background preloader

Fannymonge

Facebook Twitter

L'acte militant de l'ancien parachutiste - 25/11/2015 - ladepeche.fr. Jean-Marie Ramond, très attaché à la famille des sapeurs parachutistes, pour avoir servi au 17e RGAP, de 1967 à 1968, à la 2e compagnie de combat, à la caserne Banel est parti du Puy-en-Velay le 16 juillet 2015 pour accomplir un pèlerinage jusqu'à Saint-Jacques de Compostelle. Il a marché 62 jours durant parcourant 1600 km et avalant 21000 m de dénivelé. Il n'en est pas à son premier parcours. Après avoir connu de graves ennuis de santé, il avait entrepris un premier pèlerinage (avril 2007) brutalement interrompu dans les Pyrénées à cause d'une tendinite. Puis la maladie s'acharnera puisqu'il subira ensuite un triple pontage coronarien et sera atteint d'un cancer. «La plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber mais de se redresser à chaque chute».

En parachutiste, il ne se laissera pas abattre et reprendra son sac, son bâton et sa coquille (avril 2012) pour renouveler sa première expérience et enfin atteindre Saint-Jacques. Chemin Saint Jacques de Compostelle (Camino de Santiago) Home - Webcompostella. Le chemin de Compostelle de Jean-Christophe Rufin. Pèlerin. Le livre que vous venez de publier a pour titre Immortelle randonnée et pour sous-titre Compostelle malgré moi (Ed. Guérin). Cela mérite une explication… Jean-Christophe Rufin. Ce titre fait allusion à mon statut d'« immortel » : tout académicien que je suis, j'ai marché pendant un mois, porté ma mochila (sac à dos), couché sous ma tente et mangé des bocadillos (sandwichs)...

Mais j'ai également souhaité évoquer le caractère particulier d'un voyage vers Compostelle, qui est de l'ordre de l'Éternel. Quant au sous-titre, il donne le ton : celui de la dérision que j'entretiens par rapport à moi-même. Et je me suis retrouvé à marcher, chemineau parmi tant d'autres... un peu malgré moi, il faut l'avouer. Arrivé à Hendaye, en réalité, je n'avais plus le choix. Pouvez-vous, a posteriori, répondre à la fameuse question des motivations du départ ? Vous dites que « le chemin est une alchimie du temps sur l’âme ». Et votre retour ? Pélerinage de St. Jacques de Compostelle, un témoignage. A l’automne 2011, j’entreprends un projet qui me tient à cœur depuis longtemps, le pèlerinage de Saint Jacques.

Mon but, étant libéré de mes obligations professionnelles et, par la force des choses, éloigné de mes enfants, est de prendre le temps d’un cœur à cœur prolongé avec mon Dieu, de Le suivre comme Il nous y engage fréquemment à travers les Evangiles. Accessoirement, à un tournant de ma vie professionnelle, j’ai besoin de discerner où Il veut me conduire. Je pars donc de chez moi, à Saint-Frégant le 12 septembre 2011, en pleine tempête bretonne, juste après que ma première fille m’ait annoncé ses prochaines fiançailles avec un garçon qui habite à 20 minutes de chez nous… L’objectif de ce premier tronçon est Saint-Jean-d’Angély, que j’atteindrai 28 jours plus tard avec 730 km dans les jambes, à peu près autant de chapelets et surtout avec une grande paix intérieure.

Bien sûr, ça n’est pas ainsi tous les jours, mais ce sont là les souvenirs qui demeurent, et qui chauffent le cœur. Compostelle à pied - Témoignages, informations, forum, galerie-photos. Témoignages et récits de pèlerins de St jacques de Compostelle. Arrivé à Mérida par le camino mozarabe, Marc continue sur la via de la Plata.Le 25 mars 2015, Bonjour d'Alcuescar, Ce matin, après avoir pris mon desayuno avec mes deux compagnons de route, je pars seul.

Je me dirige vers l'embalse (barrage, retenue d'eau artificielle) de Proserpina d'où je jette un dernier regard sur Mérida. Le temps est idéal, mais le vent du nord souffle fort. Comme je remonte plein nord pendant 2 semaines, je risque d'avoir à faire avec. Après trois heures et demie de marche, j'arrive à Aljucen où je prends un bocadillo de jamon. Une fois restauré, je repars vers Alcuescar. Témoignages - aucoeurduchemin.org. Aucoeurduchemin.org Conseils pour le départ ou le passage des Pyrénées avec plan d'étapes et bibliographie Accueil Association Partir et revenir Accueil et Hébergements Spiritualité Questions fréquentes Messages de l'Association Accueil > Spiritualité > Témoignages Témoignages Le Chemin vers le Centre Poster un nouveau message - Lancer une discussion. Témoignages pèlerine (Patricia BOURDON) 25 juillet 2014 Témoignages macdan 27 octobre 2013 Témoignages BOURDON Patricia 3 février 2013 Témoignages gilles couture 22 novembre 2010 Témoignages Fatima 7 mai 2011 Témoignages toto 14 juin 2010 Témoignages Antoine Tirouvanziam 29 août 2009 Témoignages Alain. 2 août 2009 Témoignages Francine 22 mars 2009 Témoignages Fanny 19 avril 2009Témoignages 29 avril 2009 Témoignages annie juret 4 septembre 2008 Témoignages 26 août 2009 Témoignages 8 septembre 2007 Témoignages 8 septembre 2007 Témoignages Burger Denis 3 juillet 2007 > Témoignages 27 mars 2006 Poster un nouveau message - Lancer une discussion.

Visiteurs connectés : 36. Compostelle, caméra au poing. « Le pèlerin qui arrive au terme de son voyage n’est plus le même qu’au départ. Comment ce changement s’opère-t-il ? » C’est pour répondre à cette question que Freddy Mouchard a sillonné les chemins de Saint-Jacques avec une caméra. Il a suivi une dizaine de pèlerins, parmi lesquels : Nadia, enceinte de cinq mois ; Liliane et Michel, un couple de comédiens ; René, hospitalier à la retraite ; Cyrille, parti de Lausanne (Suisse) avec son violon après avoir démissionné de son travail. « Plus il avance sur la route, remarque le cinéaste, plus le pèlerin reprend contact avec l’autre partie de lui-même, souvent oubliée dans notre mode de vie contemporain. C’est là une des originalités de ce film, où le cheminement du pèlerin est évoqué par des jeux (marelle, jeu de l’oie), par les détours d’un labyrinthe ou les mouvements d’une marionnette.

" C’est un documentaire lumineux, parfaitement construit et équilibré : les paysages invitent à la méditation et les témoignages nourrissent la réflexion " "Bis repetita placent" sur le chemin de Compostelle. Martine Marie Muller. © Patrice Normand Ou en d’autres termes : « Finis ce que tu as commencé », disait ma grand-mère béarnaise qui ne connaissait que le latin de la messe. Mais cette idée de « refaire ce qui nous a plu » me vient en lisant le courrier de Roger, cet ami de Castetpugon (Pyrénées-Atlantiques), victime d’un petit accident vasculaire cérébral (AVC) sur le chemin de Compostelle, et dont j’ai parlé il y a quelques mois. Il s’était donc promis de refaire, et de finir cette fois, ce pèlerinage interrompu. Huit mois après son malaise, Roger est de retour à Nasbinals, en Lozère.

Son premier geste est de fleurir la stèle posée en mémoire d’un pèlerin, Patrick, dont l’heure était venue, près de l’endroit où Roger était tombé. Avec sa femme, ils s’y sont recueillis sous le soleil de l’Aubrac et le regard d’un cheval alezan derrière son mur de pierres. Sous 35 °C et avec la fatigue, l’appréhension saisit parfois Roger.

Témoignages de pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Renaître en chemin. « Je n’avais que deux choix possibles, explique Claire Colette : m’asseoir et mourir lentement, ou prendre la route. » Faisant, à 53 ans, le bilan d’une vie douloureuse (échec scolaire, révolte familiale, marginalisation), et souffrant d’une fibromyalgie qui endolorit son corps tout entier, la jeune femme décide de relier, à pied, Louvain-la-Neuve (Belgique) à Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne). " Je voulais quitter le ressassement négatif et me dégager des dépendances qui m’enfermaient " → raconte-t-elle en précisant : « Je suis partie sans préparer mon itinéraire ni m’entraîner à la marche, dans un état de disponibilité totale : avec peu d’argent et sans téléphone portable. » Les premières semaines, jusqu’à Vézelay (Yonne),sont un véritable calvaire.

Puis, peu à peu, la métamorphose s’opère : Claire dépose, au fil de ses pas, les épreuves de sa vie, puis « offre » son pèlerinage à ses deux enfants et à ses parents. Naissance d’un livre. Marc De Wilde - Témoignage d'un pèlerin de Saint-Jacques de Compostelle. A 45 ans et au terme de vingt années d’une vie professionnelle active et trépidante, je me suis fais plaisir. Je suis parti de Bruxelles à pied sac au dos vers Saint Jacques de Compostelle.

C’était le 21 juillet. Quelques drapeaux belges saluaient ce départ pour un long périple dont j’ignorais encore la richesse et la capacité à faire découvrir le vrai bonheur… C’est vrai, je suis un privilégié. Partir de chez soi, à pied, sac au dos pour une destination si lointaine, a quelque chose de grisant. Pourtant chaque pèlerin a « une bonne raison » de se mettre en route. Je sentais que ce genre de démarche n’était possible que sur le chemin. Ce que j’ai trouvé sous ces couches est un sentiment au-delà des mots : joie immense, paix profonde, amour incommensurable ! Le plus extraordinaire dans cette découverte est le fait qu’il s’agit d’un processus presque mécanique. Rédigé le 20-Nov-2002. André Weill (1/3) : « Le chemin de Compostelle m’a transformé » | [Le blog des marcheurs & des pèlerins] Interview. André Weill, Grenoblois de 61 ans, est un grand marcheur.

Il a parcouru environ 10 000 km sac à dos jusqu’à Compostelle, Rome, et d’Auschwitz à Jérusalem. Il vient de rentrer d’un périple himalayen de deux mois aux Sources du Gange : Le chemin des Sanyasins. Il décline ainsi son identité : « Physicien, docteur ès sciences, père de cinq enfant, marathonien, citoyen du monde, amoureux des grands espaces, de la pluie du soleil et du vent. » Sa carrière professionnelle de chercheur scientifique l’a mené à l’université du Strasbourg, comme directeur de recherche au Centre national d’études des télécommunications de Meylan, puis à la société ST Microlelectronics pour développer des procédés industriels. Diplômé de la Fédération Française de Yoga Viniyoga FFYV en 1996, il pratique et enseigne le yoga, notamment dans une Maison d’Arrêt. . – Gilles Donada/blogdesmarcheurs.fr : Quand avez-vous commencé à marcher ?

– Qu’est-ce que vous apporte la marche ?