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Guide-protection-informations-personnelles-sur-facebook .pdf (Objet application/pdf) Things, not strings. Cross-posted on the Inside Search Blog Search is a lot about discovery—the basic human need to learn and broaden your horizons. But searching still requires a lot of hard work by you, the user. So today I’m really excited to launch the Knowledge Graph, which will help you discover new information quickly and easily. Take a query like [taj mahal]. For more than four decades, search has essentially been about matching keywords to queries. To a search engine the words [taj mahal] have been just that—two words. But we all know that [taj mahal] has a much richer meaning. The Knowledge Graph enables you to search for things, people or places that Google knows about—landmarks, celebrities, cities, sports teams, buildings, geographical features, movies, celestial objects, works of art and more—and instantly get information that’s relevant to your query.

Google’s Knowledge Graph isn’t just rooted in public sources such as Freebase, Wikipedia and the CIA World Factbook. 1. 2. 3. Google Launches Knowledge Graph To Provide Answers, Not Just Links. Hinted at for months, Google formally launched its “Knowledge Graph” today. The new technology is being used to provide popular facts about people, places and things alongside Google’s traditional results.

It also allows Google to move toward a new way of searching not for pages that match query terms but for “entities” or concepts that the words describe. Knowledge Graph? “Graph” is a technical term used to describe how a set of objects are connected. Big Change, Subtle Appearance Earlier this year, the Wall Street Journal wrote about the coming change. Big change, but I don’t think it’ll be a shocking change to most Google users who will begin seeing it over the coming days on Google.com, if they’re searching in US English.

Google will still look largely the same as it does now. Knowledge panels don’t always appear, only showing up only when Google deems them relevant. Fact Surfing 3.5 Billion Facts About 500 Million Objects Again, those are just some of the categories. Fixing Bad Data. Knowledge Graph : Google officialise son moteur sémantique. Les règles du jeu semblent distribuées depuis quelques jours entre les deux géants du search : Bing se lance dans le social tous azimuths, aidé par ses relations étroites avec Facebook et Twitter. Google, limité par le succès trop faible de son réseau Google+, se tourne - pour l'instant - vers d'autres voies d'innovation et intègre de plus en plus de sémantique dans ses résultats.

Déjà en phase de test depuis plusieurs mois, ces fonctionnalités ont été annoncées officiellement par Google sous le nom de "Knowledge Graph". Cette nouvelle vision permet d'obtenir de très nombreux renseignements sur les "entités nommées" (noms de personnes, d'entreprises, de lieux, etc.) contenues dans la requête de l'internaute. Le "Knowledge Graph" sera présent dans les pages de résultats de Google, au fur et à mesure des semaines qui viennent, sous 3 formes différentes : - Désambigüisation de la requête demandée. . - Propositions de liens pour en savoir plus sur des sujets proches de celui recherché : La recherche passe à l’ère sémantique (et sociale) (et pas visuelle) La semaine dernière, la frénésie autour de l’IPO de Facebook était a son apogée et qui a fait passé presque inaperçu un changement majeur pour le web : l’évolution du fonctionnement de la recherche de Google (Introducing the Knowledge Graph: things, not strings).

Google à l’assaut du web sémantique avec son Knowledge Graph La raison majeure de cette évolution est la prise en compte de données sémantiques dans les résultats de recherche. Le principe est le suivant : plutôt que se fier à des chaînes de caractères, Google va maintenant travailler à partir de données structurées (“Things, not strings“). Ces données structurées sont la résultante des travaux de sémantisation des contenus initiés par les équipes de Google il y a de nombreuses années qui avaient déjà permis de faire des premières expérimentations (notamment la roue magique qui depuis a été mise hors ligne : Google Knowledge Graph, un pas vers la recherche sémantique). Présenté de cette façon, ça à l’air très bien. Yahoo! Google : le 'Knowledge Graph' génère plus de requêtes... et de publicités. Abondance > Actualités > Google : le 'Knowledge Graph' génère plus de requêtes... et de publicités Google a indiqué que depuis le lancement de l'application sémantique Knowledge Graph sur son moteur de recherche, le nombre de requêtes avait augmenté de façon importante.

En effet, Amit Singhal, l'une des principales têtes pensantes de l'algorithme de Google, l'a indiqué dans le Wall Street Journal, information confirmée par le service de presse du moteur. Cela est logique dans le sens où le "Knowledge Graph" propose de nombreux liens concernant l'objet de la requête et de l'"entité nommée" détectée.

D'ailleurs, cela pourrait clairement être à l'avantage de Google : l'internaute tape une requête sur la page d'accueil du moteur, obtient les résultats du Knowledge Graph, reclique sur les liens de recherche proposés, etc. Bref, qui est le gagant de cette nouveauté sémantique ? Sème antique : la guerre du sens est déclarée. La recherche sémantique est l'un des derniers graals de l'industrie du "search". Chaque annonce dans ce domaine est suivie de près, particulièrement quand elle provient du leader Google. Lequel vient donc d'officialiser le lancement de son "knowkedge graph", qui se veut davantage une sémantisation explicite des pages de résultats associés à une requête plutôt qu'un "vrai" moteur de recherche sémantique. Des requêtes dans tous les sens. Le théorème du jaguar. Le dilemme du prisonnier. Illustration. La recherche "sémantique" m'affiche, en colonne de droite, un encadré "sémantisé", c'est à dire qui me propose une structuration sous-jacente à ce que doivent être les informations minimales fournies à un usager déposant une requête sur un groupe de musique : C'est donc à la mi-mai que Google annonce une mise à jour importante de son algorithme intégrant désormais un "knowledge graph".

La fabrique de la sémantique. D'où viennent ces résultats sémantiques ? Quel est l'intérêt pour Google ? Préserver sa vie privée sur Internet. Facebook, GPS, smartphone : comment concilier collecte de données et vie privée. Twitter : apports et limites pour le management des connaissances. Le KM et les enjeux de socialisation depuis 20 ans Les années 90 ou l’impulsion décisive de Nonaka et Takeuchi Au milieu des années 90 le management des connaissances, popularisé sous l’acronyme « KM » (pour Knowledge Management), a connu un essor sous l’impulsion des travaux d’Ikujiro Nonaka et Hirotaka Takeuchi1.

En partant du postulat déjà formulé par Toffler (1984) ou Quinn (1992) que l’information et les connaissances constituaient le fondement même de la performance et de la compétitivité dans la durée, ils invitaient les entreprises à prêter une plus grande attention à leurs ressources immatérielles (« knowledge-based intangibles »). En mettant en lumière les spécificités liées aux connaissances tacites, Nonaka et Takeuchi introduisirent une véritable rupture dans la vision technicienne du KM tel qu’il se pratiquait alors dans les entreprises. Les années 2000 ou l’ambition de la coopération Les années 2010 ou l’espoir communautaire du « 2.0 » Apports et limites de Twitter pour le KM.