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Totalitarisme

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Bernard Kouchner a encore du Bien sur la planche. Loin du gâtisme ou de l’euphémisme, une analyse des propos de Bernard Kouchner nous montre que le French Doctor n’a pas encore rendu son tablier : une véritable révolution juridique est dans les cartons.Par Fabien Cappelli et Justine Guittonny-Cappelli On ne présente plus cet entretien entre Bernard Kouchner et Patrick Cohen du jeudi 26 juin 2014.

Bernard Kouchner a encore du Bien sur la planche

Le « nazi » dans « euthanasie » a en effet fasciné nombre d’entre nous, à juste titre certainement, mais la saillie n’aurait-elle pas eu tendance à occulter le reste du discours ? Pour notre part, l’attention assumée de M. Kouchner envers le lexique nous a interpellé (« n’employons plus jamais le mot « euthanasie » », « c’est comme le mot « ingérence » », « Il faut employer des mots qui sont doux ! », « Laissons le mot « ambiguïté » pour ne pas le remplacer par le mot « hypocrisie » », « il ne faut pas utiliser ce mot non plus »), et nous avons décidé de nous pencher sérieusement sur l’ensemble de l’entretien. Questions de vie ou de mort M. Dr. De la pertinence du concept de Novlangue. Par Fabien Cappelli De Jean-Yves Le Gallou à Baptiste Créteur en passant par Libération, les références à la Novlangue d’Orwell sont omniprésentes.

De la pertinence du concept de Novlangue

Mais ces références sont-elles, aux yeux d’un sémanticien, pertinentes ? Qu’est-ce que la Novlangue ? Il s’agit d’une langue inventée par l’Ingsoc, le régime totalitaire de 1984, pour manipuler la pensée de la population par le biais du langage. Il y a trois niveaux de vocabulaire dans la Novlangue : le vocabulaire C est le plus facile à imaginer, étant donné qu’il ne s’agit de rien d’autre qu’une entreprise terminologique concernant les sciences et les techniques, assez proche des desiderata du Cercle de Vienne. Le caractère important pour nous réside dans le fait que cette rigidité sémantique est présente dans le vocabulaire A, le vocabulaire de la vie quotidienne. . (1) (a.) un trouble profond vs un trouble passager (b.) une pensée profonde vs une pensée superficielle (c.) une fosse profonde vs une petite fosse.

Henri Saint-Simon, apôtre de la technocratie. Par Damien Theillier Après sa lecture des philosophes des Lumières, (voir notre article sur Helvétius) Isaiah Berlin, dans La liberté et ses traîtres, s’est intéressé aux socialistes utopistes du XIXe siècle et en particulier à Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon.

Henri Saint-Simon, apôtre de la technocratie

Ce dernier, plus connu sous le nom d’Henri Saint-Simon, est un philosophe français né en 1760, mort en 1825, et considéré comme le père du socialisme. « Il y a eu Moïse, il y a eu Socrate, il y a eu le Christ, il y a eu Newton, Descartes et il y a moi », a écrit un jour Saint-Simon. Qui veut (vraiment) mourir ? Euthanasie et consentement. Par Stanislas Kowalski.

Qui veut (vraiment) mourir ? Euthanasie et consentement

Faire le bonheur des gens malgré eux ? Le tenter, c’est le plus sûr moyen de faire leur malheur. Non pas qu’il faille se désintéresser du sort d’autrui. C’est un devoir de secourir, d’assister, de conseiller son frère qui est dans la détresse. Mais le risque est grand de se tromper. C’est un devoir aussi de sauver un homme qui tente de se suicider. On pourrait évidemment faire des remarques analogues à propos de l’euthanasie, joli mot pour une réalité atroce. France, qu’as-tu fait de tes valeurs de liberté et de démocratie ? Par Aster.

France, qu’as-tu fait de tes valeurs de liberté et de démocratie ?

Il est bon parfois de savoir se ressourcer, de regarder ses valeurs, et, éventuellement, de les comprendre, de voir son engagement, de se représenter. Les valeurs de liberté et de démocratie sont souvent mises en avant par les cultures occidentales mais la France ne supporte pas bien longtemps une réflexion sur ce sujet. Surveillance de masse : Graves complicités françaises publiques et privées. L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (1/6) Par Johan Rivalland.

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (1/6)

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (2/6) Par Johan Rivalland.

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (2/6)

La liberté est le sujet fondamental au centre des préoccupations de Contrepoints, à travers articles, analyses, réflexions, discussions. Au-delà de l’actualité, de l’Histoire, des perspectives d’avenir, qu’en est-il de ce sujet dans la littérature, en particulier lorsqu’on pense à son opposé le plus extrême : le totalitarisme ? J’ai déjà eu l’occasion, ici-même, de commenter quelques grands romans d’Ayn Rand, qui trouveraient toute leur place dans cette série. L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (3/7) Par Johan Rivalland.

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (3/7)

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (4/7) Par Johan Rivalland.

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (4/7)

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (5/7) Par Johan Rivalland.

L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (5/7)

La liberté est le sujet fondamental au centre des préoccupations de Contrepoints, à travers articles, analyses, réflexions, discussions. L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (5/7) L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (6/7) Par Johan Rivalland. La liberté est le sujet fondamental au centre des préoccupations de Contrepoints, à travers articles, analyses, réflexions, discussions. Au-delà de l’actualité, de l’Histoire, des perspectives d’avenir, qu’en est-il de ce sujet dans la littérature, en particulier lorsqu’on pense à son opposé le plus extrême : le totalitarisme ? J’ai déjà eu l’occasion, ici-même, de commenter quelques grands romans d’Ayn Rand, qui trouveraient toute leur place dans cette série. Je vais donc prolonger avec d’autres réalisations, dans des registres parfois très voisins. Sixième volet, aujourd’hui, qui s’intéresse à ceux qui se rebellent contre un système (totalitaire ou plus simplement dictatorial). Le prisonnier de Patrick Mcgoohan, Don Chaffey et Robert Asher Si vous ne connaissez pas, alors n’hésitez pas.

À ne pas manquer. Antigone de Jean Anouilh (mais aussi Sophocle, Bertolt Brecht, Jean Cocteau ou Henry Bauchau) L’univers totalitaire en littérature et au cinéma (7/7) Par Johan Rivalland. La liberté est le sujet fondamental au centre des préoccupations de Contrepoints, à travers articles, analyses, réflexions, discussions. Au-delà de l’actualité, de l’Histoire, des perspectives d’avenir, qu’en est-il de ce sujet dans la littérature, en particulier lorsqu’on pense à son opposé le plus extrême : le totalitarisme, ou même plus simplement à toutes formes de dictatures ? Septième volet, aujourd’hui, qui s’intéresse aux risques liés à la science, lorsque celle-ci se trouve détournée de ses objectifs ou entraîne des effets inattendus. SOS Bonheur de Griffo et Van Hamme SOS Bonheur est une Bande Dessinée originale qui présente un reflet inquiétant et tout à fait réaliste de notre société et de ce qu’elle pourrait devenir si on n’y prend garde.

Délit d'opinion. Par Matthieu Vasseur. Au commencement était Gayssot. Non, attendez : au commencement était l’« Holocauste ». Par le choix, popularisé dans les années 70, d’un terme issu de l’Ancien Testament pour désigner l’extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce génocide était investi d’une signification religieuse. Fait historique, oui, mais aussi Sacré de substitution dans un Occident déchristianisé. Toute l’ambigüité réside dans cette double dimension. La dignité de la personne, substitut laïciste au péché et au blasphème ?

Par Claudius Maximus. On peut comprendre la dignité de la personne humaine de la manière la plus respectable. Elle nous vient en 1485 de Jean Pic de la Mirandole dans son “Discours de la dignité de l’homme” . “Dignité” au sens de “place”, “archétype”, “essence” de l’être humain (dans la création). Le socialisme et l’étatisme naissent-ils dans la convoitise ou dans le mépris ?

Par Diagoras L’Athée. Il y a quelques années, lors de son excellente conférence sur les différents courants du libéralisme, Serge Schweitzer disait que le socialisme trouve son origine dans la convoitise du bien d’autrui. Effectivement, quoi de plus confortable que de vivre de la richesse produite par autrui grâce à une armée de soudards républicains qui vont effectuer vos basses besognes d’extorsion pour votre compte ? Les intrigants envieux sont comme des poissons dans l’eau dans un système socialiste ou la propriété est le fait de la loi plutôt que celui du travail. Mais est-ce suffisant pour expliquer une telle popularité du socialisme ? Les riches socialistes existent. Si on peut considérer que l’idée que la fin justifie les moyens est une illusion puérile qui pave l’enfer socialiste de bonnes intentions, on est obligé de constater que cela est incompatible avec une cupidité bête et méchante. Dictature de la majorité. La démocratie et la guerre.

On peut classer les guerres en deux catégories : les guerres réalistes et les guerres idéalistes. La démocratie, un système collectiviste néfaste. La démocratie centralisée est un système fondamentalement vicié, dont découlent des dépenses irresponsables et une place toujours plus envahissante de l’Etat. Frank Karsten sera à Paris le 28 juin pour en débattre à l’Institut Coppet. Lutte contre les inégalités : l’outil le plus pervers mais le plus efficace du socialisme. Les paradis fiscaux, dernier monde libre. Les dirigeants européens semblent oublier que s’il existe des paradis fiscaux, c’est parce qu’il y a des enfers fiscaux. Par Thierry Afschrift, depuis la Belgique. Grâce aux révélations du Soir et d’autres journaux sur l’identité de certains actionnaires de sociétés offshore, il est heureusement probable que des trafiquants, des dirigeants corrompus ou d’autres criminels pourront être démasqués.

L’on a aussi désormais la preuve que le dictateur zimbabwéen Mugabe, qui a affamé son peuple et violé systématiquement les droits de l’homme pendant des décennies, s’est aussi constitué une fortune au détriment d’une des populations les plus pauvres du monde. Ce sont des informations importantes pour la lutte contre la criminalité et l’élimination des tyrannies. Il est dès lors surprenant que les politiques ne s’y intéressent guère et que ce soit au nom de la lutte contre la fraude fiscale qu’ils proposent une illusoire « suppression des paradis fiscaux ». À qui profite la loi de Godwin ? Politique. Orelsan condamné : Non, non, non à la liberté d'expression ! Actualités | Liberticides & Co | Sujets de société Publié le 1/06/2013 Le rappeur Orelsan est condamné pour injure et provocation à la violence à l’égard des femmes. Vincent Peillon le laïcard singe la religion chrétienne. École & éducation.

Hitler et le Che, deux faces d'une même pièce. Jean-Luc Mélenchon : le socialisme, la vie, l'ivraie.