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Liberté d'expression

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Une pétition en faveur de WikiLeaks réunit 600.000 signatures. Une pétition en ligne appelant à mettre fin à «la campagne d'intimidation» contre WikiLeaks a réuni lundi près de 600.000 signatures, à la veille de la comparution à Londres du fondateur du site, Julian Assange, en vue de son éventuelle remise en liberté.

Une pétition en faveur de WikiLeaks réunit 600.000 signatures

La pétition s'adresse «aux Etats-Unis et aux autres gouvernements et sociétés impliqués dans la répression de WikiLeaks». Elle appelle à «mettre fin immédiatement à la répression de WikiLeaks et de ses partenaires». L'appel est diffusé sur le site américain Avaaz.org, spécialisé dans les pétitions en ligne et les campagnes de lobbying sur la Toile notamment. «Nous les exhortons à respecter les principes démocratiques et les lois sur la liberté d'expression et la liberté de la presse. Si WikiLeaks et les journalistes avec lesquels le site travaille ont enfreint une loi quelconque, ils devront être poursuivis en justice en bonne et due forme. Lundi après-midi, le texte avait réuni un peu plus de 590.000 signatures, selon le site Avaaz. La haute commissaire aux droits de l'homme de l'ONU inquiète des pressions sur WikiLeaks. WikiLeaks, entre déballage et démocratie.

Sujet du moment WikiLeaks, entre déballage et démocratie Depuis la publication des télégrammes du département d 'Etat américain, le débat fait rage entre les opposants à la tyrannie de la transparence généralisée et les partisans d'une information citoyenne à l'heure d'Internet.

WikiLeaks, entre déballage et démocratie

Pour Dominique Cardon, il faut en finir avec le culte du secret et de la raison d'Etat. C'est une crise de la diplomatie traditionnelle et il existe désormais une crainte aux Etats-Unis, prévient Ken Weinstein : les fuites vont enrayer les actions confidentielles. Plus encore, ajoute Thierry Vedel, la généralisation d'Internet engendre des effets pervers, les relations politiques et diplomatiques vont être corsetées. La Russie a son WikiLeaks à elle. Pour Twitter, #WikiLeaks n'est pas trendy.

Lancés à l'été 2008, les trending topics de Twitter (ou «tendances» en VF), révèlent les mots-clés revenant le plus souvent dans les discussions des utilisateurs du service.

Pour Twitter, #WikiLeaks n'est pas trendy

En ce moment, en France par exemple (les topics peuvent être consultés de façon localisée), on trouve ceci, preuve s'il en est qu'il neige en France et que Loïc s'amuse comme un fou avec ses copains aux Docks. Au niveau mondial, les tracas météo des Français sont évidemment dilués et ne trouvent aucun écho comparé aux préoccupations des Américains qui représentent la majorité des utilisateurs. Mais il y a un autre sujet qui ne trouve pas, ou plutôt plus, sa place dans ces fameuses tendances : WikiLeaks, et par la même occasion sa tête de gondole Julian Assange. Disparus, pouf pouf. Censure ? Twitter s'est donc senti obligé de réagir en publiant sur son blog un billet intitulé To trend or not to trend , qui revient sur le fonctionnement du système tendances. Lire les réactions à cet article.

Alexandre HERVAUD. WikiLeaks : Stoppez la répression. Join EFF in Standing up Against Internet Censorship. Over the past few weeks, we here at EFF have watched as whistleblowing website WikiLeaks has fueled an emotionally charged debate about the secrecy of government information and the people's right to know.

Join EFF in Standing up Against Internet Censorship

We have welcomed this debate, and the fact that there have been myriad views is the embodiment of the freedom of expression upon which this country was founded. However, we've been greatly troubled by a recent shift in focus. The debate about the wisdom of releasing secret government documents has turned into a massive attack on the right of intermediaries to publish truthful information. Suddenly, WikiLeaks has become the Internet's scapegoat, with a Who's Who of American and foreign companies choosing to shun the site. Let's be clear — in the United States, at least, WikiLeaks has a fundamental right to publish truthful political information. On Friday, we wrote about Amazon's disappointing decision to yank hosting services from WikiLeaks after a phone call from a senator's office.