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Big Black. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Big Black Steve Albini avec Big Black en 2006 Histoire[modifier | modifier le code] Au début des années 1980, Steve Albini décide d'arrêter ses études de journalisme et se consacre à la musique. Après avoir vainement tenté de former un groupe, il enregistre seul l'EP Lungs, avec les maigres moyens du bord[2], et le publie sous le nom de Big Black. Le disque présente une critique de l'Amérique contemporaine, en pleine phase de récession post-industrielle[2]. En 1986 le groupe sort son premier album, intitulé Atomizer, qui connaît pour la première fois un retentissement national. En raison de tensions dans le groupe, dont les membres commencent à éprouver des difficultés à travailler ensemble, celui-ci cesse ses activités la même année après l'enregistrement d'un nouvel album, Songs About Fucking, qui reste dans la lignée des précédents[3].

Style et influences[modifier | modifier le code] Discographie[modifier | modifier le code] Azerrad, Michael. Death in June. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Death in June Douglas Pearce Death in June est un groupe de musique folk et expérimentale britannique créé en 1981. Il a été fondé par Douglas Pearce, aux côtés de Patrick Leagas et Tony Wakeford. Crisis (pré - Death in June)[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Depuis lors, Death in June était constitué de Douglas P. et d’intervenants extérieurs.

Boyd Rice fut lui aussi un collaborateur prolifique et de longue date. L'émergence du Neofolk[modifier | modifier le code] L’influence de Douglas Pearce a également été primordiale dans l’évolution d’un genre de musique appelé néofolk à travers l’Europe. La fin de Death in June ? Lors de son concert à Brest en mai 2005, organisé par le label industriel Steelwork Maschine, Douglas Pearce a annoncé que ce serait le dernier concert de Death in June. Influences et références[modifier | modifier le code] Symbolisme et esthétiques[modifier | modifier le code] Portail de la musique. Death In June Archive at Brainwashed. Interactive Discography || Chronological Discography (all text) || Complete Discography (all text) || Live History || Influences This website, founded in 1996, is now dedicated to unofficially documenting the past history of DEATH IN JUNE up to the year 2000, which we find of interest.

Recent updates, news, and current events beyond that we will leave to the official site at www.deathinjune.net. Here we cover all past releases, live events, past influences and links to related sites. The guilty do indeed have a past, and we intend to shed light on it. DEATH IN JUNE formed out of the ashes of the left-wing punk band Crisis, and began as a trio of Douglas P., Tony Wakeford, and Patrick Leagas.

Tony Wakeford left to later form Sol Invictus, and Patrick O'Kill left after 1985 to form Sixth Comm. DEATH IN JUNE has since become solely the work of Douglas P. in collaboration with various friends and like-minded artists. DEATH IN JUNE Official site. Coil. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Coil est un groupe de musique industrielle et de musique expérimentale qui a pratiqué différentes formes de musique (électronique et autre) comme la musique industrielle, bruitiste, l'ambient et la dark ambient, la néofolk, ou encore le minimalisme.

Le groupe a été formé par John Balance (se faisant aussi appeler Jhonn Balance) et Peter Christopherson (Sleazy), après avoir tous deux quitté le groupe industriel Psychic TV. Au fil des albums, le groupe a pu compter sur la contribution de Stephen Thrower, Rose McDowell, Drew McDowell, Danny Hyde, William Breeze, Thighpaulsandra et Simon Norris.

Cliff Stapelton et Mike York ont aussi participé à la tournée live du début des années 2000. John Balance est décédé le 13 novembre 2004 à 42 ans, mettant fin à la carrière du groupe. Peter "Sleazy" Christopherson est décédé le 25 novembre 2010 à 55 ans dans sa maison de Bangkok... Biographie[modifier | modifier le code] Threshold House. The Industrial Records Story. SPK. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. SPK, formé en 1978 à Sydney, était un groupe de musique industrielle et bruitiste. Graeme Revell, qui devint plus tard un compositeur de musiques de films renommé à Hollywood, était l'un de ses membres. Parmi les autres musiciens ayant travaillé avec SPK on peut citer Danny Rumor et David Virgin, qui figuraient sur les premiers enregistrements du groupes réalisés en 1979, James Pinker et Karel van Bergan, qui effectuèrent une tournée en 1982 avec Guerin et Revell, Brian "Lustmord" Williams, John Murphy de Forresta di Ferro (Kraang) et Derek Thompson, qui plus tard joua un temps avec The Cure, avant d'enregistrer sous le pseudonyme de Hoodlum Priest.

Celui-ci affirma qu'il avait quitté SPK lorsque son fondateur Revell avait voulu suivre ce qu'il jugeait une voie plus commerciale[1]. L'écrivain américain William S. La signification du sigle "SPK" est délibéremment obscure ; les pochettes des albums laissent entrevoir plusieurs possibilités. SPK = Information Overload Site. Laibach. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Laibach. Laibach Le nom du groupe est dû au nom en allemand de la ville slovène de Ljubljana. Le groupe est l'entité musicale connue parmi un collectif d'artistes slovènes rassemblés sous l'appellation : Neue Slowenische Kunst (NSK). En 1978, Tomaž Hostnik et Dejan Knez forment leur premier groupe, Salte moral. On peut considérer Salte moral comme étant la première incarnation de Laibach[réf. nécessaire].

Milan Fras (Chant) D'après le site officiel du groupe : « Tomaž était à l'époque vraiment le leader du groupe; il avait une personnalité forte, dynamique, et avait été formé dans un collège qui prépare l'élite politique slovène. Peu de temps après, le cousin de Knez, Ivan (Jani) Novak et Milan Fras rejoint le groupe. Depuis le milieu des années 1980 jusqu'au milieu des années 1990, les quatre membres du groupe à temps plein ont été : Dejan Knez, Milan Fras, Ervin Markošek et Ivan (Jani) Novak[réf. nécessaire]. Einstürzende Neubauten. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Einstürzende Neubauten est un groupe originaire de Berlin-Ouest, formé en 1980, composant une musique expérimentale à tendance industrielle.

Ses membres successifs sont dans bien des cas des artistes proches du milieu autonome et anarchiste allemand. Dès ses débuts, le groupe se distingue par l'utilisation systématique de sons concrets provenant d'objets et d'outils les plus variés (bétonnières, perceuses, marteaux piqueurs…), conférant à leurs morceaux une sonorité généralement agressive aux oreilles des non-initiés.

Membres[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Le 1er avril 1980, Einstürzende Neubauten (littéralement « bâtiments neufs en effondrement ») fait une première apparition au Moon Club à Berlin. La formation comprend, aux côtés de Beate Bartel et Gudrun Gut, Blixa Bargeld et NU Unruh. En 1981, le percussionniste FM Einheit rejoint Einstürzende Neubauten. Discographie[modifier | modifier le code] 1.

From The Archives. Blixa bargeld. EINSTUERZENDE NEUBAUTEN. Cabaret Voltaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Richard H. Kirk, cofondateur du groupe, comptera plus tard parmi les figures emblématiques du « son de Sheffield » tel que l'établit le label Warp Records. Richard H. Kirk : guitare, chant (ou voix) ;Chris Watson (Christopher Richard Watson) : claviers, chant (ou voix) ;Stephen W. Mallinder : chant (ou voix), basse. Le groupe n'a effectué qu'une seule tournée en France, en novembre 1983, où il est notamment passé aux 120 Nuits à Paris. Sorti sur le label Industrial Records , cet album a été produit et enregistré entre juillet 1974 et août 1976 par Cabaret Voltaire dans le loft de Chris Watson. 1979, Mix-Up Sorti sur le label Rough Trade Records, cet album a été produit et enregistré à Western Works entre juillet et août 1979 par Cabaret Voltaire. 1980, Live at the YMCA Sorti sur le label Rough Trade Records, cet album a été produit et enregistré à Western Works entre juillet et août 1979 par Cabaret Voltaire. 1980, The Voice of America Face A.

Cabaret Voltaire. The Young Gods. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Young Gods Al Comet durant le concert des Young Gods aux Eurockéennes de Belfort 2007 Biographie[modifier | modifier le code] La formation de 1985 comprenait Franz Treichler au chant (seul membre encore présent aujourd'hui), Cesare Pizzi (sampler), Frank Bagnoud [1] (batterie). Les textes sont en anglais, français, et parfois en allemand. Membres[modifier | modifier le code] Franz Treichler : voix, guitare, harmonicaAlain Monod : clavier, samples, guitare (succède à Cesare Pizzi)Bernard Trontin : batterie (succède à Frank Bagnoud et Urs "Üse" Hiestand)Vincent Hänni : basse, guitare acoustique et électrique (a rejoint le groupe depuis l'album "Knock on Wood") Discographie[modifier | modifier le code] Albums[modifier | modifier le code] Maxi 45T[modifier | modifier le code] 1988, L'Amourir (face A), Pas mal (face B) Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] (fr) et (en) Site officiel.

The Young Gods : chroniques, biographie, infos, concerts. Biographie > Youngodologie 1984, Suisse, Franz Treichler (samples, guitares, chant) fonde les Young Gods avec Césare Pizzi (samples) et Franck Bagnoud (batterie). A eux trois et avec différents compagnons de route (le line-up du groupe étant instable), ils vont révolutionner le monde du rock par les machines. En Europe, ils sont LA référence quand on parle d'industriel, aux USA, ils sont cités par les connaisseurs, admirés par MJK (Tool) ou Mike Patton (Faith No More), leur musique a changé beaucoup de choses et continue de le faire.

Véritable pierre (tri)angulaire du monde des sons, ils méritent bien leur nom. Leurs albums sont nombreux, riches, je laisse place aux commentaires du dernier en date, Second Nature, qui nous fait décourvir la deuxième nature des Gods, celle plus pop que métal... Oli Juillet 2001 Review Concert : The Young Gods, Young Gods aux Antipodes (avril 2006) Interview : The Young Gods, L'interview d'un jeune Dieu Interview : The Young Gods, Interview 2001. :// The Young Gods. Throbbing Gristle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Throbbing Gristle Throbbing Gristle[1] (TG) est un groupe de musique expérimentale et bruitiste né à Londres le au cours de la dernière prestation de la troupe d'art performance COUM Transmissions.

Le groupe est reconnu pour être un pionnier de la musique industrielle et l'avoir conceptualisée comme genre hybride entre la musique électronique et le rock tourné vers l'expérimentation sonore, notamment par le biais de son label discographique Industrial Records. La formation est née de la volonté de certains membres de COUM Transmissions d'élargir leur auditoire et leur champ d'influence, en s'éloignant du terrain très pointu de l'art contemporain pour se consacrer à la musique, une activité qu'ils jugeaient mieux accessible au plus grand nombre[2],[3].

L'histoire du groupe se divise en deux grandes périodes, la formation ayant connu une longue éclipse entre 1981 et 2004. Histoire[modifier | modifier le code] Throbbing Gristle en concert en 2008. Throbbing Gristle. Psychic TV.