque en ligne et portail leader de l'information financière.
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Nicolas Sarkozy, pour qui l'industrie du cinéma compte beaucoup, avait promis de revenir sur ce point. Valérie Pécresse, ministre du Budget, avait reçu instruction de défaire, au Sénat, ce que ses services avaient réussi à faire passer à l'Assemblée nationale fin octobre. Les choses lui ont complètement échappé... 4006 - Rapport de M. Gilles Carrez sur le projet de loi de finances rectificative pour 2011 (n°3952) Le préfinancement du Centre national de la musique divisé par cinq. Musique : les nuages s'amoncellent sur le futur CNM - Les Echos.fr. Les Echos n° 21070 du 01 Decembre 2011 • page 23.