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Crise des dettes

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Le retour de la titrisation. Quarante ans de fuite en avant dans la dette publique : état des lieux. Par Erwann Queinnec.

Quarante ans de fuite en avant dans la dette publique : état des lieux

Un article de l’Institut économique Molinari. Le tableau suivant, tiré des données de l’INSEE, permet de se faire une idée de l’évolution de la dette cumulée des administrations publiques françaises (État, collectivités locales et sécurité sociale), ces dernières décennies . Les chiffres sont en milliards d’euros. Tableau 1 : évolution du PIB, de l’indice des prix à la consommation, des prélèvements obligatoires, de la dette et de la dépense publiques en France, 1972-2012. On peut dégager quelques constats simples de ce tableau : Depuis 1982, en euros, la dette publique triple puis double approximativement tous les 10 ans. Mais après tout… est-ce grave ? Les coupes budgétaires à Détroit ? C'est génial ! Détroit démontre que l’ordre spontané, la coopération civile et les forces du marché remplacent l’État quand ce dernier fait faillite.

Les coupes budgétaires à Détroit ? C'est génial !

Par Robert Taylor. Les discussions sur les coupes budgétaires, l’austérité et les mises sous séquestre semblent dominer le paysage médiatique ces jours-ci, rendant les Américains peureux de la perte de services publics vitaux et du chaos qui s’en suivrait si l’État ne pouvait pas dépenser et emprunter indéfiniment.

Les conservateurs dénigrent les coupes supposées au complexe militaro-industriel, et les gauchistes déplorent que sans les transferts publics de richesses, il y aurait du darwinisme social. La sénatrice Barbara Boxer a même imputé le scandale de Benghazi à – devinez quoi – les coupes budgétaires et les mises sous séquestre. Defaut_francais.pdf. La crise économique majeure s’annonce en France. Le système tel qu’il fonctionne à l’heure actuelle ne pourra plus éviter la crise majeure.

La crise économique majeure s’annonce en France

C’est programmé, c’est incontournable. Par Jean-Luc Ginder. Les Français savent qu’il va se passer quelque chose… Car, depuis 40 ans la France est dans une phase de déclin : on suit la pente, c’est devenu presque confortable… mais les Français peuvent-ils, veulent-ils imaginer vraiment le décrochage et le précipice au bout du déclin ? Face à ce sentiment inéluctable, on a imaginé pour nous Français, deux attitudes pour nous rassurer. L’une est faussement optimiste, elle mettra en pratique la très fameuse méthode Coué : « Tout va bien, soyez rassurés, ça va s’arranger, la preuve… ». Résister à la banqueroute : l'Islande montre l'exemple. L’exemple islandais montre que laisser les banques faire faillite permet une reprise forte et relativement rapide après une période de difficulté économique.

Résister à la banqueroute : l'Islande montre l'exemple

Par Matthew Feeney depuis les États-Unis.Un article de Reason. Les contribuables européens (et américains) terrifiés depuis 2008 par leurs gouvernements les alertant d’un Armageddon économique, de catastrophes et de la peste, devraient se tourner vers la minuscule Islande pour voir qu’il y a peu à craindre lorsque les experts ne peuvent sauver les gens. Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international, a récemment qualifié les performances économiques de l’Islande d’ »impressionnantes« .

Au cours des dernières années, la petite île de l’Atlantique Nord a réussi à réduire son déficit, réduire son chômage et permettre à son économie de se développer. La dette publique nuit-elle à la croissance ? Économie générale Publié le 24/05/2013 Les erreurs de Reinhart et Rogoff sur la dette publique et la croissance. Par Le Minarchiste, depuis Montréal, Québec. En 2010, les économistes Reinhart & Rogoff ont publié une étude portant sur 44 pays pendant une période de 200 ans, démontrant que la croissance économique était négativement corrélée à l’endettement du gouvernement. Leurs résultats montraient qu’au-dessus de 90% de dette/PIB, la croissance devient même négative.

L’austérité est-elle responsable de la crise ? Économie générale | Europe Publié le 7/06/2013 Si l'austérité désigne une réduction de la taille de l’État, alors elle ne peut être tenue responsable de la crise en Europe puisqu’elle n’a jamais été appliquée. Par Martin Masse. Un article de l' Institut économique Molinari . Dans toutes les discussions sur les conséquences des soi-disant politiques d’« austérité », la seule preuve mise en avant pour démontrer que des mesures d’austérité ont bel et bien été adoptées consiste en des statistiques indiquant que les déficits budgétaires ont diminué depuis trois ans.

Au Brésil, une crise créée par l'État. Depuis l’abandon pour des raisons électorales de la rigueur budgétaire choisie par Lula au début de son premier mandat, rien ne va plus au Brésil.

Au Brésil, une crise créée par l'État

Par Fabio Rafael Fiallo. Lorsque le charismatique Inácio Lula da Silva accéda à la présidence du Brésil en janvier 2003, il avait préalablement accompli une mini révolution culturelle au sein de son Parti des Travailleurs. La crise de l'Euro pour les nuls. La crise de l’Euro peut se résumer au final assez facilement.

La crise de l'Euro pour les nuls

Par Guillaume Nicoulaud. Lors du référendum du 20 septembre 1992, 34,4% du corps électoral français se prononçait en faveur de l’adoption du traité de Maastricht contre 33% de « non ». Ce jour-là, nous avons fait une promesse ; nous nous sommes engagés en tant qu’État à respecter un certain nombre de règles budgétaires qui incluaient – notamment – un déficit budgétaire inférieur ou égal à 3% du PIB et une dette publique brute inférieure ou égale à 60% du PIB. Surendettement public : ce que nous dit l’Histoire. Un petit regard sur les épisodes historiques de surendettement public peut nous offrir quelques leçons pour la France qui a vu cette année sa dette publique dépasser le cap des 90% du PIB.Par Acrithène. Cette année, la dette publique de la France a franchi le cap des 90% du PIB.

Si la crise européenne est inédite à de nombreux égards, c’est loin d’être la première fois que des économies avancées atteignent un tel niveau d’endettement. Les alternatives au pire. La France est prise au piège de l’endettement public massif.

Les alternatives au pire

Pourra-t-elle échapper au chaos ? Examen de 5 scénarios alternatifs. Par DoM P. En finir avec la rigueur ? Oser parler de rigueur quand les dépenses publiques sont en pleine dérive, c’est pervertir la signification des mots.

En finir avec la rigueur ?

Par Jean Yves Naudet.Un article de l’aleps. C’est le sujet du moment, en France comme chez nos voisins de la zone euro et même au sein du G20 : la rigueur aggraverait la crise, accentuerait la récession et ferait flamber le chômage. Une bonne relance, si possible européenne, centrée sur les investissements (publics) permettrait enfin de sortir de la crise. La pression politique et médiatique en ce sens est forte. La BCE abaisse son taux directeur : l’économie européenne est alcoolique ! Les États se comportent comme des alcooliques qui, en pleine cure de désintoxication, demandent de boire à nouveau de l’alcool, car la cure leur fait trop de mal.

La BCE abaisse son taux directeur : l’économie européenne est alcoolique !

Par Philippe Bouchat. À l’heure où vous lirez ces quelques lignes, la Banque centrale européenne (BCE) aura abaissé son taux directeur de 25 points de base, passant d’un taux de 0,75% à 0,50%. Ce faisant, elle aura cédé aux appels des différentes capitales européennes – à l’exception notoire de Berlin – pour une détente des taux. Que faut-il en penser ? Selon une étude de la BCE, les dépenses publiques nuisent à la croissance.

Les déficits budgétaires ne sont pas le problème.

Selon une étude de la BCE, les dépenses publiques nuisent à la croissance

C’est l’excès de dépenses publiques qui freine la croissance. Telles sont les conclusions d’une nouvelle étude de la BCE.Par Daniel J. Mitchell, Washington D.C., États-Unis. Les débats concernant la politique budgétaire me rendent souvent malade parce que beaucoup trop de gens se focalisent sur les déficits. L'Etat français n'est pas en faillite, sauf si on réfléchit. Pour Bruno Moschetto, l’État français n’est pas en faillite. Non, techniquement nous ne le sommes pas, et nous pouvons toujours prélever assez d’impôts pour faire face aux dépenses. Quoi que… Par Baptiste Créteur. Bruno Moschetto est un professeur d’économie à HEC et Paris I dont aucune de ces deux institutions ne parle sur son site Internet. Le boulet de la dette publique. La France : un pays dans le déni.

La BCE imprime autant que la Fed! Des "Quantitative Easings" à l'inflation. Rigueur budgétaire : les enfants de l'austérité, fils de la dette. Le mythe de la Grande crise. La dimension morale de la crise financière. Arrêtez de réfléchir : le Front de Gauche vous explique la dette ! Qui sont les vrais responsables de la crise? L’inévitable renationalisation de la dette française. Je l’ai annoncé régulièrement dans ces colonnes : à un moment ou un autre, l’État n’hésitera pas pour rembourser la dette française à aller chercher l’argent directement dans les poches des Français, sans leur demander leur avis. L’idée, déjà lancée en mai 2009 alors que la crise était bien piquante, est revenue dans l’air des deux côtés du spectre politique.

Il ne faut perdre de vue que les premiers bénéficiaires de la dette (et de loin), ce sont les personnes qui vivent au crochet de l’État. Bien sûr, en dernier ressort, il y a les chômeurs, les retraités et les fonctionnaires. Mais avant ceux-là, toujours avant, on trouve bien évidemment les politiciens pour qui une carrière dans le privé serait tout bonnement impensable tant la soupe est bonne dans le giron de l’État. Et avec la récente dégradation de la note de la dette souveraine française, les fonds vont, mécaniquement, se faire plus difficiles à collecter, surtout que cette dette est détenue à plus de 62% par des étrangers.

Les déprimantes leçons de Chypre. Chypre : "Non à la spoliation des épargnants" Chypre n’était qu’une répétition. Chypre : vers la fin des banque à réserves fractionnaires ? Spoliation à Chypre : quelles conséquences faut-il en tirer ? Chypre : ce qu'on voit, ce qu'on ne voit pas, et ce qu'on sent passer. La crise à Chypre pour ceux qui n'ont rien suivi. Épargne des Belges, chronique d'un pillage annoncé. Etat de droit : les conséquences de la vraie mauvaise idée chypriote. Un grain majeur à venir. Ce que l’Islande et la Chine pourraient nous apprendre. Et après l’augmentation d’impôts, parlons de l’épargne dodue des Français.