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Néo-journalisme en prise directe. Aux États-Unis, le néo-journalisme, connecté aux réseaux sociaux, est déjà enseigné dans les écoles.

Néo-journalisme en prise directe

Une mutation nécessaire du métier pas encore évidente de ce côté de l'Atlantique, selon notre maître du genre, Damien Van Achter. Être journaliste professionnel et refuser de se créer un compte sur Facebook, devrait, à mon sens, être considéré comme une faute professionnelle grave. Libre à eux de continuer à croire que les habitants du web ne sont qu’une tribu de sauvages pédophiles qui violent les comptes en banque pour se payer de la coke dans la Vallée du Silicone. Ces journalistes-là ne parlent de toute façon déjà plus à personne. Pour Dave Winer, ancien d’Harvard et pionnier du web, c’est le journalisme lui-même qui est en passe de devenir obsolète. Presse traditionnelle : vers un modèle mixte généralisé - Médias en ligne. Pour Philippe Jannet, "le modèle mixte du Monde semble plus performant car il permet non seulement de générer des revenus tout en valorisant un fort inventaire publicitaire".

Presse traditionnelle : vers un modèle mixte généralisé - Médias en ligne

Mais pour monétiser son audience, la presse traditionnelle doit être en mesure de proposer des services supplémentaires comme chez Liberation.fr qui comptait 17 000 abonnés payants en 2009 "dont la majorité est concentrée sur l'offre à 15 euros par mois qui permet d'obtenir Libération en avant-première dès 20h, alors que le journal papier est en cours de montage " précise Ludovic Blecher, directeur des nouveaux médias et rédacteur en chef de Liberation.fr. Mais toutes ces initiatives ne sont pas rentables, au contraire puisque "nous avons par exemple arrêté les éditions Ville de Liberation.fr en dehors de celles de Toulouse, Lyon et Marseille où nous avons encore des correspondants", concède-t-il.

Débat Forçat

Alexis Helcmanocki, de GfK: « La presse 100% Internet ? Elle a p. Bonjour Alexis, les 50% d’internautes français qui ne veulent pas payer pour l’information en ligne et refusent qu’elle soit financée par la pub, ils vivent dans le monde de Bisounours ?

Alexis Helcmanocki, de GfK: « La presse 100% Internet ? Elle a p

A ben oui ! Il y a le mythe, en France, de l’Internet où tout est gratuit. Les Français et l’information sur le web, ça n’est pas encore tout à fait ça… Photojournalisme et internet : bouée de sauvetage ou coup de grâce ? Lorsque il arrive sur le site, deux questions interpellent le visiteur : « Et si vous étiez sur la liste de diffusion de Robert Capa en 1944 ?

Photojournalisme et internet : bouée de sauvetage ou coup de grâce ?

Et si Don Mc Cullin bloguait depuis le Vietnam ? » Elles sont immédiatement suivies d’une suggestion : « Maintenant, imaginez que c’est vous qui les envoyiez là-bas… » Le site emphas.is a été lancé en janvier dernier, et propose aux internautes de financer directement les projets photojournalistiques de leur choix parmi ceux présentés sur la plateforme. Cette fermeture sonnait la fin de l’âge d’or du photojournalisme. Sans verser dans la louange du crowdsourcing, dont le rôle a été largement exagéré (le seul cliché amateur pris avec un téléphone portable d’un évènement marquant est celui de l’amerrissage forcé de l’airbus sur l’Hudson en 2009), internet a en effet profondément changé l’approche du photojournaliste. Like this: J'aime chargement… Cette entrée a été publiée dans Revue de presse.

Les médias en 2011: un tournant pour la presse française. L’exercice est assez convenu en cette fin d’année. Il consiste à revenir sur les éléments marquants de 2011. Pour la presse écrite française, il ne paraît pas exagéré de parler de l’amorce d’un véritable tournant dans sa longue histoire. Pour en prendre la mesure il suffit de revenir sur quelques uns de ses événements ou faits les plus significatifs. L’année se termine sur quelques symboles forts : deux titres nationaux, France Soir et La Tribune dont les comptes sont très dégradés vont ou risquent d’abandonner le papier pour ne plus être proposés que sous forme numérique, alimentés par des rédactions réduite au strict minimum. En fait il s’agit là de la manifestation d’une tension générale sur les comptes des journaux, manquant de ressources publicitaires, voyant leur diffusion s’éroder, qui frappe d’abord les plus fragiles. Jean-Marie Charon Sociologue des médias.

Données, narration : la bataille des journalismes. Avec la grande facilité de diffusion qu’offre Internet, se procurer des informations et les publier n’apparaissent plus comme des questions primordiales : il s’agit désormais de savoir comment les traiter et sous quel format les diffuser pour qu’elle soit vues et comprises par tous.

Données, narration : la bataille des journalismes

Ce phénomène invite les professionnels de l’information à s’interroger sur la forme à donner à l’information, en l’occurrence : données ou narration? Les innovations technologiques, notamment informatiques et mobiles, permettent de recevoir et de diffuser des informations sans modération. Certains acteurs du monde des médias agitent dès lors le modèle du journalisme de données ou data journalism pour clarifier ce mouvement massif et continu.

Cette technique journalistique vise à utiliser et à traiter informatiquement des données complexes pour les diffuser sous une forme facilement compréhensible (graphiques, infographies, etc.). DataJournalism : données, interactions, visualisations.