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Ne faites pas confiance aux captures d’écran des tweets et messages Facebook. L’image est un vecteur de communication à double tranchant, surtout avec la facilité de propagation de ce type de contenu en ligne. Et vous avez certainement remarqué que plusieurs sites, blogs et pages Facebook en l’occurrence, ainsi que des comptes Twitter, utilisent des captures d’écran de tweets ou de messages Facebook pour prouver ou appuyer une publication. Il se trouve que ces captures d’écran peuvent être parfaitement truquées, avec l’aide de services en ligne comme LemmeTweetThatForYou ou encore TheWallMachine. Le fonctionnement est très simple : pour un tweet, il faut juste mentionner le nom d’utilisateur en question, (comme ça il va pouvoir récupérer la photo de profil du compte), écrire le message souhaité, déterminer le nombre de retweets et de favoris, et même préciser la date et l’heure de publication.

Articles similaires: Comment s’assurer de la crédibilité d’une source web. La veille sur le web n’est pas exempt de la nécessaire qualification des sources inhérente à l’intelligence économique : qui est l’auteur d’un message, quelle véracité des informations diffusées, etc. Certains critères sont donc nécessaires à mettre en place. Mais au-delà, il apparait que, sur le web, plus qu’une question de crédibilité il convient de s’interroger sur la popularité ou « l’expertise » prêtées à un auteur. Voire à sa réputation… Dans un ancien billet intitulé Qualification des sources 2.0 je proposais des outils pour identifier certains critères : pour définir l’identité « réelle » de l’auteur d’une source (ou son hébergeur –Whois), ses liens communautaires, etc.

Ici, pas d’outils spécifiques, mais plutôt des indicateurs/critères à mettre en place et à appliquer. Et ce pour répondre globalement à la question : puis-je faire confiance à la source/auteur de cette information diffusée sur le web ? Des critères de crédibilités… ==> Peut-on formellement identifier l’auteur ? 10 choses à ne pas dire à un Community Manager. Avec le succès des médias sociaux, le métier « Community Manager » bourdonne à vos oreilles. Vous réfléchissez longuement sur le pour et le contre, vous googlelisez ce terme, vous demandez l’avis de vos proches, et puis, la décision est prise : vous en recrutez un!

Mais si vous ne voulez pas passer pour un amateur, voici 10 choses à ne pas dire à un Community Manager! Il me faut 10 000 fans sur ma page Facebook dans 2 mois! Débrouillez-vous. La course aux gros chiffres et aux superlatifs est un comportement humain : avoir le plus grand nombre de fans sur Facebook, être le plus suivi sur Twitter, être le plus vu sur Youtube, etc. Cependant, à moins d’avoir une notoriété mondialement connue, de créer le buzz de manière spectaculaire ou encore de s’adonner à des pratiques artificielles (l’achat de faux fans, de followers, de visionnements), la gestion des médias sociaux demande du temps et surtout, la mise en place d’une stratégie sur le long terme! Un conseil? Cours interactif sur le Web social. TELUQ, l’unité d’Université à distance de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) a récemment mis en ligne sur un cours interactif coordonné par Sébastien Paquet sur la thématique du Web social (sous licence Creative Commons Paternité).

Le cours Le Web social présente 9 modules dont 1 module préliminaire. Chaque module est composé d’un exposé, d’exercices et d’activités. Il comprend de nombreux hyperliens vers des ressources Web en français et en anglais. Un excellent programme de cours d’auto-formation vraiment exhaustif sur le Web social c’est-à-dire l’Internet d’aujourd’hui dans ces composantes collaboratives. Programme du cours : Le Web Social 1. Module préliminaire Maîtriser le web * Présentation * Les fureteurs * Les URL * Code HTML * Langage CSS * Serveurs, adresses, référants et cookies * Moteurs de recherche * Nuisances du web 2. . * Présentation et objectifs * Portail personnel * Signets sociaux * Fils web et agrégateurs personnels 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Slideshow pour tout savoir sur Linkedin. Quora — Juste pour vos yeux. | Deux croissants. Mise à jour : Ce message était le premier, en réaction à ce que j’avais vu sur Quora. Il a été repris et corrigé depuis, et j’ai écrit d’autres billets sur le sujet. Résumé : Quora est un site de Question-Réponse exigeant, exclusivement en anglais. Inscrivez vous sous votre nom civil. Faute de filtres, la qualité dépend de votre retenue : attendez de comprendre les usages du site avant de participer.

Si vous êtes venus pour comprendre ce que Quora permet, ces vidéos en anglais le feront mieux que je n’en serai jamais capable. Voilà un peu plus de sept mois que je suis actif sur Quora.com, un site où vous pouvez poser des questions y répondre. Depuis le 3 janvier, la presse spécialisée en a fait sa coqueluche. Ce matin, avant de se connecter, ils ont eu une seconde d’hésitation : leur pile d’alertes allaient être encore remplie de « But Y Quora cant be morr lik e Twittter!?!»

Ils se sont plaint —avec moi, et surtout plus vertement— des nouveaux venus. Pourquoi être si strict ? Like this: Google Plus : 23 questions à se poser avant de s’inscrire sur Google+