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Pratiques sexuelles

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L’illusoire liberté sexuelle des adolescents. Elle dit des choses fortes, Thérèse Hargot. Elle dit: «Etre homosexuel, ça n’existe pas. C’est une pure construction idéologique». Elle dit: «On devrait foutre la paix aux enfants avec l’éducation sexuelle et aux ados avec les capotes». Elle dit: «Les femmes vantent les vertus d’une pilule diminuant leur puissance sexuelle et elles pensent naïvement que ça leur donne un pouvoir sur les hommes. D’ailleurs, je n’ai jamais compris comment parler de liberté dès lors que la pilule implique un lien de dépendance envers son prescripteur, le médecin, et le propriétaire, l’entreprise pharmaceutique.»

Elle dit des choses fortes, Thérèse Hargot, et face à ces assertions musclées, on pense avoir affaire à une conservatrice forcenée, tendance illuminée. Le Temps: Dans votre essai, vous commencez par pointer l’obsession de la jouissance. Thérèse Hargot: On est passé du «droit à jouir» obtenu fièrement par nos aînés au «devoir jouir» qui met les adolescents sous pression. . – Votre solution? 50 nuances de Grey à gré. À l’instant où vous lisez ces lignes, vous avez tous une dette de sang envers moi. Car vous, cruels lecteurs, n’avez eu aucune pitié pour l’honorable gentilhomme que je suis. Mails, messages Facebook, Twitter, et même demandes de vive voix, rien ne m’aura été épargné pourvu que j’aille voir 50 Shades of Grey à votre place. Et pour vous donner un aperçu de l’ampleur de la tâche, rappelons que 50 Shades of Grey est le film adapté du livre éponyme, lui-même à l’origine une fanfiction de Twilight (mais nous y reviendrons), qui est un livre lui aussi tiré d’autre chose, à savoir l’anus de Satan d’après les premiers éléments de l’enquête.

Sans compter que pour votre information, et c’est authentique, Madame la marchande de billets (non, pas de possibilité d’automate, évidemment) m’a fait répéter trois fois, oui, trois fois ce que je voulais voir. Avant de dire « Hihihihi désolé, je suis un peu sourde. » Oui, et maintenant, tu es un peu MORTE, hein ! Ni une, ni deux : spoilons, mes bons ! Bref. Coup d'un soir - Le dessin de Cy.(prine) Cunnilingus: non, toutes les femmes n'aiment pas cette pratique - L'Express Styles. Si de nombreux hommes apprécient la fellation, lorsqu'on demande aux femmes ce qu'elles pensent du cunnilingus, les réponses varient.

Certes, pour une grande partie d'entre elles, comme pour Manon, cela leur procure "un sentiment de bien-être incroyable et souvent un orgasme à la clé". Une réponse qui n'a rien d'étonnant, puisque cette pratique serait, selon le psychologue Pascal De Sutter (auteur de Désir, roman sexo-informatif, ed Odile Jacob, 2014), "celle qui amène le plus sûrement à l'orgasme pour une femme. En effet, s'il est difficile pour un homme de trouver le clitoris d'une femme, la langue est plus sensible et donc il est plus simple pour l'homme d'explorer cette zone très sensible. Et comme elle est toujours humide, la langue est bien moins irritante que les doigts ou la verge", explique-t-il. "Bon nombre de femmes n'ont pas une relation très positive à leur sexe" Toutes les femmes ne sont pas pour autant adeptes de cette pratique. Conditionnées pour donner, pas pour recevoir. Vestibulodynie et dyspareunie : quand le sexe est (très) douloureux.

Publié initialement le 12 octobre 2015 Cette semaine, Génération Mad s’est intéressé à la première fois. Et comme Marine en témoigne, celle-ci est parfois rendue impossible ou extrêmement douloureuse par des troubles de la sexualité encore mal connus… et mal reconnus. Trois madmoiZelles souffrant de vestibulodynie (aussi appelée vestibulite) et de dyspareunie racontent leur difficile parcours sexuel, et les lourdes douleurs physiques et psychologiques qui en résultent.

À lire aussi : Génération Mad n°5 – Ta première fois : attentes VS réalité La découverte des douleurs Pour Elkaria, c’est arrivé progressivement : « Avant que tout commence, j’étais une jeune femme somme toute banale, étudiante, en couple avec mon deuxième amoureux. Et pour d’autres, comme Sandy, le problème semble avoir toujours été là : « En 2011, mon premier copain et moi avons essayé d’avoir un rapport, mais la pénétration était impossible ! À lire aussi : J’ai testé pour vous… avoir une mycose vulvaire Des solutions ?

Orgasme