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Mémoire du

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Un bouddhisme profond pour le monde moderne – Un entretien avec S.-C. Kolm. (Revue Aurores.

Un bouddhisme profond pour le monde moderne – Un entretien avec S.-C. Kolm

No 39. Janvier 1984) Zen art archery. Article a448. Article 16. Oublier ses certitudes - François Roustang. Interview de François Roustang par Valérie Colin-Simard, juillet 2009 Source : Psychologies.com « Le patient n’est pas un malade mais un maladroit », nous dit le thérapeute François Roustang dans son livre Il suffit d’un geste.

Oublier ses certitudes - François Roustang

Et pour retrouver le goût de vivre, il faut donner la parole à son corps. V. C. François Roustang : Oui, mais cela demande une préparation. Pour moi, le patient n’est pas un malade mais un maladroit, c’est-à-dire quelqu’un qui, dans la vie et avec son entourage, ne fait pas les gestes justes. En tant que thérapeute, qu’entendez-vous par “lâcher prise” ? Lâcher prise, c’est renoncer aux intentions, aux projets, à la maîtrise de son existence. Pourquoi est-ce si difficile de s’abandonner ? Parce que nous avons l’habitude de vouloir maîtriser notre existence. Comment faire la différence entre lâcher-prise et résignation ? 200 Confirmation de purge de la page. F. Roustang, thérapeute : « Se plaindre entretient la souffrance » : Comment se passe une séance. © stone Sommaire C’est à chaque fois différent.

F. Roustang, thérapeute : « Se plaindre entretient la souffrance » : Comment se passe une séance

Seul l’objectif est constant : rendre au corps sa capacité de penser. Agissez et vous inventerez une foule de solutions que vous n’entrevoyez même pas ! Un homme s’adresse à moi parce qu’il n’arrive pas à réfréner sa violence. Si je viens vous voir en disant : “J’explose ! Ngram Viewer. Au sujet interculturalisme. La philosophie pourquoi faire ? Planche n°11 Antoine de Saint Exupéry écrivait dans Terre des hommes ” il semble que la perfection soit attente, non quand il n’y a plus rien à ajouter, mais plus rien à retrancher ”.

la philosophie pourquoi faire ?

Apostasie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Apostasie

L'apostasie (du grec ancien ἀπόστασις (apostasis), « se tenir loin de ») est l'attitude d'une personne, appelée apostat, qui renonce publiquement à une doctrine ou une religion. L’art d’aimer – erich fromm. Une partie de cette traduction d’extraits a déjà été publiée sur ce blog mais pas tout, maintenant si!

l’art d’aimer – erich fromm

« La pratique de l’art d’aimer requiert la pratique de croire. […] La croyance rationnelle est une composante importante du penser rationnel dans lequel elle n’a apparemment aucune place. Comment le scientifique par exemple en vient-il à une nouvelle découverte ? Fait-il d’abord des expériences l’une après l’autre, rassemble-t-il des faits ensemble sans avoir de vision de ce qu’il espère trouver ? Il est rare qu’une découverte importante, dans quel domaine que ce soit, soit faite de cette manière. Extrait d’Aimer la vie d’Erich FROMM. En réaction au JT intelligent sur Michel Onfray, un lecteur envoie ce commentaire : “Belle analyse analogique innovante de la fausse alternative “gauche-droite” stalinienne et trotskiste, mais c’est aussi le devoir de faire la critique de la société patriarcale (stalinienne-autoritariste et légaliste cf.

Extrait d’Aimer la vie d’Erich FROMM

Moïse) et matriarcale (pornographique et permissivo-laxiste-anarcho-gauchiste-taubira… cf. jésuitique !) À propos de l’éloge de la pseudo-culture de la « coprophilie” et autre « coprophagie » de type médiatique, façon « anal+ » dans Libération, c’est bien vouloir “manger de la M. » que de se soumettre à l’idéologie intello-bobo GOF-LGBT en gobant naïvement la propagande gauchiste ultra de L’Obs et de Libé ! Comme vous êtes un lecteur avant d’être un écrivain, sinon nous serions sans culture, je vous joins ce texte édifiant d’Erich Fromm, psychanalyste, que vous pourriez classifier de trotskiste, un texte sur la crise du “système patriarcal”, paru dans son livre “Aimer la vie ».”

Apprendre à renoncer – de l’art de la guerre à la gestion des risques. Napoléon traversant la Bérézina - January Suchodolski, 1866 Renoncer, signe de faiblesse et d’impuissance Le verbe renoncer connaît de multiples usages qui tous tournent autour des notions d’abandon (renoncer à un droit), d’arrêt (renoncer au combat), d’exclusion (renoncer à l’alcool) ou de sacrifice (renoncer à soi-même).

Apprendre à renoncer – de l’art de la guerre à la gestion des risques

Il y a dans le renoncement une triple dimension de volonté résignée ou contrainte par les circonstances extérieures, de désaveu de la parole donnée, de la décision prise ou de l’action initiée par la personne qui renonce, et enfin de sacrifice de soi à une fin plus élevée. Ce champ sémantique très riche est cependant dominé par l’idée générale de cessation contrainte par des circonstances qui nous dépassent. Résignation / renoncement. S'il s'agit d'exercer son intellect sur la sémantique de ces deux termes,on pourra dire tout ainsi que son inverse et je ne vois pas trop l'intéret.Maintenant si on parle d'experiences personnels qui rentreraient en adéquation plus ou moins bien avec ces termes là alors là oui on pourra s'approcher vers d'un des sens courants de ces mots.

résignation / renoncement

Bref,d'après mon vécu...dans la résignation il y a un certain degré de renoncement. Je me résigne car je sais que la situation que je voulais qu'elle se produise ne se produit pas,de ce fait au lieu de courir vers cette chimène,je renonce à elle.Je me résigne car je ne peux aller contre le sens de cette realité,la realité est ainsi et j'ai fais tout ce que je pouvais pour y arriver.Et cette situation faisait intervenir d'autres protagonistes,evidemment on ne peut pas obliger des gens à vous aimer et encore moins à vous parler.

...transfer interrupted... le site de la psychanalyse. L'été approchait et j'annonçais une fois de plus au psy ma décision de terminer mon analyse, s'il ne m'encourageait pas à devenir psychanalyste, auquel cas j'aurais pu poursuivre un peu...

...transfer interrupted... le site de la psychanalyse

Comme j'évoquais mon angoisse, le psy passa à l'attaque. Il me demanda si elle était en rapport avec ma curieuse façon de vouloir arrêter l'analyse. Le renoncement, Verzicht (Joël Bernat) Le terme de renoncement a, en français, une connotation éminemment religieuse, indiquant un impératif moral, surmoïque, visant à une purification de l’âme qui n’existe pas dans l’esprit de Freud : il s’agirait plutôt d’une sorte de purgation de la psyché[1]. En tous cas, le renoncement au sens de Freud n’est pas un impératif moral, même s’il est lié à une éthique de l’analyste ; et encore moins quant au patient ! Par ailleurs, ce terme n’a pas reçu une place claire et fixe dans le lexique de Freud dans la mesure où il apparaît à divers moments et divers lieux dans le système perception-conscience. a – Le renoncement face au réel. La force de l’abandon : Renoncer à la toute-puissance. Pour la psychanalyse – qui, dans sa théorie, ignore ce terme et parle plutôt de renoncement –, lâcher prise n’est d’ailleurs pas accessible à tout le monde. « Celui qui n’a pas un espace interne suffisamment construit, explique Nelly Jolivet, psychanalyste, celui qui, pour des raisons liées à son enfance, à ce qu’il a vécu au stade archaïque, lorsqu’il était bébé, n’arrive jamais à être suffisamment rassuré pour renoncer à sa volonté de toute-puissance, celui-là y aura difficilement accès. »

Apprendre à renoncer. Renoncer, croit-on, c’est baisser les bras, se résigner. Et si c’était, au contraire, le prix à payer pour que se révèle notre véritable désir ? Petit précis de détachement positif, à travers un exemple emblématique : le travail. La passion du renoncement. Le renoncement - Kadampa Buddhism. LE RENONCEMENT - VIPASSANASANGHA BOUDDHISME RETRAITES MEDITATION VIPASSANA. Le renoncement Extraits de discours de différents auteurs. Conseils pour memoire.