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Philosophie

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Jaïnisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Le jaïnisme ou dharma jaïn compte près de six millions de fidèles dans le monde, ascètes et laïcs confondus, en majorité en Inde[3] (30 000 en Europe et 100 000 aux États-Unis[4],[5]). Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme.

Sikhisme. Introduction Histoire Le sikhisme, originaire du Pendjab, dans le nord-ouest de l'Inde, est devenu rapidement une religion pouvant rivaliser avec l'islam, bien implanté dans cette même région, et de surcroît sous domination moghole. Les sikhs ont donc fait l'objet de persécutions, notamment le 5ème guru, Arjun Dev et le 9ème, Teg Bahadur, de sorte que le pacifisme, qui était de règle du temps de Nanak, a été remplacé par un engagement armé avec le 10ème guru, Gobind Singh.

Mais cela n'a abouti qu'à une sévère défaite en 1716 et à un repli dans les montagnes du Pendjab. Un état autonome a vu le jour en 1750, et a duré jusqu'en 1849, date à laquelle les colons britanniques l'ont annexé. Les dix guru La doctrine L'enseignement est basé sur l'unicité et la souveraineté de Dieu, qui s'exprime à travers les Gurus. Guru Nanak a demandé à ses fidèles une parfaite obéissance, faisant du sikhisme une religion d'autorité. Culte et cérémonies Bibliographie Retour à l'index de l'encyclopédie.

Religion sikhe. Le mot "Sikh" signifie "disciple". Un Sikh croit en un seul Dieu et dans les enseignements des Dix Maîtres (Gurus) recueillis dans le "GURU GRANTH SAHIB", le livre sacré des Sikhs. De plus, hommes et femmes Sikhs doivent recevoir AMRIT, le baptême Sikh. La religion Sikhe fut fondée par Guru Nanak, né e 1469 dans le village de Talwandi, actuellement 'Nankana Sahib' près de Lahore au Pakistan. Dès son enfance, son esprit ardent refusa les rituels sans fondement, les superstitions et les dogmes qui passaient pour être la religion en ce temps-là. Guru Nanak et les neuf Gurus qui lui succédèrent donnèrent un merveilleux exemple de spiritualité vivante tout en prenant une part active à la vie séculière. Le dixième et dernier Guru, Guru Gobind Singh (1666-1708) fonda la cérémonie du baptême Sikh en 1699, et par là donna une identité aux Sikhs. Guru Arjan construisit également le mondialement célèbre Gurdwara - DARBAR SAHIB, à Amritsar, qui est le centre du Sikhisme.

•Ainsi Nanak dit: Sikhisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Khaṇḍā est le symbole du sikhisme. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्यः (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. L'expression du monothéisme des Sikhs réside dans le symbole ੴ - ek Ong Kar, que l'on peut traduire par « une seule (ek) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ». Transcrit littéralement cela revient à dire "l'âme de dieu". Histoire[modifier | modifier le code] Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, nommé maintenant Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan.

Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Guru Arjan construisit également le mondialement célèbre Gurdwârâ - Darbar Sahib, à Amritsar, qui est le centre du Sikhisme. Religion et philosophie[modifier | modifier le code] La religion sikh est strictement monothéiste[5]. Le Confucianisme. Note préliminaire Il existe plusieurs systèmes de traduction en caractères latins des sons exprimés par les caractères chinois. Le plus répandu en France est celui de l'école française d'extrême orient (EFEO). Dans les pays anglo-saxons, le système de transcription Wade-Giles est le plus usité. La transcription adoptée officiellement par la république de Chine s'appelle le pinyin.

Ceci explique pourquoi presque tous les mots chinois ont différentes orthographes possibles suivant le mode de transcription. Les origines Le Confucianisme est un ensemble d'enseignements moraux qui a vu le jour en Chine aux VIème et VIIème siècles avant J.C. Son fondateur est Confucius (-551,-479). Confucius fit preuve très jeune d'un grand intérêt pour les traditions spirituelles de la Chine. Les textes 1) Le Yi-Ching (Yi-King), livre des mutations. 3) Le Chou Ching (Chou King) est le livre des documents historiques. 4) Le Li-Ki qui contient des textes du début de la dynastie des Chou.

L'enseignement Les écoles. Taoïsme. Citations : RICHE, RICHESSE. J.J.Rousseau: "discours sur l'origine et les fondements de inégalité parmi ls hommes - Les Forums de Philagora. Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l’Origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1ère partie. Introduction La première partie du XVIIIème siècle fut marquée par le début des premières expéditions lointaines, réalisées à des fins scientifiques, qui permirent la découverte des peuplades « primitives ». Ces découvertes remirent en question certaines idées selon lesquelles civilisation et société eussent été nécessaires et naturelles à l’homme.

Dans ce contexte, en 1754, l’Académie de Dijon propose, dans le cadre d’un concours, la question suivante : « Quelle est l’origine de l’inégalité parmi les hommes et si elle est autorisée par la loi naturelle », question à laquelle Rousseau répond par la publication du Discours en 1755. On pensait, avec les premiers « théoriciens du contrat », que l’homme était sorti de l’état de nature pour échapper à la tyrannie de l’inégalité entre les forts et les faibles, tyrannie parce qu’elle n’obéissait à aucune loi.

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