background preloader

Cultures

Facebook Twitter

M.actualitte. Présenté ce 4 juillet au Sénat, le rapport de Mme Brigitte Congthier-Maurin semble avoir été légèrement boudé par la presse. Avec 19 recommandations sur la place des Femmes dans le secteur de la culture, il ne manque pourtant pas d'intérêt. Et pointe surtout « une situation inacceptable dans le secteur de la culture ». twn 1340, CC BY-SA 2.0 Précédemment, deux rapports avaient déjà mis en exergue que les institutions publiques du spectacle vivant laissaient peu de place aux femmes. En effet, un haut-commissaire à l'égalité a été nommé, d'autre part, un Observatoire de l'égalité dans le domaine de la culture et de la communication a été créé en mars.

Parmi les constats du rapport de la sénatrice, on trouve cette intervention : Pour Geneviève Fraisse, la production, acte politique par essence, a un rapport direct avec la jouissance, terrain sur lequel les hommes ont du mal à laisser venir les femmes. . • 30°% des acquisitions des Fonds régionaux d'art contemporain (FRAC) ; Recommandation°5. Les "Autres mères" dans Coraline et Mamá | Cultures G. Mamá et Coraline sont deux films très différents, ne serait-ce que par leur public. Coraline, centré sur le parcours d’une petite fille qui donne son titre au film, est destiné à la base aux jeunes adolescents, tandis que Mamá est un film d’horreur interdit au moins de 12 ans.

Au delà de ces différences dans le public visé qui impliquent, on le verra, des divergences majeures, ces deux films contiennent des figures très semblables : des mères monstrueuses, concurrentes des mères naturelles et qui s’efforcent de prendre leur place auprès des enfants qui, dans les deux films, sont toutes des petites filles. Ce type de créature reçoit, dans le film Coraline, le nom d’ « autre mère », (Other mother) double dégradé de la véritable mère. Le terme peut aussi s’appliquer à la créature de Mamá, une mère illégitime mais bien décidée à s’imposer.

Des monstres opportunistes Les autres mères viennent donc pallier une absence réelle ou symbolique. Mères animales Chalcédoine Like this: J'aime chargement… Pères et autres figures paternelles (Harry Potter et le genre – 2) | Cultures G. A Cultures G, on est fan d’Harry Potter (presque) depuis le premier jour. Et, pour notre plus grand plaisir, c’est un livre où les personnages féminins sont nombreux et originaux.

Mais à y regarder de plus près, J.K. Rowling remet-elle vraiment en cause les répartitions traditionnelles entre les genres et les stéréotypes qui les concernent? C’est une question que nous comptons traiter dans toute une série d’articles. Aujourd’hui : la question des pères et des figures paternelles. Dans l’épilogue des Reliques de la mort, Harry, sur le quai du Poudlard express, envoie son plus jeune fils Albus Severus, à Poudlard. Le poids des pères Bien avant que cet épilogue ne clôture la saga sur des valeurs traditionnelles, le monde des sorciers fait du père (pris au sens général) un personnage majeur, si important que sur certains points, il éclipse le rôle de mère.

Le père fait référence lorsque la visibilité publique de la famille est en jeu. Père(s) de Harry : des figures plurielles et complexes. "Not my daughter, you bitch!" (Harry Potter et le genre – 1) | Cultures G. A Cultures genre, on est fan d’Harry Potter (presque) depuis le premier jour. Et, pour notre plus grand plaisir, c’est un livre où les personnages féminins sont nombreux et originaux. Mais à y regarder de plus près, J.K Rowling remet-elle vraiment en cause les répartitions traditionnelles entre les genres et les stéréotypes qui les concernent? C’est une question que nous comptons traiter dans toute une série d’articles, à compter d’aujourd’hui.

“Not my daughter, you bitch!” Dans Harry Potter, les mères sont exemplaires : prêtes à tout pour leur progéniture, la fibre maternelle les pousse parfois jusqu’au sacrifice. « Ta mère est morte pour te sauver la vie. Lily Potter, prête à mourir pour protéger son fils. Dès le premier tome, les choses sont claires : Harry Potter a été sauvé par le sacrifice de sa mère, qui le protège jusqu’à sa majorité, comme le lui explique Dumbledore : « Pas ma fille espèce de garce !

Quoi de plus clair que ce dialogue confrontant les deux sœurs : Jessica Like this: Cette « horrible bonne femme » de Dolores Ombrage (Harry Potter et le genre – 3) | Cultures G. A Cultures G, on est fan d’Harry Potter (presque) depuis le premier jour. Et, pour notre plus grand plaisir, c’est un livre où les personnages féminins sont nombreux et originaux.

Mais à y regarder de plus près, J.K. Rowling remet-elle vraiment en cause les répartitions traditionnelles entre les genres et les stéréotypes qui les concernent? C’est une question que nous comptons traiter dans toute une série d’articles. Aujourd’hui : le cas de Dolores Ombrage. « Hum hum ! » : une présence qui en impose Quand bien même Dolores Ombrage n’apparaît qu’à partir de L’Ordre du phénix, elle est un personnage majeur de Harry Potter. Les titres des chapitres à eux seuls sont éclairants sur l’importance de son rôle. Dolores Ombrage est d’autant plus remarquable qu’elle est la première (et la dernière) femme à occuper le poste de Défense contre les forces du Mal. Une « vieille tante célibataire » ? Ombrage possède beaucoup de caractéristiques du stéréotype de la vieille fille.

Des sœurs cachées ? Les "Autres mères" dans Coraline et Mamá | Cultures G. Pères et autres figures paternelles (Harry Potter et le genre – 2) | Cultures G. "Not my daughter, you bitch!" (Harry Potter et le genre – 1) | Cultures G. FAUVE : à CORPS ouvert | Cultures G. Récemment un nouveau groupe a fait son apparition sur la scène française : FAUVE. Encore le terme de « groupe » ne convient-il pas tout à fait comme ne cessent de le rappeler ses membres. FAUVE est « un collectif ouvert » comme ils l’expliquent eux-mêmes, un « CORP », c’est-à-dire un ensemble informe, les cinq musiciens formant un noyau toujours prêt à accueillir de nouvelles contributions, et ayant à cœur de rappeler que la musique n’est jamais le fait de quelques personnes, mais naît de rencontres avec des inspirateurs, des soutiens, des conseillers. C’est pourquoi FAUVE cultive un certain anonymat, même s’il devient malheureusement impossible de trouver un article renonçant à la sacro-sainte photo .

On peut d’abord évoquer le jeu sur l’adresse à l’autre qui cultive précisément une forme d’ambiguïté, afin de permettre des lectures ouvertes des textes. Plus loin, la voix joue sur les stéréotypes pour faire entendre l’aliénation même des sentiments aux clichés : Isolde Like this:

Art

Peinture. Internet. Genre et publicité. Documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/8983/HERMES_2005_42_60.pdf?sequence=1. Bitch Media. Www.erudit.org/revue/rf/2000/v13/n2/058093ar.pdf. Teresa de Lauretis, Théorie queer et cultures populaires. De Foucault à Cronenberg. 1Teresa de Lauretis fait partie des auteurs dont les écrits étaient jusque là méconnus en France, du moins étaient ils réservés aux spécialistes de la question du genre. Auteur-phare en ce domaine aux Etats-Unis où elle enseigne, il apparaît logique de voir son œuvre traduite aujourd'hui dans un pays qui découvre actuellement et avec retard des écrits relevant de la « théorie queer ». On se souvient par exemple de la parution en 2005 de l‘ouvrage de référence de Judith Butler, Trouble dans le genre, quinze ans après sa sortie aux Etats-Unis. La collection « Le genre du monde » nous propose donc de nous familiariser un peu plus avec la théorie queer et avec la pensée de Teresa de Lauretis grâce à un recueil de trois articles : « la technologie du genre », « théorie queer : sexualités lesbiennes et gaies.

Une introduction » et « culture populaire, fantasmes publics et privés : féminité et fétichisme dans Mr. Butterfly de David Cronenberg ». Pop culture. Feminist legend of korra.

Littérature

Musique. BD, comics, mangas. Télévision. Jeux vidéo. Cinéma.